L’Assemblée générale réfléchit à un mécanisme propre à faciliter le développement, le transfert et la diffusion des technologies vertes
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L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE RÉFLÉCHIT À UN MÉCANISME PROPRE À FACILITER LE DÉVELOPPEMENT,
LE TRANSFERT ET LA DIFFUSION DES TECHNOLOGIES VERTES
(Adapté de l’anglais)
Après les ateliers de ces deux derniers jours, l’Assemblée générale en organisera deux autres, les 30 et 31 mai prochains, sur les meilleures options d’un mécanisme propre à faciliter le développement, le transfert et la diffusion des technologies vertes dans le monde.
L’Assemblée assure ainsi le suivi de « L’avenir que nous voulons », le Document final de la Conférence sur le développement durable « Rio+20 », qui avait expressément demandé que l’on facilite le flux des technologies propres et respectueuses de l’environnement vers les pays en développement.
Les deux premiers ateliers ont porté sur les capacités de la recherche et du développement et la manière de promouvoir l’innovation. Les discussions de la fin du mois de mai se concentreront sur un meilleur accès des pays en développement aux technologies vertes et sur le renforcement de l’architecture internationale du développement, du transfert et de la diffusion de ces technologies.
Les conclusions des ateliers seront consignées dans le rapport que le Secrétaire général de l’ONU doit présenter à la prochaine session de l’Assemblée générale qui s’ouvrira en septembre 2013.
Le Vice-Président de l’Assemblée générale, M. Abulkalam Abdul Momen, a estimé que ces ateliers sont l’occasion d’évaluer les besoins en technologies des pays en développement et de stimuler notre imagination sur les options disponibles et concevables pour y répondre.
Il nous faut une image plus claire de tous les aspects de la question, a renchéri M. Wu Hongbo, Secrétaire général adjoint aux affaires économiques et sociales. Quels sont les obstacles à l’accès des technologies à des prix abordables? Quel y est le rôle des droits de propriété intellectuelle et de l’absence de concurrence? Pourquoi certains pays n’arrivent-ils pas à intégrer ce type de technologies?
Le Secrétaire général adjoint a noté les changements intervenus depuis la première Conférence de Rio en 1992, en particulier le potentiel avéré de la coopération Sud-Sud.
Les discussions tenues jusqu’ici, qui ont mis l’accent sur le caractère essentiel de cette coopération mais aussi de la Nord-Sud et de la triangulaire, ont également souligné l’importance d’une approche systémique et holistique du transfert des technologies pour lutter contre la pauvreté, en travaillant avec la nature plutôt que contre elle, en tirant parti des solutions locales et en renforçant les institutions.
Pour plus d’informations, veuillez consulter le site http://sustainabledevelopment.un.org/index.php?page=view&type=13&nr=419&menu=1026.
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