En cours au Siège de l'ONU

Session ordinaire de 2023
20e & 21e séances plénières – matin & après-midi
ONG/958

Le Comité des ONG recommande le statut consultatif spécial à 16 organisations de la société civile dont les demandes avaient été précédemment reportées

Le Comité chargé des organisations non gouvernementales a recommandé au Conseil économique et social (ECOSOC) d’octroyer le statut consultatif spécial à 16 ONG qui avaient vu leur demande reportée lors des sessions précédentes.  Cent vingt organisations devront en revanche fournir des éléments de réponse à une nouvelle série de questions qui leur ont été posées aujourd’hui par différents membres du Comité.  

Le Comité a également pris acte de la demande de retrait de « The Center for Bioethics and Culture », des États-Unis.

Parmi les organisations qui ont décroché le précieux sésame, figure « Students for Global Democracy Uganda », de l’Ouganda, dont la mission est d’apporter aux élèves les connaissances et les compétences nécessaires pour appliquer les principes de la démocratie, de la gouvernance et de la durabilité au développement personnel, communautaire et national. 

Créée en 2017 à Sri Lanka « Zam Zam Foundation » fournit de son côté une assistance pour améliorer la vie des veuves, des orphelins, des handicapés démunis et des opprimés de la société ainsi qu’un soutien éducatif et financier aux élèves défavorisés.  En outre l’ONG promeut l’intégration ethnique et la réconciliation entre les différents groupes communautaires. 

On évoquera également « Feminist Legal Clinic Inc. (FLC) », de l’Australie, qui a pour vocation de faire progresser les droits des femmes fondés sur le sexe et la cause du féminisme, ainsi que l’ONG belge « European network on cultural management and policy (ENCATC) » qui s’intéresse particulièrement à l’éducation et à la recherche dans les domaines culturel et créatif. 

Le Comité des ONG, qui est composé de 19 membres, peut recommander trois différents statuts consultatifs auprès de l’ECOSOC: le statut consultatif général, le statut consultatif spécial et l’inscription sur la Liste. 

Le premier statut est réservé aux grandes ONG internationales dont les domaines d’action et de travail couvrent la majorité des points contenus dans l’agenda de l’ECOSOC et de ses organes subsidiaires.  Ces ONG sont habilitées à soumettre au Conseil des communications écrites et des pétitions, et à proposer l’inscription de points à l’ordre du jour. 

Le statut consultatif spécial est octroyé aux ONG travaillant dans un domaine spécifique et les autorise à soumettre des communications écrites et des pétitions à l’ECOSOC.  Enfin, la Liste va aux ONG qui ont tendance à travailler d’une manière plus technique et/ou restreinte.  Elles ne peuvent soumettre au Conseil que des communications écrites.  

Le Comité des ONG poursuivra ses travaux demain, jeudi 18 mai, à partir de 10 heures. 

DEMANDES D’ADMISSION AU STATUT CONSULTATIF OU DE RECLASSEMENT DONT LE COMITÉ A DÉCIDÉ DE REPORTER L’EXAMEN LORS DE SESSIONS ANTÉRIEURES 

Octroi du statut consultatif spécial

1.    Students for Global Democracy Uganda (Ouganda) 

2.    Tamdeen Youth Foundation (Yémen) 

3.    Zam Zam Foundation (Sri Lanka) 

4.    Africa Faith and Justice Network (États-Unis) 

5.    Amitofo Care Center International (États-Unis) 

6.    Best Practices Policy Project, Inc. (États-Unis) 

7.    Associazione Nazionale Volontarie Telefono Rosa - Centro di Orientamento per i Diritti della Donna - ONLUS (Italie) 

8.    European network on cultural management and policy (Belgique) 

9.    Feminist Legal Clinic Inc. (Australie) 

10.   Fondazione Circolo Fratelli Rosselli (Italie)

11.   Georgian academy of criminology sciences (Géorgie)

12.   Œuvre d'Orient (France) 

13.   The Conflict and Environment Observatory (Royaume-Uni) 

14.   Arab Media Union (Égypte) 

15.   Human Rights Protection Group and MFP Federation (Inde)

16.   Vithu Trust Fund (Royaume-Uni)

Examen des demandes de statut 

Les ONG suivantes ont vu l’examen de leur demande de nouveau reporté suite aux questions soulevées par des membres du Comité. 

Le Pakistan a demandé à Rainbow Volunteer Club (Chine) de bien vouloir fournir plus d’informations sur le réseau de coopération avec d’autres ONG qu’elle avait l’intention de mettre en place à partir de 2022.  Samajik Yuva Sangthan Sansthan (Inde) devra fournir ses états financiers de 2022, toujours à la demande de la délégation pakistanaise.  Les États-Unis se sont intéressés aux revenus et aux dépenses de Shenzhen Foundation for International Exchange and Cooperation (Chine) et ont réclamé plus d’informations sur les projets mis en œuvre.  Le Pakistan a demandé la liste des ONG qui sont affiliées à l’organisation Sri Sharada Institute of Indian Management Research Foundation (Inde) ainsi qu’une liste de ses projets.  S’agissant de Stella Maris Institute of Development Studies (Inde), la délégation pakistanaise a demandé la liste des organisations internationales qui financent cette ONG et des détails sur la manière dont ces fonds ont été utilisés. 

Les États-Unis ont demandé plus d’informations sur les fonds dont dispose Syrian Youth Council (Syrie) ainsi que sur les projets qu’ils ont financés.  Le Pakistan a souhaité obtenir une liste des projets déployés par The Gulmit Educational and Social Welfare Society, Hunza Gilgit (Pakistan) pour promouvoir les langues et la poésie locales.  Bahreïn a demandé davantage d’informations sur les projets qui figurent dans les états financiers actualisés de The New Woman Foundation (Égypte).  Quant à l’organisation Transnational Anti-Organized Crime Intelligence Group Inc. TAOC-IG) (Philippines), la même délégation a demandé plus de précisions sur ses affiliations avec le Département des affaires économiques et sociales de l’ONU, entre autres.  Le Pakistan a ensuite demandé à United Global Organization of Development (U-GOOD) (Pakistan) de fournir des détails sur son processus de désignation. 

Passant à Water, Environment and Sanitation Society – WESS (Pakistan), la délégation pakistanaise a demandé des éclaircissements sur ses associations avec les agences et programmes onusiens.  La Chine a demandé à West Papua Interest Association (Indonésie) de fournir des détails sur ses prochains projets de levée de fonds et les critères en matière de frais d’adhésion.  Les états financiers de l’organisation sont-ils disponibles et font-ils l’objet d’un audit?  Notant que World Historic and Cultural Canal Cities Cooperation Organization (Chine) n’a fourni que des informations sur ses activités en Chine, les États-Unis ont demandé des détails sur les projets menés en dehors de ce pays.  En quoi l’ONG Y S Makhdoomi Memorial Educational Trust (Inde) peut-elle contribuer aux travaux de l’ECOSOC? a questionné le Pakistan, suivi de la Chine qui a demandé à Yadam Institute of Research (Inde) de fournir une liste des pays dans lesquels elle a mené et mène des activités. 

Le Pakistan a demandé à l’ONG Youth Parli of Pakistan (YPP) (Pakistan) de soumettre au Comité la liste des noms des 11 organisations qui font partie de ses membres.  Passant à l’organisation Youth for Human Rights Pakistan (Pakistan), la délégation pakistanaise a demandé des détails sur les activités menées dans le cadre de sa campagne de plaidoyer.  L’Algérie a souhaité obtenir une liste détaillée des institutions qui financent Le Centre Idriss El Fakhouri des Etudes et de Recherches en Sciences Juridiques Oujda (Maroc) et des détails sur les liens qu’elle entretient avec ces institutions.  Passant à l’ONG A.D.A.M. (Association d’aide aux migrants) (France), la délégation algérienne a demandé des précisions sur ses critères d’adhésion notant une incohérence dans son dossier.  Le Cameroun a voulu savoir comment l’organisation All Survivors Project Foundation (Liechtenstein) parvient à fonctionner alors qu’elle indique n’avoir aucun membre. 

Cuba a demandé à l’ONG American Center for International Labor Solidarity (États-Unis) de fournir des informations détaillées sur les lieux où se trouvent ses 26 bureaux sur le terrain et leurs relations avec les autorités et les autres acteurs locaux.  La Chine a réclamé des précisions sur la participation d’American Medical Women’s Association, Inc. (États-Unis) aux travaux du Comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes.  La délégation chinoise a en outre relevé que l’Asociacion Psicoanalitica de Madrid (Espagne) n’a pas apporté les corrections nécessaires à sa demande concernant la terminologie de l’ONU.  La Türkiye a voulu en savoir plus sur l’affiliation entre l’Asociatia Romanian Women’s Lobby (Roumanie) et le European Women Association d’où proviennent un quart des revenus de l’ONG.  Passant à l’organisation l’Association Femmes Solidaires (AFS) (France), la délégation turque a demandé de fournir des exemples de ses projets caritatifs et humanitaires. 

La Géorgie a réclamé des informations sur la nature des relations qu’entretient l’Association of Civilians and Organizations for Corporate Learning Development “Mako” (Fédération de Russie) avec la Chambre civique de la Fédération de Russie.  Les États-Unis ont demandé à l’ONG Association of Lawyers of Russia (Fédération de Russie) une liste des institutions avec lesquelles l’ONG a travaillé.  La délégation américaine a également demandé à l’ONG Association of Non-for- Profit Organizations to Facilitate the Drug Prevention and Socially Dangerous Behaviour “National Anti-Drug Union” (Fédération de Russie), une liste des forums internationaux auxquels elle a l’intention de participer cette année.  La Chine a noté que l’organisation Canadian Lutheran World Relief (Canada) bénéficie d’un accord de soutien financier avec le Gouvernement canadien pour aider des réfugiés à s’installer au Canada.  Elle a demandé plus de détails sur ce programme.  En ce qui concerne Ceasefire Centre for Civilian Rights (Royaume-Uni), l’Érythrée a souhaité des éclaircissements sur le terme « personnel » utilisé dans sa demande ainsi que sur les mécanismes mis en place pour garantir le respect par l’ONG des normes de redevabilité dans le contexte humanitaire.  La délégation a également souhaité savoir quelle est son expertise pour apporter un soutien à la société civile au Soudan du Sud en matière de systèmes d’alerte rapide contre les violences fondées sur l’identité. 

Cuba a demandé à Center for Military Human Rights Korea (CMHRK) (République de Corée) de préciser en quoi consiste ses « autres activités supplémentaires ».  La Türkiye a souhaité des informations supplémentaires sur le travail de promotion du patrimoine bio-culturel du Centro Intercultural de Estudios de Desiertos y Océanos A.C (Mexique).  Le Nicaragua a demandé des informations sur les mesures prises par la Coalition pour l’abolition de la prostitution (CAP) (France) pour assister les femmes et les filles dans les pays où elle opère et pour garantir que les organisations avec lesquelles elle coopère agissent de manière éthique.  Quelles sont les organisations partenaires du Congrès mondial Amazigh (France), a ensuite questionné l’Algérie, suivie de Cuba qui a appelé Database Center for North Korean Human Rights (NKDB) (République de Corée) à éclaircir l’incohérence concernant le nombre de membres individuels.  L’organisation affirme d’une part en avoir 1 226 alors que dans ses réponses il est question de 1 245, a notamment relevé la délégation.

La Chine s’est intéressée aux liens entre les antennes et le siège de l’ONG European Interreligious Forum for Religious Freedom (EIFRF) (France).  La Türkiye a voulu savoir si le changement de structure de direction annoncé par European Network of Migrant Women (Belgique) avait été mis en œuvre en vue de rendre l’ONG plus démocratique.  Passant à l’organisation Fn-Sambandet i Norge (Norvège), la délégation turque a demandé une liste actualisée des organisations affiliées.  Quant à l’organisation Fondazione Pangea ONLUS (Italie), la Türkiye a demandé des détails sur ses projets de recherche sur l’écologie féministe et leurs financements.  Quelle est la nature des liens de l’ONG Foundation for a Drug-Free World (États-Unis) avec ses bénévoles? a ensuite voulu savoir l’Algérie

La Chine a demandé des précisions sur les objectifs de la Foundation of the National Council of YMCAs of Korea (République de Corée) et a voulu savoir si des projets de coopération avec les autorités locales sont envisagés.  La Géorgie a réclamé des détails sur les projets conjoints menés par Fundació Josep Irla (Espagne) et ses partenaires.  La Türkiye a souhaité obtenir des informations sur les outils utilisés par Geneva Call (Suisse) en matière de sensibilisation ciblée. Le Royaume-Uni a noté que plusieurs membres de l’organisation Global Alumni Alliance (Fédération de Russie) ont des liens avec le Gouvernement russe et a demandé à l’ONG de fournir des informations sur le rôle de ces individus dans le processus décisionnel. L’Algérie s’est pour sa part intéressée aux sources de financement de Global Detention Project (Suisse). 

Le Pakistan a souhaité en savoir plus sur les violations documentées par Human Rights Activists (États-Unis) en Iran.  La Chine a demandé si Humanity Diaspo (France) avait des activités à l’étranger en dehors du Maroc.  Notant que plusieurs partie prenantes participent au processus de transport de International Coordinating Council on Trans-Eurasian Transportation (CCTT) (Suisse), les États-Unis ont voulu savoir comment l’organisation parvient à garantir son indépendance.  L’Algérie a relevé une incohérence concernant le nombre de membres de l’International Cultural Diversity Organization (Autriche), tandis que la Chine a demandé à l’International Funders for Indigenous Peoples Inc. (États-Unis) de présenter la structure de son réseau. 

La délégation chinoise s’est ensuite intéressée à l’accréditation de l’International Society of Criminology (États-Unis) auprès de l’UNESCO, suivie de l’Algérie qui a souhaité connaître les critères d’allocation du budget de l’International Youth Federation (Royaume-Uni) et les contributions de chacun de ses membres.  Existe-t-il des règles pour éviter d’éventuels conflits d’intérêt?  Cuba a voulu savoir comment Intl. WeLoveU Foundation (République de Corée) finance ses activités alors qu’elle n’a pas de source de revenu régulière.  La Türkiye a souhaité savoir quels projets de l’organisation Kandilarla Dayanişma Vakfi (Türkiye) ont été financés par les fonds levés auprès de l’Union européenne et de l’ambassade de France en Türkiye.  Le Cameroun a demandé à l’ONG Khalsa Aid International (Royaume-Uni) d’expliquer comment elle obtient ses licences dans les pays où elle opère; comment elle procède pour s’assurer que l’aide parvient aux personnes qui en ont besoin et quelles mesures elle prend pour garantir la sécurité de son personnel sur le terrain. 

À la demande de la Chine, Khmers Kampuchea-Krom Federation (États-Unis) devra fournir des détails sur les organisations avec lesquelles elle a établi des partenariats.  L’Algérie a relevé une incohérence entre la liste des membres des organes exécutifs fourni au Comité par l’organisation Kite Oxford (Royaume-Uni) et celle qui figure sur son site Internet.  La Türkiye a voulu savoir si la deuxième conférence sur les droits des femmes organisée par Kvinnors Nätverk (Suède) avait eu lieu, s’intéressant notamment à son financement, à ses participants, et à ses résultats.  Notant qu’une partie importante du budget de Mamanet Mothers’ Cachibol League in Kfar Saba (Israël) provient d’autres ONG, l’Algérie a voulu en savoir plus sur la nature des liens avec ces organisations.  L’Érythrée a demandé à Mnemonic non-profit entrepreneurial company (Allemagne) de donner des précisions sur ses contributions aux travaux de l’ECOSOC en ce qui concerne les liens entre la technologie et les droits humains. 

L’Algérie a invité l’ONG Moscow Helsinki Group (Fédération de Russie) à donner plus de détails sur son processus de prises de décisions et les liens entre ses différents organes exécutifs.  Notant que l’ONG NAUH (Now Action & Unity for Human rights) (République de Corée) coopère avec le Bureau des Nations Unies à Séoul, la Chine a demandé sur quels projets a porté cette coopération.  Le Pakistan a souhaité prendre connaissance d’un exemple concret d’une des études publiées par NTC-Hands off Cain (Italie) sur la peine de mort dans le système mondial.  L’Inde a ensuite demandé à l’organisation Nationaal Papoea Vereniging ‘95/West Nieuw Guinea (Pays-Bas) de fournir ses états financiers pour les trois dernières années. 

Le Royaume-Uni a voulu en savoir plus sur les liens entre l’ONG National Committee on BRICS Research (Fédération de Russie) et l’État russe.  Nithyananda Dhyanapeetam Of Oklahoma City, Inc (États-Unis) a été priée par les États-Unis de préciser ses relations avec le guru Swami Nithyananda qui est accusé d’enlèvement et d’autres délits.  Nithyanandeshwara Paramashiva Hindu Tempel devra répondre à la même préoccupation de la part de l’Inde qui a précisé que ce guru est en fuite et fait l’objet d’un mandat d’arrêt international d’INTERPOL.  Le Nicaragua a voulu savoir comment Nobel Women's Initiative (Canada) mène ses activités alors qu’aucun membre n’est répertorié, avant de demander à PeaceCorea (République de Corée) des détails sur ses ressources.  

Au sujet de l’ONG Roosevelt House Public Policy Institute (États-Unis), la Türkiye a demandé s’il y a d’autres dépenses en plus des frais d’administration.  SAM pour les droits et les libertés (Suisse) devra pour sa part préciser au Comité des ONG, à la demande de l’Algérie, les différentes catégories de volontaires avec lesquels elle coopère.  L’Érythrée attend des détails sur les activités de SJAC (États-Unis), ainsi que sur celles de l’ONG Sheikh Abdullah Al Nouri Charity Society (Koweït), dont le budget semble très élevé.  Le Nicaragua a demandé des détails sur les fonds utilisés par Solidarity for Peace and Reunification of Korea (République de Corée). 

À la Stichting Mideast Youth (Pays-Bas), l’Algérie a demandé ses états financiers actualisés, avant que le Cameroun ne fasse une demande similaire à Stichting Volunteer Activists (Pays-Bas).  La même délégation a demandé des détails sur le fonctionnement de la Stichting White Helmets Foundation (Pays-Bas).  À l’ONG Suomalaiset kehitysjärjestöt - Finnish Development NGOs Fingo ry (Finlande), la Chine a demandé d’utiliser la bonne terminologie pour Hong-Kong, Taiwan et Macao.  La Syria Relief (Royaume-Uni) devra fournir, à la demande du Pakistan, la liste des activités récentes. 

À la Syrian Legal Development Programme (Royaume-Uni), l’Érythrée a demandé d’expliquer sa méthodologie de travail.  TMG Research gGmbH (Allemagne) devra aussi expliquer au Nicaragua comment elle collabore avec ses partenaires lors de ses enquêtes, notamment dans le secteur agricole.  Tai Studies Center (États-Unis) a été invitée par l’Inde à préciser le nombre de postes vacants au sein de son conseil d’administration et quelles sont les prérogatives de ce dernier.  The Auschwitz Institute for Peace and Reconciliation (États-Unis) a été priée par la Chine de préciser les pays dans lesquels ont été menés des programmes de lutte contre la discrimination liée au genre.  Le Nicaragua a également invité The Bar Human Rights Committee (États-Unis) à fournir la liste des organisations internationales qui la financent. 

The Foundation for the Defense of Democracies (États-Unis) a ensuite été invitée par Cuba à expliquer pourquoi ses dépenses sont si faibles par rapport aux recettes, ce qui laisse un solde de 15 millions de dollars dans les caisses.  À The Friendship League of Culture and Sport (Israël), l’Algérie a demandé quelle est la relation entre elle et ses grands donateurs.  Les États-Unis ont demandé la liste des récents accords de partenariats de l’ONG The Global Energy Association on Development of International Research and Projects in the Field of Energy (Fédération de Russie), avant que la Chine ne demande des détails sur les programmes de coopération entre The Global Initiative – Verein gegen transnationale organisierte Kriminalität (Autriche) et les gouvernements listés comme bailleurs de fonds.  À Time to Help UK (Royaume-Uni), la Türkiye a demandé de fournir des réponses plus détaillées aux questions précédemment posées. 

La Chine veut une liste des pays où Transitional Justice Working Group (Républqiue de Corée) mène des activités.  À Uluslararası Yardımlaşma ve Kalkındırma Derneği (Türkiye), l’Érythrée a demandé si elle collabore avec les autorités locales de la Syrie où elle dit avoir des activités.  Israël a ensuite voulu obtenir le détail des activités en Europe de l’ONG Österreichischer Rat Für Nachhaltige Entwicklung - Österreichischer Nachhaltigkeitsrat für soziale, ökologische und ökonomische Angelegenheiten (Autriche).  "Armenian Women for Health and Healthy Environment" NGO (Arménie) a été invitée par la Türkiye de préciser ses rapports avec le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE).  À "Mission Armenia" Charitable Non-governmental Organization (Arménie), la Türkiye a demandé des précisions sur ses rapports avec les Nations Unies. 

L’Algérie a dit attendre plus de détails sur les activités de l’ONG Association de la femme saharienne pour le développement intégré (Maroc), alors que l’Inde a demandé quel genre d’assistance Association for Social Solidarity and Empowerment Training Trust (ASSET) (Inde) a reçu ces 10 dernières années.  Cuba veut comprendre pourquoi les recettes et les dépenses de l’ONG Associação Nacional de Juristas Evangélicos – ANAJURE (Brésil) sont identiques.  Baghbaan (Pakistan) a été priée par l’Inde de fournir des détails sur ses donateurs étrangers, alors que le Centre for Participatory Democracy (Inde) devra expliquer à la même délégation pourquoi elle n’a pas mené d’activités depuis la fin de la pandémie de COVID-19. 

À Child Nurture and Relief Kashmir (Jammu-et-Cachemire), l’Inde a demandé les détails sur les fonds reçus entre 2020 et 2023 de donateurs externes.  Diplomatic Mission Peace And Prosperity (Albanie) a ensuite été invitée par le Pakistan de fournir des détails sur ses activités.  À son tour, l’ONG Direct Focus Community Aid (Pakistan) devra expliquer à l’Inde, pourquoi son site Internet ne fonctionne pas.  À Dr. APJ Abdul Kalam International Foundation (Inde), la Chine a demandé la liste des partenaires dans la région Asie-Pacifique.  L’Inde a par la suite dit attendre le rapport sur les activités en lien avec la protection de l’environnement menées en 2022 par Environmental and Societal Development Foundation (Pakistan). 

À Fondacioni "Yesilay" (Albanie), l’Arménie demande la liste des articles scientifiques publiés, tandis que l’ONG Fundación Ciudadanía y Desarrollo (Équateur) a été conviée par Cuba à expliquer comment elle garantit son indépendance du Gouvernement. C’est la même préoccupation qu’à transmis l’Inde à Girija Prasad Koirala Foundation for Democracy Peace and Development (Népal).  La délégation indienne a ensuite constaté que les précédentes questions posées à Global Village Forum Chakwal c/o Shaheen Degree College Chappar Bazar Chakwal (Pakistan) sont restées lettre morte, avant de demander à Human Rights Initiative (Inde)de fournir des détails sur sa participation aux travaux du Conseil des droits de l’homme. 

Imam Khomeini Relief Foundation (République islamique d’Iran) a été invitée par les États-Unis à expliquer comment elle s’y prend pour motiver les jeunes à fonder une famille.  Karim Khan Afridi Welfare Foundation (Pakistan) devra pour sa part expliquer à l’Inde comment d’autres ONG s’affilient à elle.  La même délégation à fait observer que le site Internet de Lahore Educational and Welfare Society (Pakistan) ne fonctionne pas et a dit attendre plus de détails sur les activités de l’ONG Legal Aid Society (Pakistan).  À Life Bliss Foundation (Singapour), l’Inde a demandé d’expliquer ses liens avec le guru indien Swami Nithyananda porté disparu. 

Mwatana Organization for Human Rights (Yémen) a ensuite été invitée par le Pakistan à préciser les sites de ses différents bureaux, alors qu’Israël entend comprendre comment National Forum for Human Rights(Yémen) compte combler son déficit financier.  De leur côté, les États-Unis veulent savoir comment Nithyananda Dhyanapeetam TCD Trust (Inde) entend contribuer aux travaux de l’ECOSOC.  La Türkiye a voulu en savoir plus sur le fonctionnement de l’ONG OxYGen Foundation for Protection of Women and Youth Rights (Arménie).  À PAY-W Clinic (Inde), l’Inde a demandé d’expliquer comment elle fonctionne. La même délégation a demandé à Pak Special Persons Welfare Society (Pakistan) de préciser si elle compte des ONG comme membres. 

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