En cours au Siège de l'ONU

Conseil de sécurité


CS/11322
Après « la dangereuse escalade de la violence », la semaine dernière, M. Jeffrey Feltman, Secrétaire général adjoint aux affaires politiques, a averti ce matin, les membres du Conseil de sécurité, que le statu quo n’est pas viable et qu’une solution négociée entre Israéliens et Palestiniens est « la meilleure contribution qui puisse être faite, à ce stade, en faveur de la stabilité régionale ».
CS/11323
Le Secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix de l’ONU, M. Hervé Ladsous, a présenté cet après-midi au Conseil de sécurité les grandes lignes du plan de renforcement de la Mission des Nations Unies au Soudan du Sud (MINUSS) proposé par le Secrétaire général dans son dernier rapport sur la situation dans le pays.
CS/11320
Le Conseil de sécurité a, ce matin, prorogé le mandat de la Mission d’assistance des Nations Unies en Afghanistan (MANUA) jusqu’au 17 mars 2015. À l’occasion du débat trimestriel consacré à la situation dans ce pays, le Représentant spécial du Secrétaire général, M. Ján Kubiš, et le délégué afghan ont tous deux souligné le caractère historique de l’élection présidentielle et des élections aux conseils de province du 5 avril.
CS/11319
Le Conseil de sécurité n’a pas pu adopter, ce matin, le projet de résolution dénonçant la validité du référendum sur le rattachement de la Crimée à la Fédération de Russie, qui aura lieu demain, 16 mars, en raison du vote négatif exprimé par la Fédération de Russie. À l’exception de la Chine qui s’est abstenue lors du vote, les 13 autres membres du Conseil ont appuyé le texte.
CS/11316
Un an après la signature d’un accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération et la défaite militaire, en novembre dernier, du Mouvement du 23 mars (M23), l’espoir est permis en République démocratique du Congo (RDC) et dans la région, la stratégie globale mise en place commençant à porter ses fruits.
CS/11314
Devant le Premier Ministre de l’Ukraine, la majorité des membres du Conseil de sécurité a demandé que la Crimée renonce à son référendum sur son rattachement à la Fédération de Russie, un processus « malheureux et illégitime », selon la représentante des États-Unis, qui contraindrait à en tirer toutes les conséquences politiques et économiques, a dit son homologue de la France à une Fédération de Russie qui « ne veut pas la guerre ».