AG/AB/3817

CINQUIÈME COMMISSION: DES DÉLÉGATIONS SOUHAITENT DES ASSURANCES POUR UN LANCEMENT RAPIDE DE LA RÉHABILITATION DU SIÈGE DE L’ONU

24/10/2007
Assemblée généraleAG/AB/3817
Département de l’information • Service des informations et des accréditations • New York

Cinquième Commission

9e séance - matin


CINQUIÈME COMMISSION: DES DÉLÉGATIONS SOUHAITENT DES ASSURANCES POUR UN LANCEMENT RAPIDE DE LA RÉHABILITATION DU SIÈGE DE L’ONU


Elles demandent des précisions sur les moyens utilisés, notamment l’analyse de valeur, pour compenser les surcoûts liés au retard


Les délégations de la Cinquième Commission (administrative et budgétaire) ont continué ce matin à présenter leurs remarques et à demander des renseignements supplémentaires sur l’avancement du projet visant à remédier d’une façon globale, systématique et rentable, aux défauts des bâtiments du Siège de l’ONU, à New York.  Ce projet dit « Plan-cadre d’équipement » avait été initialement présenté en l’an 2000.  Il fait l’objet, pour examen à cette session, d’un cinquième rapport* du Secrétaire général.  Celui-ci propose aux États Membres une exécution accélérée du programme de rénovation sélectionné lors de la session précédente.


« Comment nous assurer que nous n’allons pas répéter les erreurs du passé? » s’est interrogé le représentant du Groupe des 77 et de la Chine, par la voix du Pakistan ce matin, s’inquiétant de nouveaux retards dans la mise en œuvre du Plan-cadre.


À l’instar de l’ensemble des délégations intervenues ce matin, il s’est particulièrement inquiété des coûts supplémentaires chiffrés à 219,6 millions de dollars par le rapport du Secrétaire général par rapport au budget de 1 milliard 870 millions approuvé en décembre 2006 par l’Assemblé générale.  Le rapport mentionne les trois causes de ce surcoût: les retards de calendrier avec l’inflation des coûts de construction; la hausse rapide des loyers dans le quartier de l’ONU, donc des locaux transitoires; et l’augmentation du devis de certains lots de travaux.


Tout en saluant l’opportunité d’une réhabilitation accélérée proposée par le Secrétaire général, les délégations ont souhaité que cette nouvelle option avec les économies qu’elle permet, ne se réalise pas au détriment de la sécurité du personnel, des États Membres et des visiteurs, ni de la marche des activités de l’Organisation ou encore de la viabilité environnementale du bâtiment.  Plusieurs délégations sont revenues sur les décisions prises concernant le financement.  Ainsi, la République de Corée a souhaité que l’on exploite mieux les possibilités de dons privés.


Répondant aux nombreuses questions sur le potentiel d’économies offert par le processus d’analyse de valeur, M. Michael Adlerstein, Directeur du Plan-cadre d’équipement, a précisé qu’il s’agissait d’un processus habituel visant à identifier les économies possibles pour permettre une réalisation optimale sans perdre en qualité.


De son côté, le Contrôleur des Nations Unies, Warren Sach, a mis l’accent sur la nécessité de disposer de liquidités pour payer les fournisseurs quelle que soit la lenteur du versement des quotes-parts des États Membres.  Même s’il n’a pas été nécessaire d’émettre une lettre de crédit, le financement du Plan-cadre devant être suffisant pour couvrir le coût de la construction, le Secrétaire général a demandé que soit maintenue l’approbation d’une lettre de crédit figurant dans la résolution 61/251, afin que le Directeur des travaux soit rassuré sur la disponibilité de fonds adéquats.


Plusieurs délégations se sont félicitées des avancées positives marquées par la nomination, le 2 juillet 2007, du nouveau Directeur du Plan-cadre d’équipement et de la signature, le 27 juillet 2007, d’un marché avec la société de construction Skanska Building USA, un marché comprenant une partie A relative aux services consultatifs préalables à la construction et une partie B concernant la gestion des travaux de construction.


Toujours dans le domaine des réalisations, il a été entendu, ce matin, que l’on procédait actuellement à des études géothermiques en sous-sol, préalable à la conception des fondations pour le bâtiment de conférence temporaire sur la pelouse nord et que des échafaudages seront installés cette semaine pour établir les conditions exactes d’ancrage de pierres sur la façade du Secrétariat.


Les travaux de conception concernant le Plan-cadre d’équipement, qui ont considérablement progressé, se déroulent en trois grandes étapes: la phase préliminaire (achevée en 2002), l’élaboration des plans (achevée en 2006) et les cahiers des charges (qui doivent être prêts en 2007-2008).  En décembre 2006, l’Assemblée générale a approuvé, dans sa résolution 61/251, les dispositions concernant le Plan-cadre d’équipement, y compris l’échelonnement du projet, les locaux transitoires et les coûts de 1 milliard 870 millions, qui constituent la stratégie IV.  Le dernier rapport du Secrétaire général indique que le moyen le plus approprié d’exécuter le projet consisterait à effectuer la rénovation du Secrétariat en une seule phase, et à exécuter les travaux concernant les bâtiments des conférences et de l’Assemblée générale successivement dans une seule phase, contrairement aux trois phases séparées qui étaient envisagées auparavant.  Estimé à 991 millions de dollars en 2002, cette réhabilitation devait intervenir initialement en 2004 et 2005 et s'étendre jusqu'en 2009.  L’évaluation du budget du Plan-cadre d’équipement est passée successivement de 1 587 800 000 à 1 646 300 000 dollars en août 2006 pour atteindre désormais 1 876 700 000 dollars. 


Outre les délégations citées sont également intervenus: les représentants de la Chine, de La République-Unie de Tanzanie et de l’Égypte.


La prochaine réunion de la Cinquième Commission aura lieu jeudi 25 octobre à 10 heures


* rapport A/62/364



Plan-cadre d’équipement


Fin du débat général


M. PARK HEE-KWON (République de Corée) s’est félicité des efforts accomplis par le Secrétaire général, la Secrétaire général adjointe à la gestion et tous les membres du Bureau du Plan-cadre d'équipement, afin de perturber le moins possible les travaux de l’ONU et de s’assurer que le projet reste dans les limites du calendrier fixé et du budget approuvé.  Il a exprimé sa confiance envers le nouveau Directeur exécutif du Plan-cadre et a apprécié la diligence du Secrétariat qui a réussi à résoudre certaines difficultés plus rapidement que prévu.  Parmi les progrès notables réalisés depuis le quatrième rapport du Secrétaire général, il a cité la signature d’un bail pour les locaux transitoires.  Le représentant s’est aussi montré favorable à la Stratégie IV accélérée, notant qu’elle présente l’avantage d’atténuer plusieurs facteurs de risques.


Les plus grands espoirs et le plus grand souci de la République de Corée à l’heure actuelle sont relatifs à l’analyse de la valeur du projet, a poursuivi M. Park.  Il a rappelé que cette technique innovante vise à nous permettre d’atteindre nos objectifs à un coût réduit.  Pour l’instant, cette analyse nous semble tenir plus de la baguette magique ou de la boîte noire, a-t-il indiqué, souhaitant plus de détails concrets sur cette question.


Les États Membres ne peuvent pas faire aveuglément confiance à cette technique, a-t-il insisté.  Il a espéré que le nouveau maître d’ouvrage pourra faire une analyse technique de cette méthode.


Le représentant s’est aussi demandé si cette analyse de la valeur peut satisfaire à la promesse du Secrétaire général que les bâtiments rénovés seront un modèle d’économie d’énergie.  Il faut aussi accorder une attention spéciale à la santé du personnel de l’ONU ainsi qu’à celle des visiteurs, a indiqué M. Park.  Nous ne devons pas permettre que les économies prennent le pas sur la fonctionnalité ou la viabilité du point de vue de l’environnement.  En ce qui concerne les procédures d’appel d’offre et de passation des marchés, il a demandé qu’elles soient exemplaires.  Le représentant a ensuite voulu savoir si des progrès avaient été faits dans la recherche de dons privés afin d’alléger les efforts des États Membres.  Le personnel du Secrétariat bénéficie le plus directement de cette rénovation, a-t-il fait remarquer, invitant donc tous les départements à se coordonner et à entrer en communication active avec le Bureau du Plan-cadre d'équipement.  Le représentant a enfin émis l’espoir que les organes de contrôle interne et externe veilleront à ce que le Plan-cadre reste sur des rails et que le coût du projet reste le même jusqu’à la fin des travaux.


M. REN YISHENG (Chine) s’est félicité de la nomination du Directeur exécutif du Plan-cadre d’équipement, de la signature d’un contrat confié à un maître d’ouvrage ainsi que de la publication des documents relatifs au projet.  Il a noté que pour plusieurs raisons, la mise en œuvre a pris du retard par rapport au calendrier établi par l'Assemblée générale.  Il a souligné les difficultés et risques associés à la mise en œuvre du Plan-cadre d’équipement et retenu la volonté du Secrétaire général de proposer une phase accélérée, notamment dans un souci de sécurité.  Il a invité le Secrétaire général à mettre en œuvre les recommandations du CCQAB et du Comité des Commissaires aux comptes quant aux moyens de réaliser dans les délais cette réhabilitation sans porter atteinte au niveau de sécurité, en conservant le même niveau de budget de 1 milliard 870 millions de dollars et en préservant la qualité des activités des Nations Unies.  Il a également mis l’accent sur la nécessité de garantir des procédures de passation de marché transparentes.


M. JOHN J. NG’ONGOLO (République-Unie de Tanzanie) a appelé à respecter l’équité en ce qui concerne les appels d’offre et demandé si on avait évalué les risques à rouvrir les procédures d’appels d’offre.  Notant aussi que le type de contrat conclu avec le directeur des travaux suit le modèle de prix maximum garanti, il a relevé que ce modèle était utilisé à titre expérimental à l’ONU et donc souhaité que ses termes et conditions soient examinés attentivement sur les plans technique, juridique et financier.


En ce qui concerne l’émission de la lettre de crédit par un consortium international, le représentant a rappelé qu’elle a été intégrée aux arrangements financiers du Plan-cadre pour deux raisons: donner des garanties aux fournisseurs; et présenter une source alternative de ressources en cas de perturbation dans le flux de celles-ci du fait d’un ou plusieurs États Membres.  Dans un tel cas, le coût d’emprunt aux banques serait payé par les États Membres qui auraient causé la perturbation, a-t-il relevé.  Le représentant a aussi indiqué que la possibilité d’une surcharge du fait de l’utilisation d’une lettre de crédit avait été un facteur de décision pour son pays quand il avait choisi de verser sa contribution en un paiement unique.  Or, a-t-il noté, nous apprenons maintenant qu’il n’a pas été nécessaire d’utiliser une telle lettre de crédit.  Il a donc demandé à être assuré de la crédibilité des assurances données au directeur des travaux quant au bon financement du Plan-cadre.  Si ces assurances sont crédibles, sa délégation demandera alors si une réserve opérationnelle est toujours utile.


Répondant aux nombreuses questions des délégations, M. MICHAEL ADLERSTEIN, Directeur exécutif du Plan-cadre d’équipement, a indiqué que les coûts associés portaient sur un grand nombre d’exigences comme le matériel de communication, l’acquisition de mobilier, des locaux de gestion des archives et du matériel, la sécurité des installations ou encore du personnel supplémentaire nécessaire à la gestion de la technologie de l’information et de la communication.


Pour ce qui est des possibilités d’achats au profit des pays en développement, il a assuré que le Plan-cadre d’équipement veillera à ce que des possibilités d’offre pour l’achat de matières soient réservées à des pays en transition et des pays en développement.  S’agissant de la gestion des œuvres d’art, il a précisé que la rénovation sera l’occasion de se débarrasser de toute matière dangereuse, et de parvenir à un bâtiment équipé d’un système de gestion électronique contrôlant l’humidité et la température, sans oublier qu’il sera tenu compte de la luminosité.  Il a ajouté que les œuvres d’art seront complètement protégées de façon à éviter tout impact lié à la construction pendant la rénovation, en précisant que le contrat passé avec la société de construction Skanska contenait une clause à cet effet.  Il a précisé que la situation de ces œuvres offertes par les États Membres sera revue au cas par cas avec les donateurs respectifs, qui pourraient récupérer l’œuvre offerte durant la réhabilitation.


Pour ce qui est de la composition du Conseil consultatif du Plan-cadre d’équipement, il a expliqué que les membres seront nommés en respectant une représentation géographique, en fonction de leurs compétences dans le domaine de l’architecture, de la durabilité, du patrimoine historique, de la finance, de la construction dans la ville de New York, de la gestion de constructions en général.  Un Conseil, a-t-il précisé, qui sera mis en place au printemps 2008.


Pour ce qui est de la situation des négociations relatives à des locaux transitoires, il a indiqué que plusieurs locaux avaient été identifiés et que des contacts ont été pris avec un propriétaire en particulier, mais que les discussions ne s’achèveront qu’avec une décision de l'Assemblée générale.


En ce qui concerne le processus d’analyse de valeur, il a précisé qu’il s’agissait d’un processus habituel visant à identifier les économies possibles pour permettre une réalisation optimale sans perdre en qualité.  Par ailleurs, il a défendu l’option d’un calendrier simplifié et accéléré qui permettra un établissement de concepts plus simples.  Il a également précisé qu’à la date du 22 octobre tous les 19 postes temporaires du Bureau du Plan-cadre d’équipement étaient pourvus.


Evoquant des inquiétudes du Comité des Commissaires aux comptes sur les études techniques, il a indiqué que l’on procédait actuellement à des études géothermiques en sous-sol, préalable à la conception des fondations pour le bâtiment de conférence temporaire sur la pelouse nord.  Par ailleurs, il a précisé que des échafaudages seront installés cette semaine pour établir les conditions exactes d’ancrage de pierres sur la façade du Secrétariat.


M. WARREN SACH, Contrôleur de l’ONU, a souhaité séparer les questions de savoir si les estimations d’ensemble sont crédibles et si les réserves sont opérationnelles.  Nous n’avons pas utilisé de lettre de crédit pour l’instant, a-t-il rappelé.  Cette possibilité est prévue pour assurer la disponibilité des liquidités à tout moment, quelle que soit la lenteur des versements effectués par les États Membres.  Pour l’ensemble du projet, l’assurance est basée sur l’analyse de la valeur, a expliqué M. Sach.  Il a aussi rappelé que le Secrétaire général doit veiller à ce que le projet du plan-cadre d'équipement reste au niveau autorisé du budget approuvé, comme demandé par l’Assemblée générale, l’enveloppe budgétaire devant permettre de mener le projet jusqu’à son achèvement.  Nous avons des systèmes de contrôle des coûts en place, a-t-il assuré.


Sur le caractère expérimental du contrat, le contrôleur a indiqué que s’il est en effet nouveau pour l’ONU, il est cependant courant à New York d’avoir un contrat A et un contrat B.  Enfin, en ce qui concerne la viabilité des installations, M. Sach a estimé que, dans le paragraphe 48 du rapport, les derniers mots devraient être « mandat » au lieu de « recommandation ».  Ce paragraphe mentionne les nombreuses initiatives supplémentaires qui sont actuellement à l’étude et précise que l’équipe recherche activement l’appui de donateurs, selon la « recommandation » (le mandat) de l’Assemblée générale.


M. HESHAM MOHAMED EMAN AFIFI (Égypte) a souhaité plus d’informations sur les coûts associés.  La question n’est pas leur origine, a-t-il demandé, mais pourquoi ils n’avaient pas été intégrés au projet adopté en décembre 2006? Il a demandé pourquoi le Conseil consultatif du Plan-cadre d’équipement n’avait toujours pas été établi.  À propos des locaux transitoires, la question n’est pas, a-t-il estimé, de savoir combien, mais dans quelles mesures ils sont garantis.  À propos de l’analyse de la valeur, il a dit que la question était pourquoi nous n’avions pas eu de plan d’analyse de la valeur avant.  Il s’est demandé si le coût de la réhabilitation n’avait pas été surévalué.  Il a demandé comment nous pourrons être assurés que nous ne dépasserons pas le niveau de budget adopté.


M. IMTIAZ HUSSAIN (Pakistan), au nom du Groupe des 77 et de la Chine, s’est posé un certain nombre de questions en ce qui concerne le concept d’analyse de la valeur.  Est-il vraiment nouveau?  A-t-il été proposé par la société Skanska ou est-ce que l’administration le connaissait déjà?  Dans ce dernier cas, pourquoi ce concept n’a-t-il pas été intégré dès le début?  Le représentant a ensuite noté que le Comité des commissaires aux comptes s’est inquiété du manque de contrôle interne pour veiller à ce que les mandats de l'Assemblée générale soient pleinement mis en œuvre dans le cadre du Plan-cadre d’équipement.  La situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui est-elle le résultat de la passivité de l’Administration? a-t-il voulu savoir.  Comment nous assurer que nous n’allons pas répéter les erreurs du passé?  Si le Directeur exécutif ressent de la frustration à l’égard de la Cinquième Commission, comme cela s’est déjà passé avec le précédent directeur, où irons-nous? a interrogé l’intervenant.  Il faut un système de garantie et des arrangements concrets qui nous assurent que, cette fois-ci, le projet va aller de l’avant et ne pas s’effondrer, a recommandé le représentant pakistanais.  Il a souhaité que des mesures de responsabilisation soient adoptées.


Le représentant a aussi abordé la question des assurances selon lesquelles il n’y aura pas de dérive par rapport à ce qui a été présenté hier.  À ses yeux, aucune assurance n’est vraiment donnée si des dépassements budgétaires importants se produisent.  Si les choses se passent mal cette fois-ci qui sera responsable, a-t-il insisté.  Au sujet de la lettre de crédit, il a compris pourquoi il fallait une réserve opérationnelle, mais s’est demandé si on pouvait se passer d’une lettre de crédit.  Enfin, il a estimé que si le projet avance bien, les États Membres feront davantage preuve de bonne volonté pour verser leurs contributions.


Répondant aux questions du représentant du Pakistan qui est intervenu au nom du Groupe des 77 et de la Chine, M. ADLERSTEIN a précisé que l’analyse de la valeur était une pratique habituelle qui consistait à passer en revue les différents éléments du projet pour voir où nous pouvons réaliser des économies.  Le souci n’est pas seulement de ramener les coûts au niveau du budget adopté par l'Assemblée générale, mais bien en-deçà si possible.  Nous envisageons d’accélérer le processus de passation de marchés comme les autres décisions d’ailleurs, a-t-il insisté.  Que nous options pour le projet adopté en décembre ou la version accélérée proposée par le Secrétaire général, les coûts de tout nouveau retard dans les décisions peuvent être très lourds.  Dans tous les cas, a-t-il précisé, la construction des bâtiments provisoires de conférence sur la pelouse nord débutera au printemps 2008.  Répondant à des inquiétudes sur les disponibilités de crédit, il a précisé que l’émission d’une lettre de crédit ne sera nécessaire que si nous manquons de ressources pour payer le maître d’ouvrage qui devra engager des factures considérables au début des travaux.


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À l’intention des organes d’information • Document non officiel
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