Par manque de ressources, le Programme de bourses d’études sur le droit de la mer n’a accueilli qu’une seule étudiante, Sri Asih Roza Nova
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PAR MANQUE DE RESSOURCES, LE PROGRAMME DE BOURSES D’ÉTUDES SUR LE DROIT DE LA MER
N’A ACCUEILLI QU’UNE SEULE ÉTUDIANTE, SRI ASIH ROZA NOVA
(Adapté de l’anglais)
NEW YORK, 13 janvier (Bureau des affaires juridiques) -- Malgré ses avantages certains et sa bonne réputation, le Programme de bourses d’études sur le droit de la mer « Hamilton Shirley Amerasinghe » souffre d’un manque de fonds. L’année dernière, il n’a pu accueillir qu’un seul boursier.
Aussi Sri Asih Roza Nova, de l’Indonésie, vient-elle d’entamer, aujourd’hui, à la Division des affaires maritimes et du droit de la mer, la deuxième partie du Programme, après avoir passéquatre mois au Centre du droit international de l’Université nationale de Singapour où elle a effectué des recherches sur la pêche illégale, non déclarée et non réglementée sous la direction du professeur Robert Beckman.
Mme Roza Nova achèvera l’étape pratique du Programme et la rédaction de son mémoire le 9 mars 2012 à la Division des affaires maritimes et du droit de la mer.
Elle est la vingt-quatrième récipiendaire de la bourse d’études qui vise à renforcer les compétences et les capacités des fonctionnaires, des chercheurs et des universitaires des pays en développement travaillant dans le domaine du droit de la mer ou des affaires maritimes.
Le Programme de bourses d’études a été créé en 1981 à la mémoire de Hamilton Shirley Amerasinghe, premier Président de la Conférence des Nations Unies sur le droit de la mer. Il offre au boursier une formation théorique dans une des 17 universités et institutions partenaires, ainsi qu’une formation pratique à la Division des affaires maritimes et du droit de la mer des Nations Unies.
Le Programme est reconnu pour sa contribution à la bonne compréhension et à la mise en œuvre de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer.
Pourtant, cette année encore, l’Assemblée générale a dû, par sa résolution A/66/231, appeler une nouvelle fois les États Membres, les organisations concernées, les fondations et les individus à continuer de faire des contributions volontaires pour financer un programme auquel ont déjà participé les ressortissants de toutes les régions du monde.
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