En cours au Siège de l'ONU

Les dirigeants de toutes les régions du monde s’inquiètent des répercussions de la crise migratoire et ébauchent des solutions

AG/11695

La tribune de l’Assemblée générale des Nations Unies, qui poursuivait aujourd’hui le débat général de sa soixante-dixième session, a vu se succéder aujourd’hui 17 chefs d’État et 15 chefs de gouvernement, ainsi que le Président d’un État observateur non membre, l’État de Palestine, dont le drapeau a été hissé pour la première fois aujourd’hui à l’ONU.

Désarmement nucléaire: les États Membres réitèrent leur appel à l’universalisation du Traité d’interdiction complète des essais nucléaires (TICE)

CD/3585

« Près de 20 ans après son ouverture à la signature, le Traité d’interdiction complète des essais nucléaires (TICE) n’est toujours pas entré en vigueur.  Une percée est attendue car le monde ne peut plus vivre dans l’ombre des armes nucléaires. »  C’est avec ces paroles que le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, M. Ban Ki-moon, a ouvert ce matin, la neuvième Conférence visant à faciliter l’entrée en vigueur du TICE.

Le Comité de sanctions contre Al-Qaida ajoute les noms de quatre personnes et deux entités sur sa liste de sanctions contre Al-Qaida

SC/12063

Le 29 septembre 2015, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 1267 (1999) et 1989 (2011) concernant Al-Qaida et les personnes et entités qui lui sont associées a approuvé l’inscription des entrées ci‑après sur la Liste des individus et entités associés à Al-Qaida faisant l’objet de sanctions – gel des avoirs, interdiction de voyager et embargo sur les armes – conformément au paragraphe 1 de la résolution 2161 (2014) du Conseil de sécurité adoptée en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies:

Le Secrétaire général invite les États à une Réunion de haut niveau sur les migrations et les mouvements de réfugiés

REF/2114

Le Secrétaire général de l’ONU, M. Ban Ki-moon, profite du débat général de l’Assemblée générale pour inviter tous les États Membres à participer, demain, mercredi 30 septembre, au Siège de l’ONU à New York, à une Réunion de haut niveau sur les migrations et les mouvements de réfugiés. 

Communiqué conjoint publié à l’issue de la rencontre des ministres des affaires étrangères du G-5 Sahel et le système des Nations Unies, au Siège à New York

AFR/3224-PA/18

Une réunion entre les Ministres des affaires étrangères des pays du G-5 Sahel et le système des Nations Unies a eu lieu en marge de la soixante-dixième session de l’Assemblée générale des Nations Unies en présence de M. Moussa B. Nebie, du Burkina Faso; M. Abdoulaye Diop, du Mali; M. Hamadi Ould Meimou, de la Mauritanie; M. Moussa Faki Mahamat, du Tchad; Mme Kane Aichatou Boulama, du Niger; le Secrétaire permanent du G-5 Sahel, M. Elhadj Mohamed; le Secrétaire général adjoint aux affaires politiques et représentant du système des Nations Unies, M. Jeffrey Feltman; l’Envoyée spéciale du Secrétaire général de l’ONU pour le Sahel, Mme Hiroute Guebre Sellassie; le Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU pour l’Afrique de l’Ouest, M. Mohammed Ibn Chambas; et le Directeur exécutif de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime, M. Yury Fedotov.

Le Comité des sanctions contre Al-Qaida ajoute les noms de trois personnes sur la liste de sanctions contre Al-Qaida

SC/12062

Le 29 septembre 2015, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 1267 (1999) et 1989 (2011) concernant Al-Qaida et les personnes et entités qui lui sont associées a approuvé l’inscription des entrées ci-après sur la Liste des individus et entités associés à Al-Qaida faisant l’objet de sanctions 

Débat général: les États Membres, à tour de rôle, insistent sur le succès d’initiatives multilatérales pour régler des conflits militaires ou des différends territoriaux

AG/11694

Au deuxième jour de son débat général, l’Assemblée générale des Nations Unies a résonné des appels lancés par ses États Membres pour continuer de faire de l’Organisation, 70 ans après sa création, une enceinte où conflits militaires et différends territoriaux se règleraient de manière pacifique et négociée, en menant au besoin les réformes jugées nécessaires par plusieurs dirigeants, dont 27 chefs d’État et 6 chefs de gouvernement.