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CD/183

LA CONFERENCE DES PARTIES AU TNP METTRA A L'EPREUVE L'ENGAGEMENT DES ETATS A LA CAUSE DU DESARMEMENT ET DE LA NON-PROLIFERATION NUCLEAIRES

19 avril 2000


Communiqué de Presse
CD/183


LA CONFERENCE DES PARTIES AU TNP METTRA A L'EPREUVE L'ENGAGEMENT DES ETATS A LA CAUSE DU DESARMEMENT ET DE LA NON-PROLIFERATION NUCLEAIRES

20000419 COMMUNIQUE DE BASE

Première du genre après la prorogation indéfinie en 1995 des dispositions du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), la Conférence des parties chargées d'examiner le TNP, qui se tiendra du 24 avril au 19 mai, devrait être tournée non seulement vers le passé avec l’évaluation des progrès accomplis au cours de la période soumise à examen, mais également vers le futur en identifiant les domaines où les progrès seraient nécessaires. En effet, la prorogation indéfinie du Traité a mis en évidence la nécessité de fournir des efforts plus systématiques vers le désarmement nucléaire. Nul doute que la ratification, le 14 avril dernier, de START II par la Fédération de Russie devrait contribuer à alléger la chape de plomb qui pesait sur les efforts de désarmement et de non- prolifération nucléaires. L’universalité du Traité, la non- prolifération et le désarmement nucléaires, les zones exemptes d’armes nucléaires, le système de garanties de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et les garanties de sécurité en faveur des Etats non dotés de l’arme nucléaire sont autant de questions clés dont l’examen permettra de mettre à l'épreuve l’engagement réel des Etats à la cause de la non-prolifération nucléaire, par conséquent, de tester la viabilité du TNP.

La ratification par le Parlement russe du Traité américano-soviétique sur la réduction et la limitation des armements stratégiques (START II) devrait avoir un effet positif sur la Conférence. START II, signé en 1993, prévoit de ramener le nombre de têtes nucléaires à 3 500 pour les Etats-Unis et à 3000 pour la Fédération de Russie, soit une réduction des deux tiers des arsenaux nucléaires des deux pays. Sa mise en œuvre devrait également ouvrir la voie à des négociations concernant un accord START III qui prévoirait des plafonds de 2000 à 2500 têtes militaires. Pour le Secrétaire général des Nations Unies “cette évolution tant attendue est de nature à donner un nouvel élan aux efforts de désarmement nucléaire”. La décision russe devrait en tout cas atténuer le pessimisme et les incertitudes qui caractérisaient l’examen des questions de désarmement l’année dernière. Car même si le TNP bénéficie d’une adhésion quasi- universelle avec 187 Etats membres dont celle des cinq Etats dotés de l’arme nucléaire, l’Inde, le Pakistan, Israël et Cuba n’y ont toujours pas adhéré et “il est difficile d’identifier des efforts sérieux menés tant au plan national qu’international pour atteindre l’objectif de l’universalité du TNP”, déclarait en novembre 1999 le Secrétaire général adjoint aux affaires de désarmement,

M. Jayantha Dhanapala. Un objectif qualifié de prioritaire et d’urgent par la Conférence d’examen de 1995 qui avait appelé tous les Etats non parties au TNP à adhérer rapidement au Traité, en particulier les Etats qui disposent d’installations nucléaires qui ne sont pas soumises aux garanties de sécurité de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA). Depuis, neuf Etats ont adhéré au Traité: Andorre, Angola, Brésil, Chili, Comores, Djibouti, Oman, Emirats arabes unis et Vanuatu.

Non-prolifération et désarmement nucléaires: un chemin semé d’embûches

La Conférence d’examen et de prorogation de 1995 avait fixé un objectif ambitieux, à savoir la conclusion “au plus tard en 1996” d’un traité d’interdiction complète des essais nucléaires. En attendant son entrée en vigueur, les Etats dotés de l’arme nucléaire auraient dû “entamer immédiatement des négociations sur un traité d’interdiction des matières fissiles et déployer tous les efforts en vue d’aller systématiquement et progressivement de l’avant afin de réduire les armes nucléaires dans leur ensemble puis de les éliminer”. Le Traité d’interdiction complète des essais nucléaires (TICE) a été ouvert à la signature le 24 septembre 1996. S’il compte 155 signatures, il ne dispose toujours pas du nombre suffisant de ratification pour son entrée en vigueur malgré les appels lancés en octobre dernier par la Conférence visant à faciliter son entrée en vigueur. Ni l’Inde ni la République populaire démocratique de Corée n’y ont assisté et le Pakistan y a participé en qualité d’observateur. Quelques jours après, le Sénat américain annonçait sa décision de ne pas ratifier le TICE, ajoutant ainsi aux incertitudes concernant son entrée en vigueur.

Autre fait marquant, l’impossibilité de la Conférence du désarmement au cours de sa session de 1999 de créer un mécanisme de négociation d’un traité d’interdiction des matières fissiles. La série de onze essais nucléaires réalisés en Asie du Sud-Est en mai 1998 par l’Inde et le Pakistan avait déjà infligé un sérieux revers au régime de non-prolifération et aux efforts de désarmement. Quarante-sept Etats membres et observateurs avaient alors, dans le cadre d’une Déclaration commune élaborée au sein de la Conférence du désarmement, prié instamment l’Inde et le Pakistan de renoncer à leur programme d’armement nucléaire, de signer et de ratifier sans conditions le Traité d’interdiction complète des essais nucléaires (TICE), d’adhérer sans retard au TNP et d’engager des négociations pour interdire la production de matière fissile. Même si l’Inde et le Pakistan avaient annoncé un moratoire unilatéral après leurs essais, la Conférence avait souligné que les moratoires unilatéraux que certains pays s’imposaient eux-mêmes ne pouvaient remplacer l’engagement juridiquement contraignant que représentait la signature et la ratification d’instruments internationaux comme le TICE.

La réaffirmation des doctrines nucléaires et, notamment, la politique de dissuasion nucléaire affichée par l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN), la publication en janvier 2000 de la stratégie nationale américaine indiquant que “les Etats-Unis continueraient de maintenir une solide triade de forces nucléaires stratégiques” ou encore la place accordée au recours à l’arme nucléaire dans la stratégie nationale de sécurité publiée en janvier 2000 par la Fédération de Russie traduisent de profonds déséquilibres et divergences sur la manière de traiter le désarmement nucléaire. L’intention des Etats-Unis de mettre en place un système national de défense antimissile, au risque de porter atteinte au Traité ABM sur la limitation des missiles antimissiles balistiques, conclu entre les Etats-Unis et l’Union soviétique en 1972, n’a fait qu’attiser les craintes d’une course aux armements au cours de l’année écoulée. Un autre indicateur de la stagnation du programme de désarmement s’est matérialisé par l’incapacité de la Commission des Nations Unies sur le désarmement de parvenir, pour la troisième année consécutive, à un consensus sur les objectifs et le programme de travail d'une Quatrième Session spéciale de l’Assemblée générale consacrée au désarmement. Depuis 1996, les débats de la Commission se sont concentrés sur la création de zones exemptes d’armes nucléaires.

La création de zones exemptes d’armes nucléaires: une priorité pour les Etats parties au TNP

La contribution des zones exemptes d’armes nucléaires au renforcement de la paix et de la sécurité internationales a été réaffirmée par les Etats parties au TNP lors de la Conférence de révision de 1995 qui a encouragé leur création à titre prioritaire en particulier dans les zones de tension comme le Moyen-Orient. Depuis, le Traité portant création d’une zone exempte d’armes nucléaires en Asie du Sud-Est (Traité de Bangkok) a été signé en décembre 1995 et il est entré en vigueur en mars1997. Le Traité sur une zone exempte d’armes nucléaires en Afrique (Traité de Pelindaba) a été signé en avril 1996 mais il n’est pas encore entré en vigueur. De telles zones sont actuellement au nombre de quatre puisque le Traité visant l’interdiction des armes nucléaires en Amérique latine et dans les Caraïbes (Traité de Tlatelolco) a été adopté en 1967 et le Traité sur la zone dénucléarisée du Pacifique Sud (Traité de Rarotonga) l’a été en 1985. Un groupe d’experts a été chargé d’élaborer les éléments d’un accord portant sur la création d’une telle zone en Asie centrale. Au 3 mars 2000, l’accord final sur le texte n’avait pas encore été fait mais les experts devaient se réunir dans le courant du mois de mars pour mettre la dernière main à ses travaux. L’idée de créer une zone exempte d’armes nucléaires au Moyen-Orient remonte aux années 70 mais peu de progrès a été réalisé. Un fait positif s’est traduit par l’adoption en 1999 sans vote, au sein de la Commission sur le désarmement des principes et directives qui devraient régir la création de nouvelles zones et par l’adoption par le Parlement Mongol le 3 février 2000 de la loi sur la sécurité internationale et du statut exempt d’armes nucléaires de la Mongolie.

L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) renforce son système de garanties

Depuis 1995, l’AIEA a continué de mettre en œuvre son système de garanties qui vise la vérification, par des moyens techniques, des engagements pris par les Etats parties. Ce rôle a été confirmé par la Conférence de 1995 qui a demandé à tous les Etats parties de conclure et de mettre en œuvre des accords de garanties. Au premier janvier 2000,127 Etats parties ont mis en vigueur des accords de garanties, soit une augmentation de 28 Etats par rapport à 1995 et le taux d’inspection des installations nucléaires a augmenté depuis 1995, passant de 73% à 82% en 1998. Toutefois, 55 Etats parties n’ont pas engagé de telles démarches alors qu’ils y sont tenus par le Traité. De plus, la République populaire démocratique de Corée (RPDC) ne se conforme toujours par à son accord de garanties. La RPDC a refusé d’autoriser l’Agence à installer du matériel de surveillance des déchets nucléaires liquides sur le lieu de son usine de retraitement et elle n’a pas non plus laissé l’Agence prélever d’échantillons de l’environnement. Par conséquent l’Agence n’est pas en mesure de donner des assurances concernant le non-détournement des matières et installations nucléaires. En Iraq, les restrictions imposées aux équipes de l’AIEA en 1998

ont gravement limité le degré d’assurance concernant le respect par l’Iraq des résolutions du Conseil de sécurité. Les activités ont été suspendues de manière indéfinie en décembre 1998. Une inspection s’est toutefois déroulée en janvier 2000 mais sa portée fut limitée.

La découverte du programme d’armement nucléaire clandestin iraquien avait mis en relief les lacunes du système de garanties de l’AIEA qui dès 1992 a entrepris des efforts intensifs pour le renforcer. Un tournant a été pris en mai 1997 avec l’adoption d’un modèle de protocole additionnel au système de garanties qui constitue un outil puissant de vérification des engagements aux mains de l’AIEA. Il permet d’allier les activités de vérification traditionnelle, comme la comptabilité des matières nucléaires ou les mesures de confinement et surveillance, à de nouvelles mesures renforcées qui visent un accès accru aux renseignements possédés par les Etats, l’échantillonnage de l’environnement ou encore les inspections à court délai de préavis. Le but est d’apporter l’assurance qu’il n’y a pas eu détournement de matières et d’installations nucléaires déclarées mais également de fournir une assurance crédible quant à l’absence de matière et d’activités nucléaires non déclarées. Néanmoins, moins du tiers des Etats parties a adopté des protocoles additionnels à leurs accords de garanties. Les travaux en revanche ont avancé en ce qui concerne l’initiative trilatérale lancée en 1996 par les Etats-Unis, la Fédération de Russie et l’AIEA. Cette initiative vise l’étude des questions techniques, juridiques et financières liées à la vérification par l’Agence des matières fissiles provenant d’armes désignées comme n’étant plus nécessaires pour les besoins de la défense. Le travail se poursuit concernant un accord-cadre de vérification. Actuellement, dix tonnes d’uranium fortement enrichi et deux tonnes de plutonium sont placées sous garanties aux Etats-Unis. La France quant à elle a entièrement cessé de produire des matières fissiles destinées à des armes nucléaires. Les opérations de démantèlement des installations de production sont en cours tandis qu’en 1996-1997 elle avait totalement démantelé les installations de son site d’expérimentation du Pacifique.

Des appels en faveur d’un instrument juridiquement contraignant sur les garanties de sécurité

Malgré les appels lancés en 1995 par les Etats parties en faveur de la conclusion d’un instrument juridiquement contraignant relatif aux garanties de sécurité en faveur des Etats qui ne sont pas dotés de l’arme nucléaire, aucune solution satisfaisante n’a été trouvée. La Conférence du désarmement, au cours de sa session de 1999, n’a pas été en mesure en effet de créer un comité spécial sur des arrangements internationaux pour garantir les Etats non dotés de l’arme nucléaire contre l’emploi ou la menace de ces armes. Pourtant, cette question avait été l’un des principaux sujets de négociations concernant le Traité dans les années 60. Mais en raison d’approches divergentes, aucune disposition spécifique relative aux garanties de sécurité n’avaient été inscrites dans le Traité. Certains Etats avaient alors exprimé l’intention de donner des garanties positives de sécurité, à savoir de fournir ou d’appuyer une assistance immédiate à tout Etat non doté de l’arme nucléaire qui serait victime d’un acte ou d’une menace d’agression avec emploi d’armes nucléaires. D’autres avaient exprimé leur préférence pour des assurances négatives de sécurité, à savoir un engagement de la part des Etats dotés de l’arme nucléaire à ne pas employer l’arme nucléaire contre ceux qui n’en possèdent pas. Au cours des préparatifs de la Conférence d’examen de 2000, l’Afrique du Sud a proposé un projet de protocole au Traité sur des assurances négatives en insistant sur le fait que les négociations portant sur des garanties de sécurité juridiquement contraignantes menées dans le cadre du TNP plutôt que dans d’autres instances présenteraient de grands avantages. La question, qui a toujours été l’un des principaux thèmes des conférences d’examen du TNP, reste donc à l’ordre du jour

Historique du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP)

Reconnu généralement comme la pierre angulaire des efforts accomplis par la communauté internationale pour limiter la prolifération des armes nucléaires, le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP) a été ouvert à la signature des Etats le 1er juillet 1968 et est entré en vigueur le 5 mars 1970. En vertu de ce traité, dont les dispositions ont été prorogées indéfiniment en 1995, les Etats dotés de l'arme nucléaire s'engagent à poursuivre des négociations sur le désarmement nucléaire et sur la cessation de la course aux armements nucléaires, et les Etats non détenteurs d'armes nucléaires s'engagent à ne pas s'en procurer et à ne pas en mettre au point. Le Traité prévoit également des garanties, administrées par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qui visent à empêcher que des matières nucléaires destinées à des utilisations civiles soient employées pour fabriquer des armes. Le TNP bénéfice à l'heure actuelle d'une adhésion quasi universelle, dont celle des cinq Etats qui reconnaissent être détenteurs de l'arme nucléaire, à savoir la Chine, les Etats-Unis, la Fédération de Russie, la France et le Royaume-Uni. Les conférences d'examen chargées d'examiner le TNP ont lieu tous les cinq ans depuis l'entrée en vigueur du Traité en 1970. Si les conférences d'examen de 1980, 1990 et 1995 n'ont pas abouti à un consensus sur une déclaration finale, les conférences de 1975 et 1985 y sont, elles, parvenu.

Programme de travail

La séance d’ouverture se tiendra lundi 24 avril à 11 heures dans la salle de l’Assemblée générale. Un débat général au niveau ministériel aura lieu du 24 avril au 3 mai. L’examen de questions spécifiques sera confié à trois groupes de travail. Le Groupe de travail I sera chargé d’examiner la mise en œuvre des dispositions du Traité portant sur la non-prolifération et le désarmement nucléaires, la question de la paix et de la sécurité internationales ainsi que la question des garanties de sécurité. Les travaux du Groupe de travail II porteront sur la mise en œuvre des dispositions du Traité relatives à la non- prolifération des armes nucléaires, le système de garanties de l’AIEA et les zones exemptes d’armes nucléaires. Le Groupe de travail III consacrera ses travaux à la mise en œuvre des dispositions du Traité relatives aux droits inaliénables de toutes les parties au Traité de développer, de mener des activités de recherche, de produire et d’utiliser l’énergie nucléaire à des fins pacifiques sans discrimination.

Documentation

- Rapport final du Comité préparatoire de la Conférence de 2000 des Parties au Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (NPT/CONF.2000/1**)

- Document d'information établi par le Secrétariat de l'Organisation des Nations Unies sur l'application du dixième alinéa du préambule du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires - événements survenus depuis la Conférence d'examen et de prorogation de 1995 (NPT/CONF.2000/2) Document d'information établi par le Secrétariat de l'Organisation des Nations Unies sur l'application des articles premier et II du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires: événements survenus depuis la Conférence d'examen et de prorogation de 1995 (NPT/CONF.2000/3)

- Document d'information établi par le Secrétariat de l'Organisation des Nations Unies sur l'application de l'article VI du Traité sur la non- prolifération des armes nucléaires: événements survenus depuis la Conférence d'examen et de prorogation de 1995 (NPT/CONF.2000/4)

- Document d'information établi par le Secrétariat de l'Organisation des Nations Unies sur l'application de l'article VII du Traité sur la non- prolifération des armes nucléaires - événements survenus depuis la Conférence d'examen et de prorogation de 1995 (NPT/CONF.2000/5)

- Document de base présenté par le Secrétariat sur les faits nouveaux relatifs aux garanties de sécurité positives et négatives intervenus depuis la Conférence de 1995 des Parties au Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires chargée d'examiner le Traité et la question de sa prorogation (NPT/CONF.2000/6)

· Activités menées par l'Agence internationale de l'énergie atomique dans le cadre de l'article III du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (NPT/CONF.2000/9)

- Activités menées par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) dans le cadre de l'article IV du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (NPT/CONF.2000/10)

- Activités menées par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) dans le cadre de l'article V du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (NPT/CONF.2000/11)

- Mémorandum du Secrétaire général de l'Organisation pour l'interdiction des armes nucléaires en Amérique latine et dans les Caraïbes à l'intention de la Conférence des Parties chargée d'examiner le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires en 2000 (NPT/CONF.2000/12)

- Mémorandum sur les activités liées au Traité sur la zone dénucléarisée du Pacifique Sud présenté par le secrétariat du Forum du Pacifique Sud (NPT/CONF.2000/13*)

· Mémorandum sur les activités liées au Traité sur une zone exempte d'armes nucléaires en Asie du Sud-Est présenté par le dépositaire du Traité de Bangkok (NPT/CONF.2000/15*)

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