Le Comité des ONG recommande le statut consultatif spécial à 46 organisations, dont trois qui défendent les droits de populations et groupes vulnérables
Au cours de la seconde journée de sa reprise de session, le Comité chargé des organisations non gouvernementales (ONG) a recommandé au Conseil économique et social (ECOSOC) d’octroyer le statut consultatif spécial à 46 ONG, tout en recalant 85 autres. La plupart de ces dernières ont été invitées à fournir des informations complémentaires sur leurs états financiers, sur les activités présentes ou passées, ou encore à apporter des garanties de leur indépendance quand elles utilisent des fonds gouvernementaux.
Parmi les ONG qui ont reçu le quitus du Comité aujourd’hui, un certain nombre militent pour la défense et la promotion des droits de populations et groupes vulnérables. C’est dans cette catégorie que se classe l’ONG Images For Inclusion Inc., créée en 2017 et qui a son siège aux États-Unis. Sa mission est de combiner la photographie et la philanthropie au profit des enfants, des femmes et des peuples autochtones vulnérables qui souffrent de privations matérielles et d’une participation sociale limitée. Elle s’attèle à exposer visuellement leurs désavantages socioéconomiques, culturels et politiques à travers des expositions de photos, et elle leur offre des opportunités et des ressources pour promouvoir leur insertion sociale.
Pour la National Ethnic Disability Alliance (NEDA) d’Australie, l’objectif majeur est de faire progresser et protéger les intérêts et les droits humains des personnes handicapées parmi les demandeurs d’asile, migrants et réfugiés. Cette ONG, créée en 1995, entend également contribuer aux travaux de l’ECOSOC et/ou de ses organes subsidiaires en contribuant à la mise en œuvre des objectifs de développement durable en Australie, notamment en se focalisant sur l’essor de sa cible, les personnes handicapées issues de l’immigration qui sont le plus souvent en proie à la pauvreté.
Par ailleurs, la Lanka Fundamental Rights Organization (Sri Lanka), créée en 2018, entend faire dans du concret. Estimant que « préparer des livres, animer des séminaires et des ateliers n’est pas pratique », l’organisation s’attèle à aider les enfants qui ne peuvent pas aller à l’école en raison de difficultés financières ainsi que ceux qui sont harcelés par leurs parents par le biais de conseils juridiques. Elle promeut également l’éducation sanitaire, organise des camps médicaux et assiste les communautés en matière de préservation des eaux souterraines potables, tout en veillant au transport adéquat des enfants et des aînés. En plus, parmi ses projets spéciaux, l’ONG entend assurer la plantation d’un million d’arbres et accompagner la création d’entreprises sociales.
Le Comité des ONG peut recommander trois différents statuts consultatifs auprès de l’ECOSOC: le statut consultatif général, le statut consultatif spécial et l’inscription sur la Liste.
Le premier statut est réservé aux grandes ONG internationales dont les domaines d’action et de travail couvrent la majorité des points contenus dans l’agenda de l’ECOSOC et de ses organes subsidiaires. Ces ONG sont habilitées à soumettre au Conseil des communications écrites et des pétitions, et à proposer l’inscription de points à l’ordre du jour. Le statut consultatif spécial est octroyé aux ONG travaillant dans un domaine spécifique et les autorise à soumettre des communications écrites et des pétitions à l’ECOSOC. Enfin, la Liste va aux ONG qui ont tendance à travailler d’une manière plus technique et/ou restreinte. Elles ne peuvent soumettre au Conseil que des communications écrites.
Le Comité des ONG poursuivra ses travaux demain, mercredi 31 août, à partir de 10 heures.
NOUVELLES DEMANDES D’ADMISSION AU STATUT CONSULTATIF
Octroi du statut consultatif spécial
1. Images For Inclusion Inc (États-Unis)
2. Inner Trip Reiyukai International (États-Unis)
3. Instituto Internacional de Derecho y Medio Ambiente/International Institute for Law and the Environment (Espagne)
4. International Assembly of Roma (États-Unis)
5. Interpol Center (Royaume-Uni)
6. Jacobs-Abbey Global Institute for Leadership Studies Inc. (États-Unis)
7. Japan Civil Society Network on SDGs (Japon)
8. Korea Leaders Forum: Caring and Serving People (République de Corée)
9. Les Caribous Libérés (France)
10. Life of the Children (République de Corée)
11. Manitoba Council for International Co-operation, Inc. (Canada)
12. Model European Parliament Italia (Italie)
13. National Center on Sexual Exploitation, Inc. (États-Unis)
14. National Ethnic Disability Alliance Incorporated (Australie)
15. National Resource Center on Domestic Violence, Inc. (États-Unis)
16. Native American Fatherhood & Families Association (États-Unis)
17. Nouveau Point De Vue (N.P.D.V.) (France)
18. ReflectUS (États-Unis)
19. Research Institute for Japan’s Globalization (Japon)
20. SEN Slovensko a Cesko (Slovaquie)
21. Saving the Nations Ministries International (États-Unis)
22. Seton Hall University (États-Unis)
23. Society for Personality and Social Psychology, Inc. (États-Unis)
24. Sri Lankan Youth Organization Inc. (États-Unis)
25. Stella’s Girls, Inc. (États-Unis)
26. Stichting Fibree (Malte)
27. Stichting Power To Win (Pays-Bas)
28. Street Salvation Ministries, Inc. (États-Unis)
29. Swedish Organization for Global Health (Suède)
30. True Ways International Inc. (États-Unis)
31. Warming Hands (République de Corée)
32. Workers Center for Racial Justice, NFP (États-Unis)
33. Bureau international des droits des enfants / International Bureau for Children’s Rights (Canada)
34. Canadian Medical Association (Canada)
35. Anukulan (Inde)
36. Association for Promoting Sustainability in Campuses and Communities (Inde)
37. Caritas India (Inde)
38. Engineering Association for Development and Environment (Iraq)
39. Global Forum for the Defence of the Less Privileged (GFDLP) (Cameroun)
40. Human Welfare Charitable Trust (Inde)
41. Instituto Campanha Nacional pelo Direito à Educação (Brésil)
42. Kolkata Society for Cultural Heritage (Inde)
43. Lanka Fundamental Rights Organization (Sri Lanka)
44. Mukti (Inde)
45. Piramal Swasthya Management and Research Institute (Inde)
46. Prayas Juvenile Aid Centre (Inde)
Examen des demandes de statut consultatif
Les États-Unis ont voulu savoir quels sont les frais imposables aux membres de International Coordinating Council on Trans-Eurasian Transportation (CCTT) (Suisse). La Chine a invité National Federation of Business and Professional Women’s Clubs of Japan (Japon) à corriger sa liste de pays partenaires dans laquelle on trouve Taiwan « qui est une province de la Chine ». Il en est de même de la New York University (États-Unis) qui a été appelée par la délégation chinoise à faire les mêmes corrections pour Taiwan, Macao et Hong Kong. L’Inde a demandé comment Rescue: Freedom International (États-Unis) choisi ses partenaires dans d’autres pays du monde et a réclamé des détails sur les projets spéciaux de l’ONG.
La Chine a ensuite appelé l’ONG Rick Hansen Foundation (Canada) à corriger son site Internet qui mentionne Taiwan. Une remarque similaire a été faite à l’endroit de Stichting Deltares (Pays-Bas) par la délégation de la Chine. Le Nicaragua a demandé à The Friendship League of Culture and Sport (Israël) d’expliquer comment elle garantit son indépendance alors que la majeure partie de ses fonds proviennent des sources gouvernementales. Israël a demandé des précisions sur le financement de l’ONG Angkatan Belia Islam Malaysia (ABIM) (Malaisie). À Asian Federation against Involuntary Disappearances (AFAD), Inc. (Philippines), la Chine a demandé si elle travaille avec une équipe de vérification des informations qu’elle collecte sur le terrain. La Fédération de Russie a souhaité avoir de plus amples informations sur le déploiement international de l’ONG Association Achbal Maroc culturelle et artistique (Maroc).
Child Nurture and Relief Kashmir a été priée par l’Inde de rectifier le nom de son lieu d’exercice et la citoyenneté de ses membres, tandis que le Nicaragua a voulu savoir si la Fondation Youya pour promouvoir l’excellence en la jeunesse africaine (Maroc) dispose d’un siège fixe. L’Inde a pour sa part dit attendre des détails sur le déploiement international de Girija Prasad Koirala Foundation for Democracy Peace and Development (Népal). Le Pakistan a ensuite demandé des précisions sur les organisations membres de Help in Need (Pakistan). L’union marocaine des conseils et association de la société civile (Maroc) a été invitée par le Nicaragua à préciser qui sont ses dirigeants. Israël entend avoir des clarifications sur les fonds gouvernementaux que mentionne WeYouth (Tunisie), alors qu’elle mentionne également ne pas en recevoir. La même délégation a aussi demandé des précisions sur le budget de Women Islamic Lawyers’ Forum (Pakistan).
La Chine a voulu en savoir plus sur le travail et la collaboration de l’ONG Den Norske Helsingforskomité (Norvège) avec les agences onusiennes. Israël pour sa part s’interroge sur l’indépendance de l’ONG Euro-Mediterranean Human Rights Network (Danemark) qui reçoit une grande partie de ses fonds du Gouvernement. À Fn-Sambandet i Norge (Norvège), la Türkiye a demandé des précisions sur ses activités de 2021. Pour Israël, il y a un décalage à expliquer entre les fonds reçus et les dépenses engagées par Gazze Destek Association (Türkiye). Entretenez-vous des partenariats dans des pays étrangers, notamment l’Iran? a demandé la Fédération de Russie au sujet de l’ONG Human Rights Activists (États-Unis). La même délégation a aussi réclamé des détails sur les activités internationales de l’ONG International Center for the Study, Prevention and Treatment of Multigenerational Trauma Inc. (États-Unis).
Le Nicaragua a invité International Organization for Cooperation in Evaluation (Canada) à envoyer une liste de ses membres au Comité des ONG. À Labdaros ir paramos fondas « Nevyriausybinių organizacijų informacijos ir paramos centras » (Lituanie), la Fédération de Russie a demandé d’expliquer comment elle compte assurer son rôle de coordination d’autres ONG, et comment se fait le processus d’adhésion. À la même ONG, la Chine a demandé quel est le processus de prise de décision. Les États-Unis ont ensuite demandé à trois ONG de clarifier leurs relations avec le guru Swami Nithyananda qui est accusé de viol et d’enlèvement en Inde. Il s’agit des ONG Nithyananda Dhyanapeetam Of Phoenix (États-Unis), Nithyananda Dhyanapeetam Temple & Cultural Center (États-Unis), et Nithyananda Dhyanapeetam of Houston (États-Unis).
L’organisation Policy Studies Organization (États-Unis) devra, à la demande de la Fédération de Russie, fournir la liste des pays qui font l’objet de ses activités. La même délégation a voulu savoir pourquoi The Aspen Institute, Inc. (États-Unis) n’avait pas répondu à temps aux questions du Comité des ONG aux cours des deux dernières sessions. À la même organisation, la Chine a demandé des détails sur ses projets en Asie du Sud-Est. Même préoccupation de Cuba qui a souhaité avoir des précisions sur les activités menées en Amérique latine. La Chine a ensuite souhaité savoir si The Foundation for the Defense of Democracies (États-Unis) a reçu des fonds gouvernementaux au cours des années récentes. Pourquoi cette ONG n’accepte-t-elle que les fonds du Gouvernement américain et pas d’autres gouvernements? a voulu savoir Cuba. Israël a ensuite demandé quelle est la part des fonds publics dans le budget de Uluslararası Yardımlaşma ve Kalkındırma Derneği (Türkiye).
Le Pakistan a demandé des précisions sur les activités de l’ONG « The Awakening » A Society for Social & Cultural Development (Pakistan), tandis que la Fédération de Russie a souhaité connaître à quel titre AKAHATÁ Equipo de Trabajo en Sexualidad y Géneros Asociación Civil (Argentine) a pris part aux travaux du Conseil des droits de l’homme. La même délégation a voulu comprendre pourquoi 97% des revenus de l’ONG Aliança Nacional LGBTI (Brésil) ont été consacrés à un seul projet. Le Bahreïn a ensuite invité Arab Organization for Arabization and Communication (Maroc) à fournir ses états financiers pour les deux dernières années. Les États-Unis ont voulu des détails sur le projet de création d’une clinique juridique de l’Asociación Civil Grupo SURES (Venezuela).
Qui sont les membres de l’assemblée générale de l’Afghanistan Green Crescent Organization (Afghanistan)? a demandé la Grèce. L’Association de la femme saharienne pour le développement intégré (Maroc) a été priée par le Nicaragua de préciser l’objet de ses projets pour les femmes ainsi que son budget. La même délégation a voulu savoir si l’Association des Marocains victimes d’expulsion arbitraire de l’Algérie (Maroc) est indépendante par rapport aux bailleurs.
L’Association for Social Solidarity and Empowerment Training Trust (ASSET) (Inde) reçoit-elle un financement local? a questionné le Pakistan. L’Inde a demandé à Baghbaan (Pakistan) des détails sur un projet avec une association australienne. Quelles sont les raisons de la fluctuation du budget alloué au personnel de Beijing People’s Association for Friendship with Foreign Countries (Chine)? ont questionné les États-Unis.
La même délégation des États-Unis a exigé de Belarus Fund of Peace (Bélarus) des détails sur son état financier et son personnel. L’Inde a voulu en savoir plus sur les femmes bénéficiaires du Centre for Participatory Democracy (Inde) ainsi que sur son budget projet, tandis que le Pakistan a voulu que Chanan Development Association (Pakistan) l’informe des régions où elle est active.
Les États-Unis ont demandé à Chinese Culture Promotion Society (Chine) d’expliquer comment elle est parvenue à combler son déficit budgétaire en 2017. Comment Dhyana Peetha Charitable Trust (Inde) mène-t-elle ses travaux et comment compte-t-elle contribuer aux travaux de l’ECOSOC? ont encore voulu savoir les États-Unis. Quel est le bilan financier de 2020 et 2021 de Dialogue & Development Forum (Yémen)? a interrogé le Bahreïn. Quelles sont les activités de Diplomatic Mission Peace And Prosperity (Albanie) en 2022 et en 2023? a questionné la Grèce.
Direct Focus Community Aid (Pakistan) a-t-elle des liens avec le Gouvernement? s’est ensuite enquis le Pakistan, avant que l’Inde ne réclame des détails sur les projets et le financement de l’Environmental and Societal Development Foundation (Pakistan). Quel a été l’impact de la COVID-19 sur les activités de la Fondacioni « Yesilay » (Albanie) et y a-t-il des projets prévus pour le relèvement? a demandé la Grèce.
Le Forum for Development and Human Rights Dialogue (Égypte) a été prié par la Türkiye de préciser la nature de ses relations avec les autres organisations-partenaires. Les États-Unis ont demandé à la Fundación Venezolana por el Derecho a la Vivienda (Venezuela) des détails sur son projet immobilier. La General Union of Arab Experts (Maroc) devra répondre à l’Inde qui a souhaité recevoir une liste des experts privés de l’organisation et savoir dans quels domaines ils travaillent.
Quel rôle jouent les fonctionnaires gouvernementaux dans Global Energy Interconnection Development and Cooperation Organization (Chine)? ont demandé les États-Unis. L’Inde a demandé à Global Village Forum Chakwal c/o Shaheen Degree College Chappar Bazar Chakwal (Pakistan) de fournir le détail de son budget. Le Pakistan a voulu que Gramin Vikas Vigyan Samiti (Inde) s’explique sur son projet sur les droits humains. L’Inde a ensuite prié Human Rights Protection Group and MFP Federation (Inde) de fournir des informations complémentaires sur le projet de « téléphone vert » et son impact.
Le Pakistan a souhaité en savoir plus sur le projet d’assistance juridique de la Human Rights Protection Organization (Pakistan). La même délégation du Pakistan a aussi voulu que Humanitarian Aid International (Inde) explique le « financement collectif ». La Incentive Care Foundation (Pakistan) devra pour sa part communiquer à l’Inde ses bilans financiers de 2019, 2020 et 2021.
India Youth For Society (Inde) devra énumérer pour le Pakistan ses projets sur la non-violence. L’Institute for Integrated Rural Development (Inde) expliquera au Pakistan la nature de ses liens avec le Gouvernement. La même délégation du Pakistan a demandé à l’Institute of Peace and Diplomatic Studies (IPD) (Pakistan) pourquoi elle est enregistrée sous « forme fiduciaire ».
Quelles sont les modalités de coopération avec les partenaires internationaux de Jan Lok Kalyan Parishad (Inde)? a également demandé le Pakistan. L’Inde a voulu des informations supplémentaires sur les projets de Lahore Educational and Welfare Society (Pakistan) et a souhaité savoir à quelle campagne du Gouvernement Mentor Amiable Professional Society (Pakistan) a participé ces cinq dernières années.
Mumbai Smiles Foundation (Inde) a-t-elle un nombre de membres suffisant pour ses travaux? Compte-t-elle sur les volontaires pour ses activités? a interrogé le Pakistan qui a ensuite demandé à Nagrik Foundation (Inde) de clarifier les incohérences dans son budget. L’Inde a invité Nithya Annamandir Trust (Inde) à fournir la liste de ses partenaires.
Dialogue avec les ONG
Le représentant de Parlamento Internacional para los Derechos Humanos (PIDH) (Venezuela) a expliqué que cette ONG vient en aide aux migrants. Elle est présente dans 34 pays où elle lutte pour les droits humains des migrants ou des migrants placés en détention. Quels sont vos liens avec les gouvernements des États-Unis et des pays de la région? a demandé Cuba, tandis que le Nicaragua a voulu savoir comment l’ONG contribue aux travaux de l’ECOSOC. La Fédération de Russie a voulu savoir comment avec 500 dollars, elle est en mesure de s’acquitter de son travail.
Examen des demandes de statut consultatif
Quelle est la forme juridique de Nithya Annamandir Trust (Inde)? a demandé l’Inde qui a par ailleurs voulu savoir qui contrôle le nom du domaine Internet de Nithya Gnanadhan Trust (Inde). Elle a aussi questionné l’Organisation Tamaynut (Maroc) sur la nature de son financement extérieur.
Les États-Unis ont voulu en savoir plus sur les différences entre les ONG Nithyananda Dhyanapeetam TCD Trust (Inde), Nithyananda Dhyanapeetam (Inde), Nithyananda Foundation (Inde) et Nithyanandeshwar Devasthanam Trust (Inde).
Quelles sont les activités sur l’autonomisation des femmes organisées par l’Organization of female conscience renewal (Maroc) ces cinq dernières années? a demandé l’Inde qui a également réclamé le bilan financier de l’ONG. La Türkiye a questionné OxYGen Foundation for Protection of Women and Youth Rights (Arménie) sur ses relations avec d’autres organisations. Qui sont les membres de Pak Special Persons Welfare Society (Pakistan)? a interrogé l’Inde.
La Pakistan Press Foundation (Pakistan) devra fournir au Pakistan le détail des contributions financières respectives de ses deux bailleurs. Quelles sont les activités génératrices de revenu de Populous Education Foundation (Inde)? a également voulu savoir le Pakistan. Les États-Unis ont demandé des précisions sur les critères de recrutement des membres de Pouya Institute for Communications and Social Development (Iran). Le Pakistan a voulu que Pro Rural (Inde) l’informe de ses projets de transformation.