Droit de la mer: Killey Mwitasi, de la Tanzanie, achève ses recherches, financées grâce à la vingt-troisème bourse « Hamilton Shirley Amerasinghe »
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DROIT DE LA MER: KILLEY MWITASI, DE LA TANZANIE, ACHÈVE SES RECHERCHES, FINANCÉES
GRÂCE À LA VINGT-TROISIÈME BOURSE « HAMILTON SHIRLEY AMERASINGHE »
M. Mwitasi avait obtenu cette aide financière le 7 juin dernier
(Adapté de l’anglais)
NEW YORK, 18 mars (Bureau des affaires juridiques) -- M. Killey Mwitasi, de la République-Unie de Tanzanie, qui a obtenu le 7 juin 2011 la vingt-troisième bourse d’études décernée au titre de la Dotation Hamilton Shirley Amerasinghe sur le droit de la mer, a rencontré, aujourd’hui, la Conseillère juridique des Nations Unies, Mme Patricia O’Brien.
M. Killey Mwitasi achèvera ses recherches, qui portent sur les décisions juridiques relatives à la délimitation des frontières maritimes, le 18 mars 2011. Il avait consacré une première partie de ses recherches à l’étude des zones maritimes.
Rendue publique cette année par Mme Patricia O’Brien, en se fondant sur les recommandations d’un panel de haut niveau, la bourse d’études offerte à M. Mwitasi lui a donné l’opportunité de participer à des programmes de formation au droit de la mer proposés par 17 universités partenaires de renommée internationale.
Ce programme de bourses a été établi en 1981 à la mémoire de Hamilton Shirley Amerasinghe, Premier Président de la Conférence des Nations Unies sur le droit de la mer, et il offre au boursier une formation théorique et pratique au Bureau de la Division des affaires maritimes et du droit de la mer du Secrétariat des Nations Unies. La « Dotation » a aussi pour objectif de permettre aux responsables gouvernementaux ou aux chercheurs issus des pays en développement et impliqués dans les affaires maritimes de poursuivre leurs travaux de recherche.
La Conférence sur le droit de la mer, qui a tenu ses premiers travaux en 1973, a adopté la convention correspondante en 1982. La Convention sur le droit de la mer, qui compte aujourd’hui 160 États parties, est communément considérée comme étant « la charte des océans », régulant les normes juridiques internationales en matière de gouvernance, d’exploitation et de protection des océans.
La bourse a déjà été octroyée par le passé à des nationaux de l’Argentine, de la Barbade, du Nigéria, du Cameroun, des Seychelles, du Sri Lanka, de l’Iran, du Viet Nam, du Chili, de l’ex-Yougoslavie, de l’Indonésie, de la Bulgarie, du Cap-Vert, du Népal, des Palaos, de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, de Sao Tomé-et-Principe, de la Thaïlande, de Tonga, de Trinité-et-Tobago, ou encore de la Colombie.
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