Le nouveau Représentant permanent de la République centrafricaine auprès des Nations Unies présente ses lettres de créance
(Rédigé sur la base d’informations reçues du Service du protocole et de la liaison)
Le nouveau Représentant permanent de la République centrafricaine auprès des Nations Unies, M. Marius Aristide Hoja Nzessioué, a présenté aujourd’hui ses lettres de créance au Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres.
M. Nzessioué était précédemment chargé d’affaires ad interim à la Mission permanente de la République centrafricaine auprès des Nations Unies, à New York, et ce, depuis décembre 2021. Ayant rejoint la Mission en décembre 2020, il y a assumé divers rôles de responsabilité, notamment celui de conseiller économique.
Il a aussi été en poste à Bruxelles comme conseiller économique, puis Premier Conseiller ad interim, à l’ambassade de la République centrafricaine auprès des pays du Benelux et de l’Union européenne (UE). Il a notamment supervisé l’engagement de son pays avec l’UE et le Groupe des États d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique, en contribuant à des initiatives cruciales liées au financement du développement, à l’investissement et à la collaboration avec le secteur privé dans le cadre de l’Accord de Cotonou. Il a également surveillé la mise en œuvre des accords internationaux et des fonds fiduciaires pour le développement de la République centrafricaine.
M. Nzessioué, qui a débuté sa carrière au sein du Ministère des affaires étrangères en 2013, a plus d’une décennie d’expérience dans la diplomatie, la recherche économique, la politique publique/privée et la coopération internationale. Il a également une expertise dans le secteur privé.
Il a obtenu un diplôme de master en analyse économique et développement international, mention expertise économique, à l’Université d’Auvergne. Il est également titulaire d’une licence en analyse économique et développement international, de la même université.
M. Nzessioué a en outre obtenu, en 2017, un certificat en diplomatie internationale de EGMONT, l’Institut royal des relations internationales, à l’issue d’une session de formation de haut niveau organisée par l’Institut Egmont et le Ministère belge des affaires étrangères. Il parle le français, le sango et l’anglais.