Iraq


CS/13958

Le Conseil de sécurité a décidé, ce matin, à l’unanimité de ses 15 membres, de proroger jusqu’au 21 septembre 2020, le mandat du Conseiller spécial et de l’Équipe chargés de recueillir des éléments de preuve concernant des actes susceptibles de constituer des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité ou des crimes de génocide commis par l’EIIL (Daech) sur le territoire iraquien,

CS/13932

Deux mois après sa visite « historique » en Iraq, où il a célébré la liberté et la souveraineté recouvrées, consécutivement à la défaite militaire de Daech, le Conseil de sécurité a entendu ce matin la Représentante spéciale du Secrétaire général parler d’un pays aux « défis énormes qui ne sont pas nés en une nuit et qui ne sont pas le seul fait de ses actions ». 

 

Dbf190715

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF) ont annoncé aujourd’hui que 20 millions d’enfants n’avaient pas bénéficié de vaccins essentiels contre la rougeole, la diphtérie et le tétanos l’an dernier. Les deux agences ont indiqué que la plupart des enfants non vaccinés vivaient dans les pays les plus pauvres au monde et se trouvaient de manière disproportionnée dans des États fragiles ou touchés par un conflit.  

SC/13855

Le 24 juin 2019, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1518 (2003) a approuvé le retrait des entités ci-après de la Liste des personnes et entités visées par le gel des avoirs prévu aux paragraphes 19 et 23 de la résolution 1483 (2003) du Conseil de sécurité, adoptée en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies.

Dbf190612

Plus d’une personne sur cinq vivant dans les zones de conflit souffre de troubles de santé mentale, indique une étude de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) publiée aujourd’hui par le Lancet.  Cette nouvelle estimation a révélé que plus de personnes qu’on ne le pensait font face à des troubles mentaux, que ce soit des dépressions légères, des troubles de stress post-traumatique ou des maladies mentales graves.  L’OMS appelle par conséquent à investir davantage pour augmenter la disponibilité de services de santé mentale dans les zones touchées par les conflits.