La Quatrième Commission (questions politiques spéciales et de la décolonisation) a adopté par consensus un projet de résolution renouvelant son soutien au Comité scientifique des Nations Unies pour l’étude des effets des rayonnements ionisants (UNSCEAR).
En cours au Siège de l'ONU
Quatrième Commission
La Quatrième Commission (questions politiques spéciales et de la décolonisation) a adopté par consensus, cet après-midi, un projet de résolution qui met l’accent sur la dimension humanitaire de l’assistance à la lutte antimines, un point inscrit à son ordre du jour une année sur deux.
Clôturant, cet après-midi, son examen des questions relatives à l’information, la Quatrième Commission (questions politiques spéciales et de la décolonisation) a adopté par consensus deux projets de résolution relatifs à l’information, dont un qui accorde une large place à l’importance de promouvoir le multilinguisme dans les activités du Département de la communication globale (DCG), « valeur fondamentale de l’ONU » et « fondement du multilatéralisme, en ce qu’il est nécessaire à la reddition de comptes et à la transparence ».
« Aujourd’hui, le multilatéralisme est remis en question, c’est pourquoi le Département de la communication globale (DCG) joue un rôle crucial », a résumé l’Uruguay, synthétisant les inquiétudes exprimées par de nombreux délégations, au deuxième jour de l’examen des questions relatives à l’information par la Quatrième Commission.
Intervenant pour la première fois, ce matin, devant la Quatrième Commission dans le cadre de son examen des questions relatives à l’information, la nouvelle Secrétaire générale adjointe à la communication globale, Mme Melissa Fleming, qui a pris ses fonctions il y a tout juste six semaines, a expliqué aux délégations que sa première priorité à ce poste sera de présider à l’élaboration d’une stratégie de communication mondiale pour l’Organisation.
La situation au Sahara occidental, a une nouvelle fois, dominé aujourd’hui les délibérations de la Quatrième Commission (questions de politiques spéciales et décolonisation), qui a clôturé son débat général sur la décolonisation.
La situation au Sahara occidental s’est une nouvelle fois invitée pendant les délibérations de la Quatrième Commission (questions de politiques spéciales et décolonisation), qui poursuivait, ce matin, son débat général. Les délégations se sont, dans une large mesure, accordées sur les mérites de la nouvelle dynamique insufflée au processus politique au Sahara occidental par l’ex-Envoyé personnel du Secrétaire général, M. Horst Köhler, qui a quitté ce poste en mai 2019 pour raisons de santé.
L’avenir du Sahara occidental a mobilisé 79 pétitionnaires ces deux derniers jours à la Quatrième Commission, chargée des questions de politiques spéciales et de décolonisation. Les partisans du Front POLISARIO et ceux du plan d’autonomie proposé par le Maroc, se sont mutuellement accusés de violations des droits de l’homme. Derrière ces prises de positions, c’est un clivage entre développement économique et droit à l’autodétermination qui a émergé.
Les situations de Guam et du Sahara occidental ont largement dominé, aujourd’hui, les délibérations de la Quatrième Commission, chargée des questions de politiques spéciales et décolonisation, qui ont fait une large place aux pétitionnaires.
Au deuxième jour de son débat général sur la décolonisation, la Quatrième Commission (en charge des questions politiques spéciales et de la décolonisation) a consacré la plus grande partie de ses délibérations à la Polynésie française, dont le Président, M. Edouard Fritch, a demandé « solennellement » le retrait de celle-ci de la liste des territoires non autonomes.