SG/SM/22178

Journée internationale pour la sensibilisation au problème des mines: « Débarrassons le monde de ces armes une fois pour toutes », exhorte le Secrétaire général

On trouvera ci-après le message du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, à l’occasion de la Journée internationale pour la sensibilisation au problème des mines et l’assistance à la lutte antimines, célébrée le 4 avril:

Les mines terrestres, les engins explosifs et les restes de guerre sont une menace directe pour des millions de personnes piégées dans des conflits armés dans le monde entier, que ce soit en Afghanistan, au Myanmar, au Soudan, en Ukraine, en Colombie ou à Gaza.

Même après la fin des combats, ces engins de mort continuent de mettre en péril les populations pendant des décennies, exposant chaque jour femmes, hommes et enfants à un danger mortel et faisant obstacle à l’aide humanitaire et à l’aide au développement dont ces personnes ont besoin pour vivre.

En collaboration avec leurs partenaires, les courageux spécialistes de la lutte antimines de l’ONU s’emploient à éliminer ces armes mortelles, à veiller à ce que les gens puissent se déplacer en toute sécurité et à mener des activités de sensibilisation et d’évaluation de la menace afin de garantir la sécurité des civils et des travailleurs humanitaires.

Le thème de cette année –« Protéger des vies, construire la paix »– nous rappelle la nécessité de protéger les personnes particulièrement exposées, notamment les personnes handicapées.

J’engage également les États Membres à soutenir la stratégie de l’ONU en matière de lutte antimines et à ratifier et mettre pleinement en œuvre la Convention sur l’interdiction des mines antipersonnel, la Convention sur les armes à sous-munitions et la Convention sur certaines armes classiques.

Pays par pays, région par région, Les mines terrestres, les engins explosifs et les restes de guerre sont une menace directe pour des millions de personnes piégées dans des conflits armés dans le monde entier, que ce soit en Afghanistan, au Myanmar, au Soudan, en Ukraine, en Colombie ou à Gaza.

Même après la fin des combats, ces engins de mort continuent de mettre en péril les populations pendant des décennies, exposant chaque jour femmes, hommes et enfants à un danger mortel et faisant obstacle à l’aide humanitaire et à l’aide au développement dont ces personnes ont besoin pour vivre.

En collaboration avec leurs partenaires, les courageux spécialistes de la lutte antimines de l’ONU s’emploient à éliminer ces armes mortelles, à veiller à ce que les gens puissent se déplacer en toute sécurité et à mener des activités de sensibilisation et d’évaluation de la menace afin de garantir la sécurité des civils et des travailleurs humanitaires.

Le thème de cette année –« Protéger des vies, construire la paix »– nous rappelle la nécessité de protéger les personnes particulièrement exposées, notamment les personnes handicapées.

J’engage également les États Membres à soutenir la stratégie de l’ONU en matière de lutte antimines et à ratifier et mettre pleinement en œuvre la Convention sur l’interdiction des mines antipersonnel, la Convention sur les armes à sous-munitions et la Convention sur certaines armes classiques.

Pays par pays, région par région, débarrassons le monde de ces armes une fois pour toutes.

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