Bangladesh


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Le Secrétaire général vient d’arriver à Bangui, en République centrafricaine, et se rendra sous peu à la base de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA) pour déposer une gerbe de fleurs en hommage aux Casques bleus qui ont perdu la vie.  Il célèbrera ensuite la Journée des Nations Unies avec le personnel de l’Organisation.

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Le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) a indiqué aujourd’hui qu’au rythme actuel, il faudra un siècle pour mettre fin au mariage d’enfants en Afrique de l’Ouest et en Afrique centrale.  Les nouvelles projections, rendues publiques au cours d’une réunion de haut niveau cette semaine à Dakar pour mettre fin au mariage d’enfants, visent à braquer les projecteurs sur cette région du monde où les filles risquent le plus d’être forcées au mariage pendant leur enfance.

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Le Secrétaire général adjoint aux affaires politiques, M. Jeffrey Feltman, a achevé aujourd’hui sa visite de cinq jours au Myanmar.  À Yangoun et à Nay Pyi Taw, il s’est entretenu avec la Conseillère d’État, Daw Aung San Suu Kyi et le commandant des forces armées, le général Min Aung Hlaing, entre autres, ainsi qu’avec les représentants de la société civile du pays. Les discussions ont principalement porté sur la situation dans l’État de Rakhine et le sort des centaines de milliers de réfugiés qui ont fui au Bangladesh après les attaques du 25 août et les opérations militaires qui ont suivi. 

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À l’occasion de la Journée mondiale contre la peine de mort, célébrée aujourd’hui, le Secrétaire général a déclaré que cette pratique barbare n’a pas sa place au XXIsiècle et appelé tous les pays qui continuent à la pratiquer de cesser les exécutions.  Il s’est félicité des progrès réalisés jusqu’à présent, 170 pays environ ayant soit aboli la peine capitale soit cessé d’y recourir.  Cependant, il a également averti que, dans de nombreux pays, les gouvernements dissimulent les exécutions et utilisent un système secret élaboré pour cacher qui est dans le couloir de la mort et pourquoi.  Cette absence de transparence démontre un manque de respect pour les droits de l’homme des personnes condamnées à mort et leurs familles, a dit M. Guterres.