Le Représentant spécial du Secrétaire général pour l’Afrique centrale a indiqué, ce matin, que la situation dans cette région reste difficile du fait d’un certain nombre de menaces pesant sur la stabilité politique, sécuritaire et socioéconomique, notamment en République centrafricaine et en République démocratique du Congo.
En cours au Siège de l'ONU
Afrique
On trouvera ci-après le message du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, à l’occasion de la Journée de l’Afrique, célébrée le 25 mai:
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois de mai, Mme Joanna Wronecka (Pologne):
Au cours d’une réunion du Conseil de sécurité consacrée à la paix et à la sécurité en Afrique, cet après-midi, la Sous-Secrétaire générale aux opérations de maintien de la paix, Mme Bintou Keita, a invité la communauté internationale à renforcer son soutien à la Force conjointe du G5 Sahel, notamment en équipements, et à concrétiser les promesses faites à Bruxelles, le 23 février dernier, au cours de la conférence des donateurs.
Le Secrétaire général suit de près l’évolution de la situation au Sahara occidental.
Un soldat de la paix de la Mission de l’ONU en République centrafricaine (MINUSCA) a été tué et huit autres ont été blessés, ce matin, dans le sud du pays. Le contingent mauritanien escortait un convoi vers la ville d’Alindao quand il a été attaqué par des membres présumés des antibalaka.
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a déclaré, aujourd’hui, qu’elle estimait à 32 le total des cas d’Ébola en République démocratique du Congo pour la période allant du 4 avril au 9 mai 2018.
Le Conseil de sécurité a, cet après-midi, prorogé jusqu’au 31 octobre 2018, soit six mois au lieu d’un an habituellement, le mandat de la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO), déployée en septembre 1991 afin d’y surveiller le cessez-le-feu et d’organiser un référendum qui permettrait aux habitants de décider du futur statut de ce territoire.
Libye: Les fonctionnaires des droits de l’homme attirent l’attention sur un rapport publié aujourd’hui qui montre que les groupes armés en Libye, dont ceux affiliés à l’État, maintiennent des milliers de personnes en détention arbitraire et illégale prolongée et les soumettent à la torture et autres violations et abus des droits de l’homme.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par le Président du Conseil de sécurité pour le mois d’avril, M. Gustavo Meza-Cuadra (Pérou):