Le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) indique que près de la moitié des personnes qui ont fui le Tigré vers le Soudan sont des enfants.
Enfants
L’UNICEF a averti aujourd’hui que le nombre d’écoliers touchés par les fermetures d’écoles liées à la COVID-19 avait bondi de 38% en novembre. Selon l’UNICEF, cela exerce une pression considérable sur les progrès d’apprentissage et le bien-être de 90 millions d’étudiants supplémentaires dans le monde. En revanche, en octobre, trois fois moins d’écoliers étaient touchés par les fermetures d’écoles.
Le FNUAP a noté que l’impact disproportionné de la pandémie de COVID-19 sur les femmes et les filles dans les situations de crise humanitaire devient de plus en plus évident. L’agence prévient que les services vitaux de santé sexuelle et reproductive son interrompus, que la violence fondée sur le sexe explose et que les besoins d’appui psychosocial augmentent.
L’UNICEF et l’Union internationale des télécommunications (UIT) ont publié un rapport qui indique que les deux tiers des enfants en âge scolaire dans le monde n’ont pas de connexion Internet à la maison.
Éthiopie: Les Nations Unies s’inquiètent toujours aussi gravement du bien-être des civils qui pourraient être pris au piège du conflit et de la manière dont la fermeture des routes empêche la fourniture de l’aide humanitaire à ceux qui en ont besoin.
Le Groupe de travail du Conseil de sécurité sur les enfants et les conflits armés, dans le cadre de l’examen du sixième rapport du Secrétaire général sur le sort des enfants touchés par le conflit armé au Soudan (S/2020/614), a décidé d’adresser les messages suivants, sous la forme d’une déclaration publique de son Président:
L’UNICEF et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) ont lancé, aujourd’hui, un appel urgent à l’action pour éviter d’importantes épidémies de rougeole et de polio, alors que la COVID-19 continue de perturber les services de vaccination dans le monde.
« Le Sahel central est au bord de la rupture ». C’est ce qu’a déclaré le Secrétaire général dans un message vidéo préenregistré et diffusé dans le cadre de l’événement de haut niveau d’aujourd’hui sur la crise humanitaire dans cette région.
L’urgence d’adopter des mesures pour atténuer les répercussions néfastes de la pandémie de COVID-19 sur les droits des enfants figurait au cœur des préoccupations des délégations de la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, qui a poursuivi, aujourd’hui, son dialogue interactif virtuel avec les titulaires de mandat.
La Troisième Commission, en charge des questions sociales, humanitaires et culturelles, a dialogué, aujourd’hui avec sept titulaires de mandats spéciaux au sujet de la promotion des femmes et de la protection des droits de l’enfant, l’occasion pour une majorité d’entre elles de tirer le signal d’alarme quant au recul des avancées réalisées ces dernières années, que la pandémie de COVID-19 tend à accentuer.