LA CINQUIÈME COMMISSION SOULIGNE L’URGENCE DE CHOISIR UNE MÉTHODE DE FINANCEMENT DU PLAN-CADRE D’ÉQUIPEMENT
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Cinquième Commission
25e séance – matin
LA CINQUIÈME COMMISSION SOULIGNE L’URGENCE DE CHOISIR UNE MÉTHODE DE FINANCEMENT DU PLAN-CADRE D’ÉQUIPEMENT
Le budget de ce projet de rénovation s’élève désormais à plus de 1,8 milliard de dollars
La Cinquième Commission (administrative et budgétaire) a examiné, ce matin, le budget révisé du plan-cadre d’équipement, projet de rénovation du Siège des Nations Unies, à New York. Les délégations ont, à ce propos, souligné l’urgence de choisir une modalité de financement afin d’accélérer la mise en œuvre effective des travaux et de s’assurer qu’ils prennent bien fin dans les délais prévus, soit en 2014.
Chaque mois de retard entraîne une hausse des coûts de l’ordre de 9 à 10 millions de dollars, a précisé M. Warren Sach, Secrétaire général adjoint en exercice à la gestion, qui présentait le quatrième rapport annuel sur la mise en œuvre du plan-cadre d’équipement*. Ce document indique que le budget du plan-cadre d’équipement a augmenté par rapport à l’année dernière, passant de 1 587 800 000 dollars à 1 646 300 000 dollars en août 2006. De plus, le Secrétaire général y recommande que le projet de base soit étoffé par des mesures additionnelles relatives, entre autres, à la sécurité et au respect de l’environnement. Avec l’inclusion de ces mesures, le budget total du plan-cadre d’équipement s’élève à 1 876 700 000 dollars.
Appuyant ce budget révisé, y compris les options additionnelles, plusieurs délégations ont toutefois souhaité des précisions quant à la justification du coût de ces dernières, estimées à 230,4 millions de dollars. En outre, les représentants des États-Unis et du Japon ont insisté sur l’importance de la maîtrise des coûts et de l’exécution efficace et rentable des travaux.
Les délégations ont également débattu de la modalité de paiement à adopter pour financer le plan-cadre d’équipement, parmi les trois options présentées par le Secrétaire général: la mise en recouvrement d’une contribution à verser en une fois; la mise en recouvrement d’une contribution à verser sur plusieurs années; et le panachage entre un paiement versé en une fois et un paiement échelonné sur plusieurs années.
La représentante de l’Afrique du Sud, qui s’exprimait au nom du Groupe des 77 et de la Chine, ainsi que la déléguée de la Finlande, qui prenait la parole au nom de l’Union européenne, ont, comme de nombreux États Membres, fait valoir que la méthode de paiement échelonnée sur plusieurs années était la plus simple et la plus pratique. La plupart des délégations ont toutefois précisé que l’idée de souscrire une lettre de crédit, telle qu’avancée par le Secrétaire général, devait être étudiée avec soin. Quant au représentant du Japon, il a souligné sa préférence pour la méthode du panachage afin d’éviter le recours à la lettre de crédit.
Par ailleurs, certaines délégations ont souligné le rôle unique du pays hôte dans son soutien aux Nations Unies, y compris en matière financière. Alors que le représentant de Guyana a regretté, au nom du Groupe de Rio, que le pays hôte n’ait pas rempli ses responsabilités en ce qui concerne le bâtiment du Siège des Nations Unies, à New York, celui de la Chine a espéré que le pays hôte prendrait des mesures positives s’agissant de sa contribution au titre du plan-cadre d’équipement.
En fin de séance, les délégations ont fait part de leur préoccupation quant au retard pris dans les travaux de la Cinquième Commission. Plusieurs représentants, dont ceux de la Jordanie et de la Syrie, ont noté que le volume de travail restant était sans précédent. La représentante de la Finlande, s’exprimant au nom de l’Union européenne, a constaté qu’il restait 30 points de l’ordre du jour à examiner dans les trois semaines à venir. Rappelant qu’il était dans l’intérêt de tous d’en conclure le plus grand nombre, elle a indiqué qu’il faudrait également examiner les points à reporter à la reprise de session.
À l’instar du représentant de l’Égypte, la représentante de l’Afrique du Sud, prenant la parole au nom du Groupe des 77 et de la Chine, s’est particulièrement inquiétée des délais de parution des documents qui entravent l’examen des sujets par les délégations. Afin d’achever une plus grande partie du travail de la Cinquième Commission, elle a évoqué la possibilité de tenir des séances au-delà des heures régulières de réunion, une option soutenue par les délégations des États-Unis et de l’Inde, notamment.
Les délégations dont la liste suit ont pris la parole au cours des débats d’aujourd’hui: Afrique du Sud, au nom du Groupe des 77 et de la Chine; Finlande, au nom de l’Union européenne; Australie, au nom du CANZ; Guyana, au nom du Groupe de Rio; États-Unis; République de Corée; Japon; Suisse; Chine; Égypte; Jordanie; Syrie; Inde; Ukraine; Fédération de Russie.
M. Warren Sach, Secrétaire général adjoint en exercice pour la gestion, et M. Rajat Saha, Président du CCQAB, sont également intervenus.
La prochaine réunion de la Cinquième Commission sera annoncée dans le Journal.
* document publié sous la cote (A/61/549)
BUDGET-PROGRAMME DE L’EXERCICE BIENNAL 2006-2007
Plan–cadre d’équipement
Présentation et débat général
M. WARREN SACH, Secrétaire général adjoint en exercice à la gestion et Contrôleur des Nations Unies, a présenté le quatrième rapport annuel du Secrétaire général sur la mise en œuvre du plan-cadre d’équipement (A/61/549). Il a indiqué que ce document faisait part des informations les plus récentes sur les travaux de conception et de préconstruction ainsi que sur le calendrier du projet. Il a aussi noté que ce rapport recommandait d’inclure des options additionnelles à l’approbation du plan-cadre d’équipement, ainsi que de choisir une méthode de financement. Il s’agit de transformer le plan-cadre d’équipement en projet-cadre d’équipement, a-t-il précisé.
Il a souligné que les documents de construction devaient être finalisés fin 2007 et que les travaux commenceraient plus tard que prévu initialement, mais que leur date d’achèvement demeurerait la même, soit 2014. Il a constaté que chaque mois de retard des travaux aurait pour conséquence une augmentation des coûts d’environ 9 à 10 millions de dollars.
Par ailleurs, il a fait valoir qu’une des augmentations les plus importantes concernait la location de bureaux provisoires, en raison du peu de place disponible dans le quartier de Midtown à Manhattan. Il a précisé qu’il faudrait réinstaller 1 000 membres du personnel d’ici à la fin d 2007 et, qu’il faudrait donc agir vite pour louer des locaux, avant que les prix immobiliers n’augmentent encore.
M. Sach a fait valoir que le Secrétaire général recommandait vivement d’approuver les options additionnelles au plan-cadre d’équipement, dont le coût s’élève à 230,4 millions de dollars qui seront en majorité investis dans des mesures de sécurité. Il a expliqué qu’avec leur inclusion, le budget total du plan-cadre d’équipement serait de 1,876 millions de dollars. Enfin, il a indiqué que le Secrétaire général recommandait également que la méthode de financement de ce projet prenne la forme d’une mise en recouvrement auprès des États Membres, assortie de la souscription d’une lettre de crédit, ainsi que l’ouverture d’une réserve opérationnelle pour couvrir les déficits temporaires de trésorerie.
M. RAJAT SAHA, Président du Comité consultatif pour les questions administratives et budgétaires (CCQAB), présentant le rapport sur cette question (A/61/595), a indiqué que ce Comité approuvait le budget révisé du plan-cadre d’équipement ainsi que l’ouverture d’un crédit de 42 millions de dollars pour 2007. Il a aussi soutenu l’idée de créer une réserve opérationnelle pour ce projet, tout en demandant au Secrétariat de déployer tous les efforts pour obtenir des fonds de donateurs privés pour la mise en œuvre du plan-cadre d’équipement. En outre, il a exhorté le Secrétaire général à accélérer la mise en place d’un comité consultatif pour le plan-cadre d’équipement, et particulièrement les questions de financement. M. Saha a enfin estimé que les contrats devaient inclure des dispositions déclinant toute responsabilité de l’ONU en cas de retards imputables au prestataire.
Mme KAREN LOCK (Afrique du Sud), au nom du Groupe des 77 et de la Chine, a rappelé que tous ces pays avaient toujours appuyé le plan-cadre d’équipement pour rénover le Siège. Mais sa mise en œuvre à été retardée à maintes reprises, a-t-elle noté, regrettant en outre, que le pays hôte n’ait finalement pas pu faire construire un bâtiment provisoire ou même accorder un prêt sans intérêt, pour accélérer les travaux de construction. Le moment est venu de prendre une décision sur la stratégie de financement, a-t-elle dit, car les retards s’accumulent et aboutissent à une augmentation progressive des coûts imputables aux États Membres. La représentante a salué les nouvelles options proposées dans le rapport du Secrétaire générale qui, a-t-elle précisé, accordent une plus grande place à la sécurité pendant la période de rénovation. S’agissant des méthodes de paiement, elle a estimé que la plus simple des mises en recouvrement était celle échelonnée sur plusieurs années. Elle a également estimé que la question de l’instrument de crédit devrait être examinée plus avant au cours des consultations, de même que celle sur la manière d’élargir la liste de fournisseurs en provenance de pays en développement.
Mme KATJA PEHRMAN (Finlande), au nom de l’Union européenne, a souhaité qu’une décision rapide soit prise afin que le projet devienne vite réalité. L’état du bâtiment du Siège, construit en 1952, n’est pas aux normes de sécurité en vigueur à New York et continue de se détériorer. La représentante a mis l’accent sur la nécessité d’inclure dans le projet, les options relatives à la sécurité, conformément aux recommandations du rapport du Secrétaire général. Notant que le budget du plan-cadre est passé de 1,6 milliard à près de 1,9 milliard de dollars, Mme Pehrman a indiqué que l’UE examinerait, au cours des consultations informelles, les raisons de cette hausse et les diverses autres options proposées par le Secrétaire général. En ce qui concerne les méthodes de paiement, la représentante a fait savoir que l’UE était favorable à la mise en recouvrement échelonnée sur plusieurs années, méthode à son avis la plus simple. Elle a ajouté que l’Union européenne était prête à explorer des possibilités de paiements proportionnelles aux différentes phases des travaux pour éviter certains paiements inutiles effectués d’avance. La représentante a aussi indiqué que l’UE trouverait cohérent de fournir une lettre de crédit aux contractants en vue d’apporter la preuve, auprès des contractants, de la capacité de l’Organisation à financer le projet.
M. PETER STONE (Australie), au nom du Canada, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande (CANZ), a estimé que l’option de paiement échelonnée sur cinq ans était la méthode la plus transparente et facile à administrer, et, en outre, tient compte des possibilités des États Membres en matière de ventilation des versements. Le représentant a cependant ajouté que les remarques du CCQAB concernant les méthodes de paiement devraient être davantage examinées au cours des consultations informelles, affirmant que le choix de la formule de recouvrement échelonnée sur plusieurs années impliquerait que l’Assemblée générale autorise le Secrétaire général à souscrire une lettre de crédit valable le temps de la durée du projet. Il a indiqué, par ailleurs, que si tous les États Membres payaient leurs contributions dans les temps, cela éviterait les charges supplémentaires et le coût du crédit en serait réduit. Le représentant s’est finalement félicité qu’en dépit des retards pris dans le choix des stratégies de construction, la date d’achèvement des travaux soit toujours prévue pour 2014.
M. TROY TORRINGTON (Guyana) a rappelé que le Groupe de Rio, au nom duquel il s’exprimait, avait toujours reconnu la nécessité d’accélérer la rénovation du Siège afin que ce bâtiment soit conforme aux normes sécuritaires et sanitaires. Il s’est toutefois inquiété de l’augmentation des coûts de ce projet à chaque fois que l'Assemblée générale retarde une décision à ce sujet et a espéré qu’un accord pourrait être trouvé, avant la fin de la session, sur une méthode de financement. Par ailleurs, il a estimé que le pays hôte avait grandement bénéficié de sa situation, regrettant toutefois qu’il ne se soit pas acquitté des responsabilités qui en relèvent.
S’agissant du financement, il a indiqué que la mise en recouvrement constituait l’option la plus simple et s’est dit favorable à échelonner ces paiements. Il a toutefois affirmé que l’idée d’une souscription d’une lettre de crédit devait être étudiée avec soin. Enfin, il a demandé qu’une attention particulière soit accordée, lors des travaux, à la conservation des œuvres d’arts et cadeaux se trouvant dans le Secrétariat, objets qui sont selon lui, des témoignages de la diversité des cultures de tous les États Membres.
M. MARK D. WALLACE (États-Unis) a noté que sa délégation était, depuis longtemps, préoccupée par l’état du Siège des Nations Unies, à New York. Appuyant le plan-cadre d’équipement et les mesures prises dans ce cadre à ce jour, il a estimé que l'Assemblée générale devait maintenant prendre des décisions importantes sur le budget de ce projet et sur son financement. Il a approuvé, dans l’ensemble, les recommandations faites par le Secrétaire général et le CCQAB dans leurs rapports respectifs sur la question, souhaitant que le Secrétaire général prenne toutes les mesures nécessaires pour s’assurer que le projet serait effectué dans la limite du budget révisé présenté aujourd’hui, et dans la période prévue, soit entre 2006-2014. Il s’est dit convaincu de l’importance pour les Nations Unies de chercher constamment des moyens de limiter les coûts et de parvenir à une plus grande efficacité en utilisant des processus de gestion des projets rationnels. Il est temps, pour l'Assemblée générale, d’agir et de permettre au plan-cadre d’équipement d’avancer dans le cadre du calendrier établi, a-t-il poursuivi, soulignant que la sécurité du personnel, des délégués et des visiteurs en dépendait.
M. YOO DAE-JONG (République de Corée) a déploré que l’estimation des coûts de financement du projet de rénovation du Siège des Nations Unies ait continué d’augmenter depuis les dernières consultations de la commission. De 1 587,8 millions de dollars figurant dans le dernier rapport, le budget du plan-cadre d’équipement est passé à près de 1 646,3 millions de dollars, ce qui ne comprend pas les options additionnelles, a-t-il constaté. Par ailleurs, il a indiqué que son pays appuyait la recommandation du CCQAB d’approuver le budget révisé, dont le montant final s’élève à 1 876,9 millions de dollars. Exprimant l’espoir que les États Membres s’accorderaient dans les meilleurs délais, sur une méthode de paiement, il s’est prononcé pour un examen approfondi, au cours des prochaines consultations, des possibilités de financement offertes par les donateurs privés, conformément à la recommandation du Secrétaire général. Enfin, le représentant a plaidé en faveur de l’intégration des options relatives à la sécurité dans le concept du projet. Ces options sont d’une importance capitale pour les occupants du Siège et les visiteurs, a-t-il conclu.
M. KEN MUKAI (Japon) a souligné l’importance et l’urgence de la mise en œuvre du plan-cadre d’équipement afin d’assurer un environnement sûr pour les délégués et le personnel, et estimé qu’il fallait faire preuve de diligence afin de maitriser les coûts de ce projet. Il faut également s’assurer que les travaux sont effectués de la manière la plus efficace et rentable, a-t-il insisté, en regrettant que le retard pris à ce jour ait entraîné une augmentation sensible du coût de ce projet. Affirmant qu’il fallait trouver une modalité de paiement stable et pratique pour le plan-cadre d’équipement du fait que les Nations Unies auraient à effectuer des paiements à des compagnies de construction pendant des années, le représentant a estimé que la priorité était de réunir l’argent, par une mise en recouvrement auprès des États Membres, afin d’assurer la mise en œuvre du plan. En outre, il s’est déclaré favorable à un panachage entre un versement en une fois et des paiements échelonnés afin d’éviter au maximum le recours à une lettre de crédit. Il a aussi fait valoir qu’un paiement en une fois diminuerait le risque de déficit de liquidités ainsi que la nécessité d’une lettre de crédit. Dans le cas d’une modalité de paiement sur plusieurs années, les versements devraient, à son avis, se faire sur une période de cinq ans.
M. THOMAS STAHLI (Suisse) a estimé qu’une décision devait être prise, d’ici la fin de la session, en vue d’éviter des délais supplémentaires et une escalade des coûts. À cet égard, il a salué les efforts entrepris par l’ensemble des parties pour permettre l’achèvement des travaux de rénovation du Siège à l’horizon 2014. Le représentant a ensuite noté que les options additionnelles portaient essentiellement sur les aspects relatifs à la sécurité et aux systèmes d’appoint. Toutefois, a-t-il estimé, il conviendrait de continuer d’examiner les raisons objectives qui entraîneraient une augmentation des coûts de 69,4 millions de dollars. M. Stahli a, par ailleurs, exprimé le soutien de son pays à la méthode de paiement proposée par le Secrétaire général, à savoir une mise en recouvrement échelonnée sur cinq ans, ajoutant cependant que la Suisse souhaitait obtenir davantage d’information sur la capacité potentielle des États Membres à effectuer le paiement en une fois. Le représentant a, par ailleurs, salué la proposition de mise en place d’un mécanisme assurant que les États Membres qui se sont acquittés de leurs contributions dans les temps impartis, n’auraient pas à subir de passif résultant du recours à des facilités de paiement.
M. REN YISHENG (Chine) s’est inquiété que, cinq ans après avoir été approuvé, le plan-cadre d’équipement demeurait un projet uniquement sur le papier alors que son coût augmentait. Il a exhorté les États Membres à doubler d’efforts pour faire avancer la mise en œuvre effective de ces travaux. Rappelant que le financement était un facteur clef du succès de ce projet, il s’est dit favorable à une mise en recouvrement directe auprès des États Membres, soit en un versement unique, soit sur plusieurs années. Par ailleurs, il a exprimé l’espoir que le pays hôte répondrait aux appels de la majorité des États Membres en prenant des mesures positives quant à sa contribution pour la mise en œuvre du plan-cadre d’équipement. Il a en outre rappelé la requête de l'Assemblée générale visant à accroître la part des contrats d’achats pour les pays en développement et à économie en transition, affirmant qu’ils devaient être accordés sur la base de l’équité, de la transparence et de la rentabilité. Enfin, il a indiqué que la Chine avait déjà payé une partie de sa contribution pour le plan-cadre d’équipement et verserait le reste sous peu.
M. SACH, le Contrôleur des Nations Unies, répondant aux interrogations des délégations, a salué l’appui unanime de ceux-ci aux propositions du Secrétaire général, affirmant qu’il serait tout à fait possible que l’Assemblée générale se prononce sur le plan-cadre d’équipement avant la fin de l’année. Il a, par ailleurs, souscrit à l’idée de la création d’un conseil consultatif et réaffirmé qu’il incomberait aux États Membres n’ayant pas versé leurs contributions dans les délais prévus, de financer tout frais encouru de ce fait. Il s’est par ailleurs déclaré favorable à l’adoption du mécanisme de financement proposé, pour éviter des complications dans sa mise en application.
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