ECOSOC/437

LE SECRETAIRE GENERAL SOULIGNE LE RENFORCEMENT DU PARTENARIAT STRATEGIQUE ENTRE L'ONU ET LES INSTITUTIONS DE BRETTON WOODS

25 mars 1999


Communiqué de Presse
ECOSOC/437


LE SECRETAIRE GENERAL SOULIGNE LE RENFORCEMENT DU PARTENARIAT STRATEGIQUE ENTRE L'ONU ET LES INSTITUTIONS DE BRETTON WOODS

19990325 Le Conseil économique et social enregistre des progrès notoires dans le déroulement de ses travaux

L'échange de vues, tenu ce matin entre le Conseil économique et social et le Secrétaire général des Nations Unies, M. Kofi Annan, a permis à son Président, M. Paolo Fulci (Italie), d'annoncer des progrès majeurs dans les travaux du Conseil. Le Conseil économique et social a, pour la première fois, pourvu tous les sièges vacants de ses organes subsidiaires. Aux termes de négociations difficiles, une décision sur la répartition des sièges au Conseil d'administration du Programme alimentaire mondial a été adoptée. Conformément à l'Article 65 de la Charte, le Conseil économique et social pourra, pour la première fois, fournir des informations concernant le développement en Afrique, et une assistance au Conseil de sécurité sur la base des recommandations de sa session de fond de juillet. De son côté, le Secrétaire général a reconnu le potentiel important du partenariat entre l'ECOSOC et le Conseil de sécurité tel qu'envisagé par l'Article 65 de la Charte ainsi que celui du partenariat entre le Conseil, le Comité administratif de coordination (CAC) et les institutions de Bretton Woods. Le Secrétaire général a aussi souligné la nécessité d'associer le secteur privé et la société civile à ces efforts. Les délégations se sont jointes à cette analyse, soulignant le rôle de coordinateur et de catalyseur que doit jouer l'ECOSOC pour que le développement et l'élimination de la pauvreté soient réellement une priorité.

Les représentants des pays suivants ont fait des observations et posé des questions au Secrétaire général : Allemagne (au nom de l'Union européenne et des pays associés), Guyana, Fédération de Russie, Autriche, Cuba, Etats-Unis, Norvège, Japon et Bolivie.

Le Conseil a par ailleurs pris une série de décisions concernant les travaux de sa session de fond de 1999. Il a ainsi décidé que le débat de haut niveau se tiendra du 5 au 7 juillet et que la cérémonie de célébration du dixième anniversaire de la Convention relative aux droits de l'enfant se tiendra le 8 juillet. Le Conseil a, d'autre part, décidé de ne plus examiner tous les quatre ans un rapport sur la suite à donner

aux décisions de la Conférence mondiale sur la réforme agraire et le développement rural. Il a en outre décidé d'allouer un jour supplémentaire à la quarante-troisième session de la Commission de la femme pour qu'elle termine ses travaux. Examinant la révision des Règles générales du Programme alimentaire mondial, l'ECOSOC a décidé que les membres du Conseil d'administration seront à titre transitoire élus pour trois ans et choisis parmi les Etats figurant sur les listes établies dans les Textes fondamentaux du Programme. Le représentant de l'Ukraine a expliqué sa position.

Le Conseil a ensuite procédé aux élections et nominations aux sièges vacants de ses organes subsidiaires qui sont désormais tous pourvus.

Le Conseil économique et social se réunira le 29 avril lors d'une réunion de haut niveau avec les institutions de Bretton Woods sur le thème du "fonctionnement des marchés financiers internationaux et stabilité du financement du développement".

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ECHANGE DE VUES AVEC LE SECRETAIRE GENERAL DE L'ORGANISATION DES NATIONS UNIES CONFORMEMENT A LA DECISION 1997/322 DU CONSEIL ECONOMIQUE ET SOCIAL

M. FRANCESCO FULCI (Italie), en sa qualité de Président du Conseil économique et social, a donné un bref rapport des progrès enregistrés dans les sept domaines à l'ordre du jour du Conseil pour cette année.

Il a tout d'abord indiqué que le Conseil retrouvera sa salle en septembre prochain, ce qui signifie la récupération de son identité de Conseil. Dans ce cadre, un contrat a été signé par le bureau du Sous-Secrétaire général Niwa pour ajouter quatre rangées de tables afin de recevoir 90 délégations d'observateurs supplémentaires. Deuxièmement, une résolution va être adoptée aujourd'hui sur la répartition des sièges du Conseil d'administration du Programme alimentaire mondial. Les négociations ont été difficiles mais l'esprit de conciliation l'a emporté. Le Président du Conseil a également indiqué qu'à la fin de cette séance, il sera en mesure d'annoncer que tous les sièges vacants à l'ECOSOC ont été pourvus, ce qui constitue une première. Enfin, la page d'accueil Internet de l'ECOSOC est maintenant disponible sur le site Web des Nations Unies. En Juillet prochain à Genève, toutes les déclarations faites par les délégations dans le segment de haut niveau seront diffusées sur Internet en direct.

Le Président du Conseil économique et social a ensuite abordé les points qui subsistent à l'ordre du jour. Ainsi, les préparatifs du Segment de haut niveau à Genève se poursuivent. Dans le cadre des relations avec les institutions financières internationales et l'Organisation mondiale du commerce (OMC), M. Fulci a rappelé la tenue le 29 avril à New York de la réunion de haut niveau avec les Institutions de Bretton Woods. Il a, dans ce cadre, engagé les délégations à mettre en valeur l'importance de cette réunion dans leur capitale. En juin, les délégués de l'ECOSOC rencontreront à Washington Michel Camdessus et ses collaborateurs du Fonds monétaire international. En ce qui concerne l'application de l'Article 65 de la Charte en relation avec le développement en Afrique, le Président de l'ECOSOC a informé que pour la première fois cette année le Conseil va fournir des informations au Conseil de sécurité sur la base des résultats du segment de coordination de la session de juillet, qui sera consacrée au thème du développement en Afrique. Concernant la deuxième partie de l'Article 65, l'ECOSOC cherche encore des conseils mais cet article n'est plus négligé. En matière de coordination des Commissions fonctionnelles, de nouvelles réunions sont prévues dans un avenir proche, et une évaluation sera préparée lors de la session de juillet à Genève. Le Président a enfin évoqué la question de la répartition du travail au sein du Bureau de l'ECOSOC.

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Le Secrétaire général des Nations Unies, M. KOFI ANNAN, a indiqué que le mois d'avril verra le renforcement des partenariats stratégiques entre les Nations Unies et les institutions de Bretton Woods. Les contacts poussés avec le Directeur de la Banque mondiale et avec celui du Fonds monétaire international fournissent une base solide pour une plus grande coopération, au niveau de la définition des politiques comme au niveau des activités sur le terrain. Un élan certain s'est déjà mis en place en vue de la session de juillet de l'ECOSOC et les discussions qui seront consacrées à la pauvreté, à la parité entre les sexes, à l'emploi et au développement de l'Afrique, a souligné M. Annan. Ces délibérations fourniront des données importantes en vue de la tenue de l'Assemblée du Millénaire. Nous apportons désormais une réponse plus unifiée aux questions de ceux qui recherchent l'aide de l'Organisation des Nations Unies dans leur lutte contre la pauvreté et pour le développement social. Alors que nous donnons effet au cadre des Nations Unies de l'assistance pour le développement et alors que les initiatives de la Banque mondiale en vue de la mise en oeuvre d'un cadre global de développement se précisent, le moment est opportun pour travailler ensemble de façon de plus en plus étroite.

L'ECOSOC peut jouer un rôle pivot au sein de ces modalités de coopération dont nous avons besoin aux sièges et au niveau des pays. La société civile et le secteur privé devraient être associés plus largement à nos efforts. Les interactions entre le Conseil économique et social et le Comité administratif de coordination devraient s'intensifier. Ces organes doivent oeuvrer en tandem dans la voie d'objectifs communs. Un autre partenariat qui possède un potentiel important est celui envisagé par l'Article 65 de la Charte aux termes duquel le Conseil économique et social peut fournir des informations au Conseil de sécurité. La coopération entre ces deux organes peut aider les Nations Unies à répondre aux défis du maintien de la paix et du développement durable. Le Secrétaire général a rendu hommage à l'importante contribution de l'ECOSOC au processus de réforme des Nations Unies. Le Conseil économique et social a amélioré ses méthodes de travail et a permis une plus grande cohérence au sein de son système d'organes subsidiaires.

M. GERHARD WALTER HENZE (Allemagne), au nom de l'Union européenne et des pays associés, a déclaré que le Comité administratif de coordination et l'ECOSOC devraient avoir des contacts plus étroits. Il a salué l'idée d'une réunion d'information, après avril, pour renforcer la capacité de coordination de l'ECOSOC, qui doit pouvoir remplir sa mission conformément à la Charte des Nations Unies. Dans le contexte de la mondialisation, l'ECOSOC doit être un guide. le représentant a souligné l'importance de la coopération avec les institutions de Bretton Woods. Dans ce cadre, l'Union européenne attend beaucoup de la prochaine réunion de haut niveau entre l'ECOSOC et ces institutions. Le représentant a appuyé le thème retenu pour le segment de haut niveau. Il a également attiré l'attention sur l'importance de

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la question de l'élimination de la pauvreté, reconnue mondialement comme un thème prioritaire de coopération internationale. Un autre domaine important est le problème complexe auquel est confronté l'Afrique. Dans ce contexte, il s'est félicité que le segment humanitaire de cette année traite de l'action de l'ECOSOC dans ce domaine.

M. SAMUEL R. INSANALLY (Guyana) a rendu hommage aux efforts du Président du Conseil économique et social pour faire de l'ECOSOC un organe qui réponde plus vite aux défis du développement. Il a demandé au Président de l'ECOSOC et au Secrétaire général de veiller à ce que l'élimination de la pauvreté soit le thème prioritaire du programme de travail de l'ECOSOC ainsi que de celui de l'Assemblée du Millénaire. Pour ce qui est des relations de travail avec les institutions de Bretton Woods, le représentant s'est dit encouragé par les contacts étroits qui se sont noués. Il n'y a pas de raison pour que les directeurs de ces organisations ne présentent pas leurs rapports à l'ECOSOC. Le représentant a suggéré au Président de l'ECOSOC de mener des consultations avec notamment les présidents du Conseil de sécurité et de l'Assemblée générale afin que l'ECOSOC joue véritablement son rôle de coordonnateur mais également de créateur d'initiatives pour faire du développement une priorité.

M. VASSILI A. NEBENZIA (Fédération de Russie) a estimé qu'il est possible de développer le dialogue avec le CAC, mais aussi au sein du Conseil économique et social lui-même. Il a évoqué le renforcement du rôle de coordination des politiques de l'ECOSOC. Il a demandé un constant soutien du Secrétaire général au Conseil, afin de donner l'exemple aux membres du CAC dont il est le Président. Le représentant a estimé que l'approche globale réunissant les organes des Nations Unies pour la paix et le développement doit être maintenue. Il a également insisté sur la nécessité de rétablir dans son intégrité le lien entre l'ECOSOC et le Conseil de sécurité, nécessité aujourd'hui plus forte que jamais, a-t-il estimé.

M. ERNST SUCHARIPA (Autriche) a demandé quelle était la contribution qui était attendue de l'ECOSOC dans le processus de suivi du rapport du Secrétaire général sur la situation en Afrique.

M. BRUNO RODRIGUEZ PARRILLA (Cuba) a évoqué les liens renforcés entre l'ECOSOC et les institutions de Bretton Woods qui consacrent un dialogue décisif compte tenu de la situation actuelle marquée par des mutations mondiales. Le représentant a lui aussi souligné la nécessité d'accorder la priorité au développement de l'Afrique et notamment à la question de la baisse des ressources pour les activités de développement. Il a dit partager la mise en garde pour ce qui est de l'examen de l'Article 65 de la Charte. Cette question doit être étudiée de manière approfondie. La question des capacités de l'ECOSOC et de ses prérogatives sont une problématique fondamentale.

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M. KOFI ANNAN, répondant aux questions des délégations au sujet du suivi par l'ECOSOC de son rapport sur la situation en Afrique, a fait part de la nécessité pour le Conseil économique et social de tenir compte de l'Afrique dans l'examen du processus de mondialisation. L'ECOSOC peut jouer un rôle clé dans la mobilisation des Nations Unie en faveur des recommandations contenues dans ce rapport qui traite des conflits mais également du développement.

M. SETH D. WINNICK (Etats-Unis) a indiqué que le Conseil économique et social doit être rendu aussi performant que possible. Il a souhaité que les travaux du CAC soient plus transparents et que ce Comité soit plus réceptif aux organes intergouvernementaux.

M. OLE PETER KOLBY (Norvège) a estimé que la mondialisation nécessite une meilleure coordination dans laquelle l'ECOSOC a un rôle vital à jouer. Il a notamment demandé une meilleure coordination avec les institutions de Bretton Woods. La question de la promotion de la femme demande également une coordination systématique, a-t-il estimé. Dans ce domaine, des initiatives plurielles sont nécessaires, et la capacité d'investissement doit être augmentée. La priorité accordée à cette question doit être maintenue, a-t-il insisté. La Norvège est par ailleurs en faveur de la démarche intégrée proposée par le Secrétaire général en ce qui concerne les problèmes de l'Afrique. Il faut particulièrement améliorer la capacité de réponse humanitaire aux difficultés rencontrées par le continent africain.

M. YAMAZAKI (Japon) a souligné la nécessité d'un partenariat stratégique entre les Nations Unies et les institutions de Bretton Woods. Il a également souligné l'importance d'une coopération plus étroite entre l'ECOSOC et le Comité administratif de coordination.

M. ROBERTO JORDAN-PANDO (Bolivie) a fait part de sa préoccupation au sujet de l'écart qui s'est creusé ces quatre dernières décennies entre pays en développement et pays développés. Il a demandé s'il était envisagé de traiter de cette question à l'ECOSOC et lors de l'Assemblée du Millénaire.

Le Secrétaire général, M. KOFI ANNAN, a souligné la nécessité d'intensifier le rythme des échanges d'informations entre l'ECOSOC et le Comité administratif de coordination et de veiller à ce que tous les organismes des Nations Unies soient présents lors des réunions des groupes de travail. Il est important de renforcer le segment de coordination du Conseil économique et social. Nous commençons à voir ce type d'interaction se manifester entre les organes de l'ECOSOC et le CAC.

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Adoption de l'ordre du jour et questions d'organisation

Aux termes de la décision sur les dispositions en vue de l'organisation des travaux de la session de fond du Conseil économique et social en 1999 (E/1999/L.10), adoptée sans vote, le Conseil décide que le débat de haut niveau de sa session de fond de 1999 se tiendra du 5 au 7 juillet 1999; que la cérémonie de célébration du dixième anniversaire de la Convention relative aux droits de l'enfant se tiendra le matin du 8 juillet; que le débat consacré aux activités opérationnelles se tiendra du 8 au 13 juillet; que le débat consacré aux affaires humanitaires se tiendra du 13 au 15 juillet; que celui consacré aux questions de coordination aura lieu du 16 au 20 juillet. Le débat général se tiendra du 21 au 28 juillet.

Aux termes de la décision relative à l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture : rapports au Conseil économique et social sur le suivi du Sommet mondial de l'alimentation (E/1999/L.11), adoptée sans vote, le Conseil économique et social décide de ne plus examiner tous les quatre ans un rapport sur la suite à donner aux décisions de la Conférence mondiale sur la réforme agraire et le développement rural. Il invite le Directeur général de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture à transmettre au Conseil économique et social tous les quatre ans, à compter de 1999, un rapport établi par le Comité de la sécurité alimentaire mondiale sur les progrès accomplis dans la mise en oeuvre du Plan d'action du Sommet mondial de l'alimentation.

Aux termes de la décision E/1999/L.13, adoptée sans vote, le Conseil économique et social décide que la Commission de la condition de la femme reprendra, pour un jour, exceptionnellement, sa quarante-troisième session, afin de terminer ses travaux.

Examen de la répartition des sièges au sein du Conseil d'administration du Programme alimentaire mondial

Aux termes du projet de résolution sur la révision des Règles générales du programme alimentaire mondial (E/1999/L.12), adopté sans vote, le Conseil économique et social recommande à l'Assemblée générale de décider, sous réserve de l'accord de la Conférence de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture, que les membres du Conseil d'administration du Programme alimentaire mondial seront, à titre transitoire, élus pour trois ans et choisis parmi les Etats figurant sur les listes établies dans les Textes fondamentaux du Programme, selon une répartition précise détaillée dans le texte. L'Assemblée générale déciderait que cette répartition serait examinée deux ans avant la fin d'un cycle de roulement complet de quatre mandats. Il serait procédé à cet examen conformément aux dispositions pertinentes des résolutions 48/162 et 50/8 de l'Assemblée générale,

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compte tenu des apports pertinents du Conseil économique et social et du Conseil de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture; les résultats de cet examen entreraient en vigueur le 1er janvier 2012. L'Assemblée générale déciderait également que les Règles générales révisées entreraient en vigueur le 1er janvier 2000.

Ce texte a été présenté par le Président du Conseil, M. Paolo Fulci (Italie), à l'issue de consultations officieuses tenues sur le projet de résolution E/1998/L.51.

M. VOLODYMYR M. RESHETNYAK (Ukraine), au nom du Groupe des pays d'Europe orientale, a remercié tous ceux qui ont investi leurs efforts dans les négociations aboutissant à ce projet de résolution. Il a espéré que le Conseil de la FAO et l'Assemblée générale adopteront ce projet de résolution sans problème. Parallèlement, il a réitéré l'attachement de sa délégation à l'application complète des résolutions 48/162 et 50/8 de l'Assemblée générale. Dans ce contexte, l'adoption de ce projet de résolution ne peut être qu'une mesure intérimaire visant à démontrer notre volonté de compromis et d'accommodation des préoccupations des autres groupes régionaux, a-t-il indiqué.

Elections, nominations et désignations aux sièges vacants des organes subsidiaires

Commission de la population et du développement

Le Paraguay et le Costa Rica ont été élus par acclamation pour le Groupe des Etats d'Amérique latine et des Caraïbes pour un mandat expirant le 31 décembre 2000.

Commission de la science et de la technologie

Les Philippines ont été élues par acclamation pour le groupe des Etats d'Asie pour un mandat s'achevant le 31 décembre 2000.

Commission des établissements humains

Le Sénégal a été élu par acclamation pour le Groupe des Etats d'Afrique pour un mandat s'achevant le 31 décembre 2002.

Groupe de travail intergouvernemental d'experts des normes internationales de comptabilité et de publication

La Colombie a été élue par acclamation pour le Groupe des Etats d'Amérique latine et des Caraïbes pour un mandat expirant le 31 décembre 1999.

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Comité de l'énergie et des ressources naturelles au service du développement

Le Conseil a élu par acclamation M. Badr Kasme (République arabe syrienne) en qualité d'expert pour le Groupe des Etats d'Asie. Son mandat expirera le 32 décembre 2002. La notice biographique de M. Kasme figure au document E/1999/L.1/Add.6.

M. Christian Katsande (Zimbabwe) a par ailleurs été nommé pour un mandat expirant le 31 décembre 2002 en remplacement de M. Kodzwa (Zimbabwe). La notice biographique de M. Katsande figure au document E/1999/L.1/Add.7.

Comité du programme et de la coordination

Le Portugal a été nommé pour le Groupe des Etats d'Europe occidentale et autres Etats aux fins d'élection par l'Assemblée générale.

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