« Nous entrons dans une ère ou l’utilisation des données spatiales semblera de plus en plus normale », souligne le Président du Groupe d’experts pour les noms géographiques
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« NOUS ENTRONS DANS UNE ÈRE OU L’UTILISATION DES DONNÉES SPATIALES SEMBLERA DE PLUS EN PLUS NORMALE »,
SOULIGNE LE PRÉSIDENT DU GROUPE D’EXPERTS POUR LES NOMS GÉOGRAPHIQUES
(Adapté de l’anglais)
New York, (Division de la statistique)- « Nous entrons dans une ère où l’utilisation des données spatiales semblera de plus en plus normale. Pensez à tous les outils comme les pages Web et les applications que nous utilisons, souvent tous les jours, qui dépendent des données spatiales. » C’est ce qu’a déclaré M. William Watt, Président du Groupe d’experts des Nations Unies pour les noms géographiques, à l’ouverture de la vingt-huitième session de son Groupe, le 28 avril dernier, au Siège de l’ONU, à New York.
Le Groupe, qui a achevé ses travaux ce 2 mai, a échangé sur la création, le stockage sécurisé et la mise à jour des noms géographiques numérisés et normalisés et la meilleure manière de les diffuser auprès des simples citoyens, des gouvernements et des ONG. Les noms géographiques « continuent d’être l’identifiant spatial le plus fondamental et le plus communément utilisé », a dit le Président du Groupe d’experts, M. Watt.
Ils sont d’une importance vitale pour presque toutes les activités socioéconomiques. Chaque entité géographique doit être spécifiquement identifiable et, en cela, la normalisation des noms géographiques est d’une importance capitale. Les 150 experts et plus, issus des 24 divisions linguistiques et géographiques de leur Groupe, ont eu une série d’ateliers, avec des Divisions de l’ONU et l’Autorité norvégienne de la cartographie, sur les derniers développements technologiques. Ils ont aussi réfléchi à la manière de faire avancer la mise en œuvre des résolutions adoptées lors des Conférences des Nations Unies sur la normalisation des noms géographiques, dont la dernière remonte à 2012.
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