Le 20 novembre 2017, le Comité du Conseil de sécurité faisant suite aux résolutions 1267 (1999), 1989 (2011) et 2253 (2015) concernant l’EIIL (Daech), Al-Qaida et les personnes, groupes, entreprises et entités qui leur sont associés a promulgué les modifications spécifiées par les biffures et les soulignements dans l’entrée ci-dessous dans la Liste des individus et entités faisant l’objet de sanctions – gel des avoirs, interdiction de voyager et embargo sur les armes– conformément au paragraphe 1 de la résolution 2368 (2017) du Conseil de sécurité adoptée en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies:
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité: Aucun nom
Le Conseil de sécurité, simultanément avec l’Assemblée générale, a, aujourd’hui, pourvu le dernier poste de juge vacant à la Cour internationale de Justice en réélisant M. Dalveer Bhandari (Inde).
Quelles que soient les difficultés persistantes au Burundi, l’ONU doit poursuivre sa mission de bons offices, aux côtés de la sous-région, pour aider ce pays à sortir de la crise, a déclaré, ce matin, au Conseil de sécurité, l’Envoyé spécial du Secrétaire général pour le Burundi, M. Michel Kafando.
Le Coordonnateur spécial des Nations Unies pour le processus de paix au Moyen-Orient, M. Nickolay Mladenov, a indiqué, ce matin, devant le Conseil de sécurité, que le processus de restauration du plein contrôle de l’Autorité palestinienne à Gaza ne devait pas échouer, sous peine de ruiner tout espoir en l’avenir et de voir un autre conflit dévastateur éclater.
Le 10 novembre 2017, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1591 (2005) concernant le Soudan a tenu ses toutes premières consultations conjointes avec le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1970 (2011) concernant la Libye et le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 2206 (2015) concernant le Soudan du Sud.
Affichant une fois de plus ses divisions sur le dossier syrien, le Conseil de sécurité n’a pas été en mesure, cet après-midi, d’adopter un projet de résolution, qui aurait renouvelé, pour une période de 30 jours, le mandat du Mécanisme d’enquête conjoint de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques et de l’Organisation des Nations Unies (OIAC-ONU), arrivant à expiration ce soir.
Le Conseil de sécurité s’est réuni, cet après-midi, sous la présidence du Ministre des affaires étrangères et de la coopération internationale de l’Italie, M. Angelino Alfano, pour se pencher sur les menaces interdépendantes qui se posent à la paix et à la sécurité en mer Méditerranée, une région située au « confluent de civilisations, de cultures, de religions, d’échanges et de migrations », selon les mots du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres.
Saisi de deux projets de résolution concurrents, le Conseil de sécurité n’est pas parvenu, aujourd’hui, à renouveler le mandat du Mécanisme d’enquête conjoint de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) et de l’Organisation des Nations Unies (ONU), au terme d’une séance jugée, tour à tour, « fâcheuse », « peu digne », « embarrassante » et « inhabituelle ».
En l’absence d’un processus politique couronné de succès, la reconstitution d’un État en Libye serait condamnée à n’être qu’une entreprise « sisyphéenne », a estimé, ce matin, au Conseil de sécurité, le Représentant spécial du Secrétaire général pour la Libye, M. Ghassan Salamé, en présence des Ministres des affaires étrangères italien et libyen.
À sa 68e réunion, tenue le 15 novembre 2017, à l’occasion de l’examen du premier rapport du Secrétaire général sur le sort des enfants en temps de conflit armé au Nigéria (S/2017/304), qui couvre la période allant de janvier 2013 à décembre 2016, le Groupe de travail du Conseil de sécurité sur le sort des enfants en temps de conflit armé est convenu d’adresser les messages suivants, sous la forme d’une déclaration publique de son Président, dans laquelle il: