En cours au Siège de l'ONU

SG/A/2253

Le Secrétaire général nomme Mme Nyaradzayi Gumbonzvanda (Zimbabwe), Directrice exécutive adjointe d’ONU-Femmes, chargée notamment des résultats des programmes

Le Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, a annoncé aujourd’hui la nomination de Mme Nyaradzayi Gumbonzvanda, du Zimbabwe, au poste de Directrice exécutive adjointe de l’Entité des Nations Unies pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes (ONU-Femmes), où elle sera chargée de l’appui normatif, de la coordination du système des Nations Unies et des résultats des programmes. 

Le Secrétaire général souhaite exprimer toute sa gratitude à la Directrice d’ONU-Femmes, chargée des politiques, des programmes et de l’appui intergouvernemental, Mme Sarah Hendriks , du Canada, qui continuera d’exercer les fonctions de Directrice exécutive adjointe d’ONU-Femmes par intérim, jusqu’à ce que Mme Gumbonzvanda prenne ses fonctions. 

Mme Gumbonzvanda est la fondatrice et la Directrice exécutive du Rozaria Memorial Trust, basé au Zimbabwe. Auparavant, elle a été Secrétaire générale de l’Association chrétienne des jeunes femmes du monde et Directrice de la programmation régionale du Fonds de développement des Nations Unies pour la femme dans l’est et la Corne de l’Afrique.  Elle a également travaillé pour le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) en tant que responsable des droits humains au Libéria et Conseillère nationale pour les droits de l’enfant au Zimbabwe.  Avant de rejoindre l’UNICEF, elle a été Coordonnatrice intérimaire de l’Association des femmes juristes du Zimbabwe et juriste adjointe au Ministère de la justice, des affaires juridiques et constitutionnelles du Zimbabwe. Elle a également été nommée première ambassadrice de bonne volonté de l’Union africaine pour la lutte contre le mariage précoce. 

Mme Gumbonzvanda a reçu un doctorat honoris causa en droit de l’Université du Massachusetts (États-Unis), d’une maîtrise en droit de l’Université d’Afrique du Sud, d’un certificat de troisième cycle en transformation des conflits de l’Université d’Uppsala (Suède) et d’une licence en droit (avec mention) de l’Université du Zimbabwe. 

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