En cours au Siège de l'ONU

AG/SHC/254/Re

R E C T I F I C A T I F _______________________

25 octobre 1996


Communiqué de Presse
AG/SHC/254/Re


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19961025 Dans notre communiqué de presse AG/SHC/254 du 23 octobre 1996 portant sur les travaux de la Commission des questions sociales, humanitaires et culturelles (Troisième Commission), le deuxième paragraphe de la première page doit se lire comme suit :

Les représentants du Kazakstan, du Myanmar, du Maroc, de la République islamique d'Iran, du Bélarus (au nom de la Géorgie, du Kirghizistan, de la Fédération de Russie, du Tadjikistan et de l'Ouzbékistan), de la Jamahiriya arabe libyenne, du Cameroun, de la Norvège, de l'Indonésie, de la Pologne, du Nigéria et du Burundi ont pris la parole. L'Arménie et l'Azerbaïdjan ont, par ailleurs, fait usage de leur droit de réponse.

Le premier paragraphe de la page 2 doit se lire comme suit :

Mme AKMARAL KH. ARYSTANBEKOVA (Kazakstan) a affirmé que le problème de la drogue s'aggravait dans tous les pays en transition, menaçant la stabilité politique des Etats et le monde entier. Ce trafic criminel établit des liens avec les organisations terroristes et les trafiquants d'armes, a-t-elle affirmé, plaidant le renforcement du Programme des Nations Unies pour le contrôle international des drogues, notamment dans le domaine de la lutte contre le blanchiment de l'argent. Dans ce cadre, elle a apporté son soutien à la tenue d'une session extraordinaire de l'Assemblée générale sur le contrôle international des drogues en 1998. La représentante s'est prononcée, par ailleurs, contre la légalisation de l'utilisation non médicale des stupéfiants, estimant qu'une telle mesure risquait de saper les efforts des organes de lutte contre les stupéfiants. Elle a affirmé qu'il fallait utiliser plus activement le potentiel des Nations Unies pour renforcer la coopération et les échanges dans le cadre de cette lutte.

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