En cours au Siège de l'ONU

SG/A/2346*

Le Secrétaire général nomme M. James Swan, des États-Unis, Représentant spécial pour la Somalie et Chef de la MATNUSOM

Le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, M. António Guterres, a annoncé aujourd’hui la nomination de M. James Swan, des États-Unis, au poste de Représentant spécial pour la Somalie et Chef de la Mission d’assistance transitoire des Nations Unies en Somalie (MATNUSOM). 

Le Secrétaire général exprime sa gratitude à M. Swan pour le mandat de Représentant spécial pour la Somalie et Chef de la Mission d’assistance des Nations Unies en Somalie (MANUSOM)/MATNUSOM qu’il exerçait depuis mai 2024, et se réjouit qu’il ait accepté de continuer à diriger l’action de l’ONU en Somalie pendant cette période critique. 

M. Swan est un diplomate expérimenté, fort d’une longue carrière dans des pays africains confrontés à des transitions politiques complexes.  Avant d’occuper les fonctions de Représentant spécial par intérim pour la Somalie et Chef de la MANUSOM/MATNUSOM, ainsi que celles de Représentant spécial pour la Somalie et Chef de la MANUSOM (2019-2022), il a travaillé au sein du Gouvernement des États-Unis comme Ambassadeur en République démocratique du Congo (2013-2016), Représentant spécial pour la Somalie (2011-2013) et Ambassadeur à Djibouti (2008-2011). 

Au début de sa carrière, M. Swan a été Sous-Secrétaire d’État adjoint aux affaires africaines (2006-2008) et Directeur de l’analyse africaine au Bureau du renseignement et de la recherche du Département d’État américain (2005-2006).  Avant d’occuper ces fonctions, M. Swan a effectué diverses missions en République démocratique du Congo, en République du Congo, en Somalie, au Cameroun, au Nicaragua et en Haïti. 

M. Swan est titulaire d’une licence en sciences économiques et sociales de l’École des affaires étrangères de l’Université de Georgetown, d’une maîtrise de l’École des hautes études internationales de l’Université Johns Hopkins et d’un master en études de sécurité du National War College, des établissements tous situés aux États-Unis.  Il parle couramment l’anglais et le français. 

* Ce communiqué remplace celui du 30 mai 2019 publié sous la cote SG/A/1877.

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