Le coordonnateur des secours d’urgence de l’ONU, M. Martin Griffiths, a alloué 8 millions de dollars du Fonds central d’intervention d’urgence des Nations Unies (CERF) pour soutenir la réponse humanitaire après le tremblement de terre en Haïti. Le Bureau de la Coordination des affaires humanitaires indique que l’accès au sud de la péninsule où le séisme a frappé est difficile, car les gangs contrôlent les déplacements.
En cours au Siège de l'ONU
Zambie
La Mission des Nations Unies en RDC indique qu’elle a facilité les discussions entre les communautés hema et bira dans le territoire d’Irumu, en Ituri. Par conséquent, les groupes rivaux ont signé un protocole de non-agression et de cessation de la violence, et les leaders communautaires ont accepté de travailler au rétablissement de la paix dans le territoire.
La déclaration suivante a été communiquée, aujourd’hui, par le Porte-parole de M. António Guterres, Secrétaire général de l’ONU:
Le Fonds central pour les interventions d’urgence (CERF) a effectué l’allocation la plus rapide de son histoire: en adoptant une approche innovante pour faire face aux graves inondations au Bangladesh, l’ONU agit avant même que la catastrophe ne frappe en y affectant plus de 5 millions de dollars.
L’ONU continue de travailler avec les États Membres et les missions pour renforcer les systèmes médicaux et les mesures préventives. La distanciation sociale, une hygiène adéquate et l’utilisation d’équipements de protection individuelle sont la première ligne de défense contre le virus.
Sahel: L’insécurité alimentaire et la malnutrition devraient atteindre des niveaux record. Plus de 12 millions de personnes sont déjà confrontées à un grave manque de nourriture, le chiffre le plus élevé depuis une décennie et que l’impact socioéconomique de l’épidémie de COVID-19 pourrait faire doubler.
Le nouveau Représentant permanent de la Zambie auprès de l’Organisation des Nations Unies, M. Ngosa Simbyakula, a présenté aujourd’hui ses lettres de créance au Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres.
Au Burkina Faso, au Mali et au Niger, plus de 4 000 personnes ont été tuées par des attaques terroristes, l’année dernière. C’est ce qu’a dit, ce matin, aux membres du Conseil de sécurité, M. Mohamed Ibn Chambas, Chef du Bureau des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel. Le nombre des déplacés a été multiplié par 10, approchant le million, a-t-il ajouté, prévenant que la concentration géographique des attaques terroristes menace de plus en plus les États côtiers de l’Afrique de l’Ouest.
L’ONU demeure profondément préoccupée par la sécurité et la protection de centaines de milliers de civils dans le nord-est de la Syrie, suite aux informations faisant état d’accrochages intermittents.
Le Secrétaire général condamne l’enlèvement et le meurtre de trois professionnels des médias, tels que confirmés le 13 avril, ainsi que l’enlèvement ultérieur de deux autres ressortissants de l’Équateur.