ECOSOC/340

LE CONSEIL ECONOMIQUE ET SOCIAL TIENDRA SA SESSION ANNUELLE A GENEVE DU 30 JUIN AU 25 JUILLET 1997

25 juin 1997


Communiqué de Presse
ECOSOC/340


LE CONSEIL ECONOMIQUE ET SOCIAL TIENDRA SA SESSION ANNUELLE A GENEVE DU 30 JUIN AU 25 JUILLET 1997

19970625 Il consacrera son débat de haut niveau à la promotion d'un environnement favorable au développement

La session annuelle du Conseil - qui se tiendra du 30 juin au 25 juillet 1997 au Palais des Nations, à Genève - consacrera son débat de haut niveau, du 2 au 4 juillet, à la question de la "promotion d'un environnement favorable au développement : courants financiers, y compris flux de capitaux; investissements; commerce". - D'après l'Etude sur la situation économique et sociale dans le monde (1997), qui fournira une base générale de discussion, l'économie mondiale connaît, en cette fin de millénaire, une croissance assez générale. Le niveau de croissance actuelle et sa structure vont probablement se maintenir et, dans certains cas, s'améliorer en 1997. La première journée du débat de haut niveau (2 juillet) sera consacrée à un dialogue sur la politique et à une discussion avec les chefs des institutions financières et commerciales multilatérales du système des Nations Unies portant sur les principaux faits nouveaux dans l'économie mondiale et la coopération économique internationale.

Le Conseil consacrera la première journée de la session, le 30 juin, à un dialogue officieux avec les chefs des fonds et programmes des Nations Unies sur les activités opérationnelles du système des Nations Unies. La réunion de haut niveau consacrée à ce sujet, aura lieu le mardi 1er juillet sur le thème "Financement des activités opérationnelles de développement". Le débat sur cette question s'achèvera le mardi 8 juillet. Le Conseil sera saisi des rapports pertinents du Secrétaire général. Il examinera également la mise en place de la résolution 50/120, relative à l'examen triennal en matière de politique des Nations Unies, s'agissant des activités opérationnelles pour le développement. La note de stratégie de pays, l'approche-programme, l'exécution nationale, la simplification et l'harmonisation des règles et procédures, le partage des locaux et des services administratifs, ainsi que l'harmonisation des budgets, le suivi et l'évaluation et d'autres questions liées au renforcement de l'intégration du système des Nations Unies, figureront parmi les sujets traités. Le Conseil examinera également les rapports des Conseils d'administration du Programme des Nations Unies pour le développement/Fonds des Nations Unies pour la population, du Fonds des Nations Unies pour l'enfance et du Programme alimentaire mondial, ainsi que le rapport

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du Comité de haut niveau pour l'examen de la coopération technique entre pays en développement, qui est chargé de l'examen intergouvernemental global de cette question dans le cadre du système des Nations Unies.

Du 9 au 11 juillet, le débat consacré aux questions de coordination portera, cette année, sur deux thèmes principaux : "intégration d'une démarche soucieuse d'équité entre les sexes dans tous les programmes et politiques des organismes des Nations Unies" et : "eau douce, y compris approvisionnement en eau salubre et non polluée et assainissement". Dans le programme d'action de Beijing, la Quatrième Conférence mondiale sur les femmes a recommandé au Conseil d'envisager de consacrer, avant l'an 2000, au moins un segment de ses activités de coordination à la coordination de la promotion de la femme, sur la base du plan révisé à moyen terme à l'échelle du système pour la promotion de la femme.

Du 14 au 24 juillet, le Conseil, réuni en plénière, entamera son débat général qui portera principalement sur les conclusions et recommandations des organes subsidiaires du Conseil. Il sera saisi pour la première fois d'un document contenant les conclusions et recommandations, élaboré par le Secrétariat, et présentant les résultats de l'effort de restructuration et de rationalisation du Conseil. Le débat général commencera par l'examen de la question de l'application et du suivi intégrés et coordonnés des résultats des grandes conférences et sommets internationaux organisés par les Nations Unies. Il sera saisi du rapport du Secrétaire général sur l'application des conclusions adoptées d'un commun accord au cours du débat que le Conseil a consacré en 1996 aux questions de coordination, touchant la coordination des activités du système des Nations Unies pour l'élimination de la pauvreté.

Dans le cadre du point relatif aux questions de coordination, questions relatives au programme et autres questions, le Conseil se penchera sur : les rapports des organes de coordination; la collaboration multisectorielle concernant la question "Tabac ou santé"; la coopération internationale dans le domaine de l'informatique; la coordination des activités des organisations du système des Nations Unies dans le domaine de l'énergie; le programme commun coparrainé des Nations Unies sur le virus de l'immunodéficience humaine et le syndrome d'immunodéficience acquise; le projet de budget-programme pour l'exercice biennal 1998-1999; le calendrier des conférences dans les domaines économiques et social et dans les domaines connexes; l'Université des Nations Unies; et la proclamation d'années internationales.

En ce qui concerne les rapports, conclusions et recommandations des organes subsidiaires, le Conseil examinera, dans le cadre des questions économiques, plusieurs rapports relatifs au développement durable, à la science et technique au service du développement, à la population et au développement, aux établissements humains, à l'environnement, au transport des marchandises dangereuses, à la cartographie, aux statistiques, et à l'administration publique et au développement. Dans le cadre des questions relatives à l'environnement, le Conseil examinera les questions pertinentes du

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document établi par le Secrétariat et regroupant les conclusions et recommandations des organes subsidiaires. En ce qui concerne les questions sociales, le Conseil sera saisi de rapports sur la promotion de la femme, du rapport de la Commission du développement social sur les travaux de sa trente- cinquième session, du rapport sur la situation sociale dans le monde et du rapport du Secrétaire général sur la réalisation des objectifs de l'éducation pour tous dans le cadre du développement social. Il sera saisi par ailleurs du rapport de la Commission pour la prévention du crime et la justice pénale sur les travaux de sa sixième session. Le Conseil sera également saisi du rapport de la Commission des stupéfiants sur les travaux de sa quarantième session, et du résumé du rapport de l'Organe international de contrôle des stupéfiants sur ses activités de 1996. Le Conseil sera saisi du rapport du Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, et, pour les questions relatives aux droits de l'homme, des sections pertinentes du document établi par le Secrétariat et regroupant les conclusions et recommandations des organes subsidiaires. Toujours dans le cadre des rapports, conclusions et recommandations des organes subsidiaires, le Conseil examinera le rapport du Secrétaire général sur l'application du Programme d'action pour la troisième Décennie de la lutte contre le racisme et la discrimination raciale. En matière de droits de l'homme, il sera saisi des rapports du Comité des droits économiques, sociaux et culturels sur les travaux de ses quatorzième et quinzième sessions. Il sera également saisi du rapport de la Commission des droits de l'homme sur les travaux de sa cinquante-troisième session, du rapport du Haut Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme et des observations générales du Comité des droits de l'homme.

Dans le cadre de l'étude du point relatif à l'assistance économique spéciale, l'aide humanitaire et les secours en cas de catastrophe, le Conseil sera saisi du rapport annuel sur la coordination de l'aide humanitaire d'urgence de l'Organisation des Nations Unies, que l'Assemblée générale avait demandé, lors de sa 46ème session, au Secrétaire général de préparer. Ce rapport doit présenter des solutions possibles, des propositions et des recommandations pour un examen et un renforcement de tous les aspects de la capacité du système des Nations Unies en matière d'aide humanitaire. À sa cinquante et unième session, l'Assemblée a prié le Secrétaire général d'inclure dans le rapport qu'il présenterait au Conseil lors de sa session de fond de 1997 des propositions visant à définir plus clairement les besoins prioritaires et à élaborer une stratégie cohérente de l'aide humanitaire dans le cadre des appels globaux, et lui a demandé d'inviter les Etats à présenter leurs vues sur la question en temps voulu; elle a également invité le Secrétaire général, agissant en consultation avec le Comité permanent interorganisations, à faire des recommandations au Conseil, lors de sa session de fond de 1997, sur les moyens de renforcer l'efficacité du Fonds central autorenouvelable, et lui a demandé d'inviter les États à présenter leurs vues sur la question en temps voulu. Le Conseil sera également saisi du rapport du Secrétaire général sur l'aide à la reconstruction et au développement du Liban.

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Il examinera par ailleurs le point de l'ordre du jour relatif à l'Application de la Déclaration sur l'octroi de l'indépendance aux pays et aux peuples coloniaux. Le Conseil économique et social examinera également les questions de coopération régionale, pour lesquelles il sera saisi des résumés des études sur la situation économique et sociale des cinq régions établies par les commissions régionales et axées sur les principaux problèmes et perspectives de ces régions. Le rapport du Secrétaire général sur la coopération régionale, qui fait le point des réunions des secrétaires exécutifs, expose en outre les éléments nouveaux intervenus dans chaque région et appelle l'attention du Conseil sur les questions spécifiques qu'il conviendrait que celui-ci examine. Le rapport porte également à l'attention du Conseil toutes les décisions et recommandations des commissions qui, conformément au règlement, doivent être approuvées par lui. Une section du rapport portera sur la question de l'examen et de la réforme des commissions régionales. Le Conseil sera également saisi d'une note du Secrétaire général sur la réforme de l'Organisation des Nations Unies et son incidence sur la Commission économique pour l'Amérique latine et les Caraïbes, et d'une note sur la liaison fixe Europe-Afrique à travers le détroit de Gibraltar.

La question de la souveraineté permanente sur les ressources nationales dans le territoire palestinien et les autres territoires arabes occupés constitue une autre des questions qui figurent à l'ordre du jour de la session du Conseil, de même que la question de l'application de la résolution 50/227 de l'Assemblée générale, relative aux mesures complémentaires pour restructurer et revitaliser l'Organisation des Nations Unies dans les domaines économique et social et les domaines connexes. Conformément à cette résolution, le Conseil sera saisi du rapport du Secrétaire général sur l'application de ladite résolution. Le rapport du Comité des organisations non gouvernementales ainsi qu'une note sur l'élargissement de la composition du Comité chargé des organisations non gouvernementales seront examinés dans le cadre de la question des organisations non gouvernementales. Enfin, un nouveau point intitulé "Idées nouvelles et novatrices pour mobiliser des fonds", fait suite à la demande faite par le Conseil au Secrétaire général lors de sa session de fond 1996, de présenter un rapport qu'il établirait en collaboration avec le Programme des Nations Unies pour le développement, sur tous les aspects des idées nouvelles et novatrices permettant de mobiliser des fonds au service des engagements et priorités adoptés d'un commun accord au niveau mondial, notamment ceux qui ont été fixés lors des conférences et sommets que l'Organisation des Nations Unies a organisés récemment, en examinant en particulier leur faisabilité et les modalités d'application éventuelles, ainsi que les coûts et avantages de cette application.

L'économie mondiale connaît une croissance assez générale, mais la communauté internationale doit faire en sorte qu'elle se propage aux pays en développement ou en transition.

L'Etude 1996 sur la situation économique et sociale dans le monde (document E/1997/50, à paraître) fournira au Conseil une base de réflexion sur

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les questions économiques et sociales qui déterminent la formulation des politiques. Elle se compose de trois parties : la première traite de la situation économique mondiale actuelle, la deuxième de l'ajustement budgétaire, et la troisième examine des questions qui ont retenu l'attention de la communauté internationale.

D'après l'Etude, l'économie mondiale connaît une croissance assez générale en cette fin de millénaire. La croissance économique mondiale a été de 3% en 1996, et un taux semblable est projeté pour 1997. Il semble que cette croissance soit durable, car les taux d'inflation ont baissé dans la plupart des pays et devraient également diminuer dans d'autres pays, tandis que des déficits budgétaires excessifs ont, dans l'ensemble, été allégés. "L'élan acquis est encourageant; mais il ne se propage pas assez rapidement" d'après les auteurs de l'étude. Les bouleversements antérieurs avaient causé certains reculs économiques et sociaux qui sont loin d'être dissipés dans certaines parties du monde en développement ainsi que dans les pays qui passent de l'économie planifiée à l'économie de marché.

En ce qui concerne la situation économique de différents groupes de pays en 1996 et 1997, la plupart des pays développés n'ont pas créé assez d'emplois et les taux de chômage restent excessifs, ce qui représente un gaspillage de ressources humaines et entraîne des dépenses publiques qui grèvent le budget. Pour beaucoup de pays d'Europe occidentale, le principal objectif de la politique économique est de respecter les objectifs budgétaires qu'exige la participation à l'Union économique et monétaire de l'Union européenne. La plupart des pays à économie en transition ont commencé leur relèvement économique, mais seule la Pologne a retrouvé un niveau de production égal à celui des années précédant la transition. La reprise d'une croissance durable est une condition essentielle de la transition, conclut l'Etude. Par ailleurs, le taux de croissance économique dans les pays en développement pris ensemble n'a jamais été aussi élevé depuis de nombreuses années. La croissance économique se propage à un nombre grandissant de pays à faible revenu. Dans le climat actuel, l'objectif de ces pays, avec l'aide de leurs partenaires pour la coopération pour le développement, devrait être de parvenir, en moyenne sur le long terme, aux 3% par an d'augmentation du revenu par habitant que de nombreux pays en développement ont obtenu en 1996. En 1996, les pays d'Amérique latine qui ont enregistré ce taux de croissance ne représentaient qu'un tiers de la population de la région. En Afrique, cette proportion se réduit à un quart.

Certains signes donnent à penser que plusieurs idées reçues au sujet des corrélations économiques mondiales deviennent moins valables. La croissance dans les pays en développement est désormais moins liée à celle des pays développés. En 1996, l'accélération de la croissance a eu lieu en dépit d'un ralentissement des échanges mondiaux, qui avaient connu une croissance exceptionnelle en 1994 et 1995. Plusieurs autres aspects importants du climat économique international ont été dans l'ensemble favorables en 1996. On continue à observer un important transfert net de ressources financières vers

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les pays en développement - 37 milliards de dollars en 1996 vers le groupe des pays en développement débiteurs nets - mais ces mouvements de capitaux restent concentrés dans assez peu de pays. Or, le dynamisme des apports de capitaux aux pays en développement tient uniquement aux mouvements de capitaux privés. L'aide publique au développement est tombée à 0,27% du PIB des pays donateurs en 1995 et des indications préliminaires donnent à penser qu'elle a encore baissé en 1996, sans signe de reprise en 1997. Cela est très préoccupant au moment où il existe des possibilités sans précédent d'utiliser de façon productive les ressources de cette nature dans les pays les plus pauvres.

La deuxième partie de l'Etude passe en revue l'expérience acquise par plusieurs pays en matière d'assainissement budgétaire, en analysant surtout les méthodes qui ont été suivies. Il apparaît que dans beaucoup de pays, la restructuration du budget a été l'un des éléments de programme plus ambitieux de stabilisation et d'ajustement structurel. Au centre des mesures prises, on trouve souvent les politiques de lutte contre l'inflation. La stabilité macro-économique progresse assez largement et cela entraîne une accélération de la croissance dans beaucoup de pays. Cela fait craindre que l'obtention de la stabilité macro-économique n'aille pas de pair avec des succès comparables dans la mise en oeuvre des ajustements structurels nécessaires pour absorber la population active rendue sans emploi par certaines réformes.

La troisième partie de l'Etude examine certaines questions qui ont retenu l'attention de la communauté internationale : le commerce international des armes, qui a connu un changement qualitatif depuis la fin de la guerre froide et ne semble pas avoir diminué autant que le laissent penser les statistiques; les déplacements internationaux, qui représentent une part croissante de la production et du commerce mondiaux et ont une incidence particulièrement dynamique sur l'économie des pays en développement; le retour en force de la tuberculose, question examinée en collaboration avec l'OMS; les tendances actuelles en matière d'émission de dioxyde de carbone, accusée par de nombreux scientifiques de contribuer au réchauffement de la planète et dont le contrôle nécessite une approche mondiale; la réforme budgétaire avec des études spécifiques portant sur la Fédération de Russie, la Russie, la Chine, l'Argentine, le Ghana, la Jordanie et l'Irlande.

La stabilité, la prévisibilité, l'adaptabilité et la transparence des cadres juridiques et réglementaires sont les conditions nécessaires à un environnement favorable au développement.

Le rapport du Secrétaire général sur la promotion d'un environnement favorable au développement : courants financiers, y compris flux de capitaux; investissements; commerce (à paraître) a été préparé en collaboration avec la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement et la Banque mondiale. Promouvoir un environnement favorable pour le développement demande un effort concerté des gouvernements, aux niveaux national et international, en collaboration avec d'autres acteurs, qui interagissent afin de favoriser une croissance économique durable et un style de développement durable dont

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les bénéfices sont équitablement partagés entre tous les membres de la société. Les caractéristiques essentielles d'un environnement favorable sont la stabilité ,la prévisibilité, l'adaptabilité, la transparence des cadres juridiques et réglementaires, et des institutions sociales stables. Elles supposent que les pays suivent des politiques orientées vers la croissance. Cependant, les efforts conduits au niveau national afin d'améliorer l'environnement pour le développement ne peuvent être menés indépendamment des institutions et des politiques internationales. Les pays en développement avec leur capacité limitée à absorber les chocs externes, sont particulièrement vulnérables aux changements rapides de l'environnement international. Les perspectives de ces pays sont menacées par la réduction de l'aide au développement, les faibles niveaux d'investissement direct, le poids de la dette extérieure et la détérioration des termes de l'échange. Il semble que le monde se trouve aujourd'hui à la veille d'une ère de développement économique mondial durable sans précédent. Cependant, le cadre institutionnel et politique nécessaire à l'exploitation de cette opportunité n'est pas mis en place.

Les éléments d'un environnement international favorable au développement sont les mêmes que ceux qui sont requis au niveau national : création et maintien de conditions de paix et de stabilité; démocratisation des relations internationales; établissement de régimes ouverts, équitables et transparents; application de règles du jeu non discriminatoires; et protection des membres les plus faibles et les plus vulnérables de la communauté internationale grâce à des meilleures conditions commerciales et financières.

L'ordre du jour provisoire annoté et le Programme de travail de la session de fond de 1997 du Conseil ont été publiés sous les cotes E/1997/100 et E/1997/L.15.

Composition du Conseil

Le Conseil économique et social comprend les 54 Etats Membres suivants : Afrique du Sud, Allemagne, Argentine, Australie, Bangladesh, Bélarus, Brésil, Canada, Cap Vert, Chili, Chine, Colombie, Congo, Côte d'Ivoire, Cuba, Djibouti, El Salvador, Espagne, Etats-Unis, Fédération de Russie, Finlande, France, Gabon, Gambie, Guyana, Inde, Islande, Jamaïque, Japon, Jordanie, Lettonie, Liban, Luxembourg, Malaisie, Mexique, Mozambique, Nicaragua, Ouganda, Pays-Bas, Philippines, Pologne, République centrafricaine, République de Corée, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Soudan, Sri Lanka, Suède, Thaïlande, Togo, Tunisie, Turquie et Zambie. Il est présidé par M. Vladimir Galuska (République tchèque). Les Vice-Présidents du Conseil sont : MM. Daniel Abibi (Congo), Anwarul Chowdhury (Bangladesh), Juan Somavia (Chili) et Gerhard Walter Henze (Allemagne).

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