AG/613

L'ASSEMBLEE GENERALE CELEBRE LE CINQUANTIEME ANNIVERSAIRE DE L'UNICEF

11 décembre 1996


Communiqué de Presse
AG/613


L'ASSEMBLEE GENERALE CELEBRE LE CINQUANTIEME ANNIVERSAIRE DE L'UNICEF

19961211 APRES-MIDI AG/613

L'Assemblée générale a célébré cet après-midi en séance plénière le cinquantième anniversaire du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF). A ce titre, l'Assemblée a entendu la déclaration de son Président, M. Razali Ismail (Malaisie), qui a estimé qu'au moment où les Nations Unies sont souvent jugées négativement, l'UNICEF a de nombreux succès à son actif, en ce qui concerne la vie des enfants. Il a noté que l'utilisation des enfants en tant que protagonistes, cibles ou otages de guerre est une violation si répugnante des valeurs universelles, que notre conscience devrait être alertée au plus haut point par cet outrage moral. Le Président a déclaré qu'il croit que la communauté internationale peut trouver la ténacité requise pour protéger les enfants dans le monde entier, ce qui demande des sacrifices en temps, en énergie et en profits commerciaux.

De son côté, le Secrétaire général des Nations Unies, M. Boutros Boutros-Ghali, a déclaré que les résultats de l'UNICEF sont une source de fierté partagée par tous les membres de la communauté internationale. Il a toutefois estimé que la situation des enfants dans de nombreuses régions du monde reste préoccupante et les conditions sociales et économiques précaires risquent de mettre en péril les tendances prometteuses qui se manifestent. Il a rappelé que 187 pays ont ratifié la Convention sur les droits des enfants, faisant d'elle le traité relatif aux droits de l'homme le plus largement ratifié de l'histoire.

L'Assemblée générale a également entendu les déclarations des représentants du Congo (au nom des Etats d'Afrique), de la Mongolie (au nom des Etats d'Asie), de la Pologne (au nom des Etats d'Europe de l'Est), du Mexique (au nom des Etats d'Amérique latine et des Caraïbes) et du Canada (au nom des Etats occidentaux et des autres Etats), ainsi que celle du représentant des Etats-Unis, pays hôte.

En fin de séance, le Président a indiqué que l'Assemblée se prononcera le lundi 16 décembre sur un projet de résolution relatif à l'UNICEF présenté par la Roumanie.

(à suivre - 1a)

- 1a - AG/613 11 décembre 1996

Au cours de sa prochaine séance, qui aura lieu demain, jeudi 12 décembre, à 10 heures, l'Assemblée générale examinera successivement la question de la coopération entre l'ONU et l'OSCE et la question de la communication faite par le Secrétaire général en vertu du paragraphe 2 de l'Article 12 de la Charte. De plus, l'Assemblée se prononcera sur des projets de résolution relatifs à la question du renforcement de la coordination de l'aide humanitaire et des secours en cas de catastrophe fournis par l'ONU, sur un projet de résolution relatif à la question de la coopération entre l'ONU et de l'OUA, ainsi que sur les recommandations contenues dans trois rapports de la cinquième commission qui ont trait au financement de la Mission des Nations Unies en Bosnie-Herzégovine, de l'Administration transitoire des Nations Unies pour la Slavonie orientale, la Baranja et le Srem occidental et de la Force de déploiement préventif des Nations Unies.

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Activités opérationnelles de développement : célébration du cinquantième anniversaire des activités du Fonds des Nations Unies pour l'enfance

Déclarations

M. RAZALI ISMAIL, Président de l'Assemblée générale, a déclaré qu'à un moment où les Nations Unies sont souvent jugées négativement, l'UNICEF a de nombreux succès à son actif, en ce qui concerne les changements d'attitude, les perspectives et la vie des enfants. Il a estimé que des ressources, notamment financières, doivent être mobilisées pour la promotion des programmes et des activités nécessaires à cette fin. Le Président a noté que la communauté internationale doit continuer à agir pour investir davantage dans l'éducation et la santé pour les jeunes plutôt que d'augmenter les dépenses militaires.

Le Président a estimé qu'alors que l'UNICEF avec ses ressources a permis d'opérer des changements profonds en matière de santé et de bien-être des enfants, l'absence de ressources pour éliminer les causes profondes de la pauvreté et de la marginalisation est indicative des contradictions en ce qui concerne les engagements et les objectifs mondiaux à atteindre. Il a noté que l'utilisation des enfants en tant que protagonistes, cibles ou otages de guerre et de conflits violents est une violation si répugnante des valeurs universelles, que notre conscience devrait être alertée au plus haut point par cet outrage moral. Le travail des enfants lorsqu'il y a une exploitation de leur situation désespérée est hautement condamnable. Les enfants dans ces situations sont sujets aux abus sexuels, physiques et mentaux. Le Président a déclaré qu'il croyait que la communauté internationale peut trouver la compassion et la ténacité requises pour protéger les enfants dans le monde entier, ce qui demande des sacrifices en temps, en énergie et en profits commerciaux. Selon le Président, il faut rejeter la notion que l'exploitation des enfants ne se passe que dans les pays en développement. "Cela se passe tout autour de nous" a-t-il déclaré.

M. BOUTROS BOUTROS-GHALI, Secrétaire général des Nations Unies, après s'être félicité de participer à la célébration de la famille du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF), a indiqué que le Fonds, depuis sa création en 1946 se trouve à la pointe du combat en faveur des enfants. Ses résultats sont une source de fierté partagée par tous les membres de la communauté internationale. Le cinquantième anniversaire de l'UNICEF leur offre l'occasion unique de se pencher sur les progrès accomplis, de tirer les leçons et d'envisager son avenir. L'UNICEF et ses nombreux partenaires, les gouvernements, les Comités nationaux pour l'UNICEF, les organisations non gouvernementales et le grand public ont travaillé dans toutes les régions du monde. Ils ont accordé une attention particulière aux pays en développement et ont permis d'améliorer les conditions de vie de millions d'enfants.

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Ils ont également encouragé la responsabilité politique, défini des stratégies et politiques nationales et locales. Ils ont mobilisé la participation de la base, fourni une assistance technique et ont promu partout les droits des femmes et des enfants. En cet anniversaire, il y a lieu de célébrer les progrès réalisés dans les domaines de la santé, de la nutrition, de l'éducation, de la fourniture en eau potable, de l'hygiène et des soins apportés aux enfants en situation de crise. Ainsi, a rappelé M. Boutros- Ghali, l'espérance de vie moyenne d'un enfant est passé de 37 à 67 ans en l'espace seulement de trois décennies. Dans les années 60, moins de la moitié des enfants avaient accès à l'enseignement primaire. En 1995, presque 80% des enfants allaient à l'école. Il y a deux décennies, moins de dix pour cent des enfants étaient immunisés contre les maladies mortelles avant leur premier anniversaire. Aujourd'hui, les communautés ont été mobilisées afin que près de 80% des enfants soient immunisés. Et le taux de mortalité infantile a été réduit de plus de moitié entre 1960 et 1995. Aujourd'hui, l'UNICEF fait toujours face aux conflits qui sont plus nombreux et plus complexes qu'ils ne l'ont jamais été. Aucun des succès enregistrés n'aurait été possible sans le dévouement et le talent du personnel de l'UNICEF et la direction judicieuse imprimée successivement par les quatre Directeurs exécutifs du Fonds.

Le Secrétaire général a toutefois estimé que la situation des enfants dans de nombreuses régions du monde reste préoccupante. Les conditions sociales et économiques inadaptées risquent de mettre en péril les tendances prometteuses qui se font fait jour. Les conflits armés et l'intolérance transforment l'espoir en haine. Les enfants sont la clé d'un avenir et d'un monde meilleur. Il est essentiel que les enfants puissent réaliser totalement leur potentiel et contribuent aux progrès et au développement de leur pays. Les dirigeants du monde ont commencé à comprendre que le Produit national brut (PNB) ne permet que de mesurer la croissance. Les nations qui nourrissent, protègent et investissent dans leurs enfants, sont les nations qui prospèrent.

Au cours du Sommet mondial pour les enfants, 71 chefs d'Etat et de gouvernement se sont réunis à New York pour débattre de la situation des enfants dans le monde. La Déclaration qui a été adoptée à l'issue du Sommet a dépassé la simple rhétorique et a permis d'obtenir des résultats concrets. Ainsi 187 pays ont ratifié la Convention sur les droits des enfants, faisant d'elle le traité relatif aux droits de l'homme le plus largement ratifié de l'histoire. Le Secrétaire général a indiqué que 98% des enfants du monde vivent dans des pays qui se sont engagés à leur consacrer les ressources et les services nécessaires. Plus de 50 gouvernements ont d'ores et déjà informé le Comité sur les droits des enfants des mesures qu'ils ont prises pour s'acquitter de leurs obligations. Le Secrétaire général, rappelant que c'est la souffrance des enfants durant la guerre qui a été à l'origine de la création de l'UNICEF, il y a cinquante ans, a estimé que c'est encore la souffrance des enfants qui rappelle aux Membres des Nations Unies qu'il reste beaucoup à faire et combien est énorme la tâche de l'UNICEF. Offrons un avenir meilleur aux enfants du monde, notre avenir collectif, a conclu le Secrétaire général.

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M. DANIEL ABIBI (Congo, au nom des Etats africains) a fait remarquer que l'action de l'UNICEF se situe au coeur des préoccupations les plus nobles de l'humanité, défendant les droits des enfants, répondant à leurs besoins et visant leur plein épanouissement. L'oeuvre accomplie au cours de ces cinquante années est grandiose et porte à la fois sur le plan législatif et sur le plan opérationnel. A cet égard, il a estimé que la Convention relative aux droits de l'enfant est un instrument particulièrement puissant, qui défend et protège dans leur intégralité les droits fondamentaux des enfants autant qu'il consacre l'action des Etats en tant qu'obligation légale et non plus seulement comme un acte de charité ou de compassion.

Le représentant a salué les importantes avancées obtenues en Afrique, notamment dans les domaines de la lutte contre la malnutrition, la maladie et l'analphabétisme. Toutefois, il a reconnu que les filets de sécurité pour les enfants restent encore très fragiles et de nombreuses batailles restent à gagner pour atteindre tous les objectifs consacrés dans la mission fondamentale de l'UNICEF. Trop d'enfants sont encore contraints de s'adonner à des activités qui portent atteinte à leur intégrité physique et morale et à leur plein épanouissement, a-t-il mis en garde, ajoutant qu'en Afrique, nombreux sont les pays où une situation économique caractérisée par des difficultés diverses comme le lourd fardeau de la dette, bat en brèche les efforts déployés pour donner aux enfants les conditions d'un développement harmonieux auxquelles ils ont légitimement droit. Ce jour anniversaire est une occasion propice pour la communauté internationale de réaffirmer sa foi en une organisation qui constitue le cadre idéal de défense des droits de l'enfant et pour proclamer l'engagement des Etats, à l'aider à poursuivre son oeuvre salutaire, en mettant à sa disposition les moyens compatibles avec sa mission.

M. MENDSAIKHANY ENKHSAIKHAN (Mongolie) a déclaré, au nom des Etats membres du Groupe asiatique, que le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) est devenu au cours des ans une institution sûre pour répondre aux besoins des enfants du monde et défendre leurs intérêts. Le Sommet mondial pour les enfants en 1990, au cours duquel a été adopté un plan d'action jusqu'à l'an 2000 visant à assurer la survie, la protection et le développement des enfants, a été un des points forts de l'histoire de l'UNICEF. La révision à mi-décennie a montré que le niveau de vie des enfants a pu être amélioré dans plus de 90 pays. Du fait que les services d'immunisation se sont développés, la poliomyélite et la dracunculose ont pratiquement été éliminées. L'augmentation de la consommation de l'eau iodée a pu protéger environ 12 millions de nouveaux nés. La mortalité des enfants en dessous de cinq ans a été réduite. Du fait que la diarrhée a été mieux traitée, 1 millions d'enfants par an ont pu être sauvés. Par ailleurs, en 1995, environ 50 millions d'enfants de plus qu'en 1990 ont pu être inscrits dans des écoles primaires.

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Les Etats asiatiques se félicitent des efforts faits par l'UNICEF pour assurer un meilleur avenir aux enfants. Le représentant a rappelé que beaucoup reste à faire. Les enfants continuent à être confrontés aux problèmes de malnutrition, du manque d'hygiène, de l'analphabétisme, de l'exploitation par le travail, de la prostitution, de l'abus sexuel, de la violence. Ceux-ci sont aussi les premières victimes des conflits armés. Afin que ces problèmes puissent être résolus, il est essentiel de renforcer la coopération internationale et la volonté politique des Etats.

M. ZBIGNIEW MATUSZEWSKI (Pologne, au nom des Etats d'Europe orientale) a rappelé que la création en 1946 du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) résultait de la nécessité de répondre aux besoins urgents des enfants après la seconde guerre mondiale. Depuis, l'UNICEF s'est attaché à satisfaire les besoins à long terme des enfants qui vivent dans la pauvreté. L'UNICEF a toujours travaillé en étroite collaboration avec les gouvernements nationaux, les autres institutions du système des Nations Unies et les organisations non gouvernementales, afin d'aider les enfants tout en mettant l'accent sur la relation existant entre progrès, paix et bien-être des enfants. Les actions concrètes entreprises par l'UNICEF ont permis de constater en trois décennies une forte augmentation de l'espérance de vie infantile. Ainsi en 1995, près de 80% des enfants du monde fréquentaient l'école et étaient vaccinés et le taux de mortalité infantile avait diminué de moitié depuis 1960.

Il a constaté que des progrès continus avaient été faits pour atteindre les objectifs fixés par la Conférence mondiale sur l'enfance et que la communauté internationale avait prouvé son engagement dans ce domaine en ratifiant de manière quasi universelle la Convention sur les droits de l'enfant. Le rôle moteur de l'UNICEF, alertant la conscience collective et mobilisant des fonds, est incontestable, a-t-il reconnu, bien que nombreux encore, sont les enfants qui sont victimes de la malnutrition, des maladies, de l'analphabétisme, de l'exploitation, des drogues, des catastrophes naturelles et des conflits armés. Or, il est de la responsabilité de la communauté internationale de renforcer les réseaux de protection des enfants afin d'assurer le respect de leurs droits fondamentaux, tels que la survie, la protection, la santé, l'éducation et la liberté d'expression. Reprenant le mot d'ordre "les enfants d'abord", il a félicité à nouveau l'UNICEF pour son travail et a réitéré la volonté des pays de l'Europe orientale de participer activement à sa mission, permettant le développement d'un enfant en un individu libre et indépendant.

M. MANUEL TELLO (Mexique, au nom des pays membres du groupe de l'Amérique latine et des Caraïbes) a déclaré que la tâche accomplie par l'UNICEF en faveur de l'enfance et des familles a été sans aucun doute un des apports les plus importants des Nations Unies. Il a estimé que l'UNICEF a été le moteur et la conscience des Nations Unies dans les efforts pour atténuer les souffrances des enfants. L'UNICEF a su évoluer en fonction du rythme des nécessités mondiales.

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L'Amérique Latine et les Caraïbes, qui travaillent en collaboration étroite avec l'UNICEF ont pu obtenir des résultats étonnants en ce qui concerne la vaccination et la réduction de la mortalité infantile. Le représentant a noté que, manifestement, il y a encore beaucoup à faire. En dépit des efforts de l'UNICEF, presque treize millions d'enfants meurent chaque année dans les pays en développement pour cause de maladies et des milliers sont victimes des conflits armés les plus meurtriers. Le représentant a déclaré que ce cinquantième anniversaire de l'UNICEF est l'occasion pour les pays d'Amérique latine et des Caraïbes de renouveler leur engagement en faveur de l'élimination des retards qui subsistent, consolider les acquis et relever les défis présents et à venir.

M. ROBERT FOWLER (Canada, au nom des Etats d'Europe occidentale et autres Etats) a estimé que le cinquantième anniversaire de l'UNICEF constitue un événement historique. Le représentant a estimé que l'UNICEF est devenu l'une des organisations internationales les plus importantes et les plus connues. L'UNICEF a réussi à placer et à maintenir la question des enfants en tête des priorités de la communauté internationale. Les succès remarquables de l'UNICEF, a-t-il poursuivi, sont dûs aux nombreux participants et partenaires qui prennent part à ses activités. Ils s'expliquent également par l'appui jamais démenti du grand public, notamment par l'achat des cartes de voeux. De leur côté, les gouvernements participent aussi activement aux travaux de l'UNICEF. De plus, de nombreuses célébrités ont également contribué aux activités et aux efforts du Fonds. Le représentant a rappelé que l'UNICEF a permis de sauver des millions d'enfants et de nourrir, soigner et former des millions d'autres. Les premières cinquante années de l'UNICEF sont sources d'orgueil. Pour autant, il convient de se tourner vers l'avenir pour relever les nombreux défis et travailler en vue des objectifs fixés par le Sommet mondial pour les enfants.

Le monde a besoin de l'UNICEF et l'UNICEF a besoin de la communauté internationale.

M. ROD GRAMS (Etats-Unis), membre du Sénat, a déclaré que pour des millions de personnes, le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) symbolise les Nations Unies. L'image de marque de l'UNICEF résulte des efforts incessants de son personnel, de l'esprit de coopération des nombreuses nations qui participent à ses activités et de la générosité des nombreux donateurs. Le représentant a rappelé que l'UNICEF a été fondé en 1946 pour venir en aide aux enfants après la seconde guerre mondiale. Depuis cette date, le Fonds a aidé de nombreux enfants et mères affectés par des catastrophes aussi bien naturelles que causées par l'homme. Les programmes traditionnels de l'UNICEF se sont concentrés sur les domaines de la santé, de la nutrition, de l'éducation et de l'hygiène. Le développement des vaccinations et de la réhydratation orale a permis de sauver la vie de millions d'enfants. L'UNICEF a aussi pris la défense des enfants victimes d'abus, abandonnés, exploités, victimes de la guerre, de la pauvreté ou de catastrophes naturelles.

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Les Etats-Unis soutiennent les efforts internationaux visant à éliminer l'exploitation des enfants par le travail et collaborera avec l'UNICEF dans ce sens. Le représentant a rappelé que si l'UNICEF a permis de réduire la mortalité infantile, d'améliorer la nutrition et la santé des enfants et des mères, de contrôler les maladies, d'améliorer l'hygiène et l'éducation des enfants, beaucoup reste à faire. Des enfants continuent à mourir dans le monde de causes qui auraient pu être prévenues ou combattues. Le représentant a déclaré que les Etats-Unis continueront à contribuer activement aux efforts de la communauté internationale et de l'UNICEF pour construire un monde plus pacifique et plus humain.

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