LES CENTRES D’INFORMATION, LE SITE WEB ET L’IMPACT DES ACTIVITES D’INFORMATION DE L’ONU AU COEUR DE LA SESSION DU COMITE DE L’INFORMATION DU 28 AVRIL AU 9 MAI 2003
Communiqué de presse PI/1472 |
Communiqué de base
LES CENTRES D’INFORMATION, LE SITE WEB ET L’IMPACT DES ACTIVITES D’INFORMATION DE L’ONU AU COEUR DE LA SESSION DU COMITE DE L’INFORMATION DU 28 AVRIL AU 9 MAI 2003
Le Comité célébrera la Journée mondiale de la liberté de la presse le 2 mai
Les mesures liées à la réorientation des activités d’information et de communication des Nations Unies seront au cœur des discussions que tiendra, au Siège de l’ONU, du 28 avril au 9 mai 2003, le Comité de l’information. Les travaux de cette vingt-cinquième session porteront essentiellement sur les décisions et les mesures qui toucheraient les centres d’information, le Site Web et la manière d’évaluer l’impact des activités d’information des Nations Unies. Ces mesures et ces décisions seront présentées au Comité de l’information, le 28 avril, par le Secrétaire général adjoint à la communication et à l’information et Chef du Département de l’information, M. Shashi Tharoor. Outre son débat général, le Comité de l’information célébrera le 2 mai, la Journée mondiale de la liberté de la presse.
Réorientation des activités d’information des Nations Unies
La nécessité d’une réorientation des activités d’information de l’Organisation n’est pas nouvelle. Depuis 1999, le Comité de l’information a demandé et reçu des rapports du Secrétaire général sur la question et, en 2002, une étude d’ensemble de la gestion et du fonctionnement du Département de l’information. Le verdict du bureau d’experts-conseils en gestion chargé de l’étude a été sévère. Au terme d’un travail mené de janvier à mai 2002, il a conclu: «Le Département de l’information continue d’évoluer conformément à une stratégie en place depuis 1946, assumant le rôle double et paradoxal d’organe d’exécution des 120 mandats conférés par les Etats Membres, d’une part, et d’organe d’information visant à satisfaire les besoins des médias, des ONG, des établissements d’enseignement et du public, d’autre part».
Fort de ce constat, le Département de l’information a plaidé pour un remaniement visant la mise en place d’un Département dont les activités sont mieux centrées et les objectifs plus clairement définis. Au cours de cette session, le Comité de l’information aura, en conséquence, à juger de l’efficacité prévue d’un Département dont la mission est désormais de «contribuer à la réalisation des objectifs essentiels de l’Organisation en faisant connaître de manière stratégique ses activités et ses préoccupations afin d’obtenir le plus large impact possible auprès du public». Le Comité aura à examiner le nouveau modèle opérationnel du Département qui part du principe que la «substance» de l’information émane des autres départements et bureaux du Secrétariat et organisations du système des Nations Unies, le Département n’étant responsable que de la coordination et de la sélection de l’information, ainsi que de sa présentation et de sa distribution.
Ce modèle opérationnel a donné lieu à une nouvelle structure du Département de l’information qui sera soumise à l’évaluation du Comité de l’information. Depuis novembre 2002, le Département de l’information comprend, en effet, trois divisions chargées, respectivement, de la communication stratégique, de l’information et des médias, et de l’action. Compte tenu de la nouvelle mission que s’est assignée le Département, le Comité évaluera les activités de la nouvelle venue, la Division de la communication stratégique qui, ayant hérité du Service des centres d’information, du réseau de ces centres et des services et antennes d’information des bureaux de l’ONU, est chargée d’élaborer des stratégies de communication destinées à promouvoir les activités prioritaires de l’ONU et de s’assurer que la communication est bien au cœur de la gestion stratégique des Nations Unies. Ce faisant, la Division a pour tâche principale d’assurer la liaison avec les autres départements du Secrétariat.
Centres d’information des Nations Unies
La question d’une communication stratégique touchant efficacement le public est naturellement liée aux activités des centres d’information de l’ONU. L’année dernière, le Département de l’information a proposé au Comité de l’information de rationaliser le réseau de ces centres autour de pôles régionaux. En 2002, on comptait 65 centres d’information dont 62 opérationnels, cinq services d’information et huit bureaux des Nations Unies dont le coût de fonctionnement s’élevait à 46,5 millions de dollars, soit environ 30% du montant total du budget du Département de l’information.
Compte tenu de ces faits, le Comité de l’information jugera de la décision du Département de l’information de créer un premier pôle régional qui desservirait les Etats membres de l’Union européenne. Cette décision implique la fermeture de neuf centres. Le Département de l’information estime que le nouveau modèle de régionalisation permettrait de libérer des effectifs et des ressources financières qui pourraient être redéployés vers les centres des pays en développement; de contribuer à la création d’un mécanisme plus solide d’examen et d’évaluation de l’impact de chacun des nombreux services et produits du Département; ou encore au développement du Site Web de l’ONU au succès grandissant.
Les discussions du Comité seront également fondées sur le rapport du Bureau des services de contrôle interne (BSCI) qui, à l’issue d’un audit sur la structure et le fonctionnement des centres, a fait 15 recommandations.
Site Web de l’ONU
Objet d’un débat animé, depuis sa création en 1996, sur la nécessité d’y intégrer la parité entre les six langues officielles de l’ONU, le Site Web de l’Organisation vient de battre un nouveau record. Le Comité pourra ainsi constater avec satisfaction qu’au 5 février 2003, le Site a enregistré le nombre sans précédent de 10 millions de connexions en 24 heures. La réalisation de la parité linguistique étant estimée à 1 297 500 dollars supplémentaires, le Comité de l’information évaluera les «méthodes novatrices» du Département pour atteindre le multilinguisme dans les limites des ressources existantes. Parmi ces méthodes, qui ont permis l’ouverture, le 1er janvier 2003, de la page «Centre des nouvelles» en langue arabe, le Département cite le transfert de postes à la Section du Site Web, le recours aux milieux universitaires pour accroître ses capacités linguistiques, et l’appel aux autres départements pour qu’ils produisent davantage de matériel dans toutes les langues officielles.
Le Comité de l’information prendra également connaissance de la décision du Département d’entreprendre, dans les mois à venir, une analyse complète du Site Web qui devrait mener à un réalignement des priorités. Ce réalignement a pour objectif ultime de faire passer le Site Web à un niveau où il sera technologiquement viable, continuellement mis à jour, intuitif et convivial et proposé aux utilisateurs dans la langue de leur choix.
Evaluation de l’impact des activités d’information et de communication
Dans ses efforts en vue de toucher efficacement le public, le Comité aura à réfléchir aux moyens d’évaluer l’impact des activités d’information. Il s’agira, entre autres, d’en savoir plus sur les méthodes et les plans choisis par le Département de l’information pour procéder «à une évaluation systématique de l’impact et du rapport coût-efficacité» des activités. Ainsi, le Département a instauré un système d’évaluation annuelle de l’impact des programmes et a accepté d’être l’un des départements pilotes du BSCI puisqu’il s’emploie à mettre à jour et à favoriser le suivi et l’autoévaluation dans le cadre d’une gestion axée sur les résultats. Le but est de trouver des ressources pour promouvoir l’évaluation en tant qu’outil de gestion, sans pour autant compromettre l’exécution des programmes.
Documentation
Rapport du Secrétaire général sur la réorientation des activités des Nations Unies dans le domaine de l’information et de la communication (A/AC.198/2003/2)
Dans ce rapport, le Secrétaire général présente ses efforts de réorientation en trois chapitres consacrés, outre l’introduction, à l’état d’avancement des recommandations de l’étude d’ensemble de 2002; au repositionnement du Département de l’information; et aux activités prioritaires. Le rapport comprend des annexes relatives aux critères de la régionalisation des centres d’information des Nations Unies, et au système de diffusion électronique des documents.
Le Secrétaire général indique que pour rendre plus clairs les objectifs et les buts du Département et améliorer son efficacité globale, on a redéfini sa mission qui est maintenant de «contribuer à la réalisation des objectifs essentiels de l’Organisation en faisant connaître de manière stratégique ses activités et ses préoccupations afin d’obtenir le plus large impact possible auprès du public». Partant, conformément à la Déclaration du Millénaire, le Département axera son «message» sur l’élimination de la pauvreté, la prévention des conflits, le développement durable, les droits de l’homme, la lutte contre le VIH/sida, la lutte contre le terrorisme international et les besoins de l’Afrique.
Pour ce faire, le Secrétaire général dit avoir approuvé un nouveau modèle opérationnel qui part du principe que la «substance» de l’information émane des autres départements et bureaux du Secrétariat et organisations du système des Nations Unies et que le Département est, quant à lui, responsable de la coordination et de la sélection de l’information, ainsi que de sa présentation et de sa diffusion. Aussi, la nouvelle structure du Département qui a été conçue à partir de ce nouveau modèle et qui comprend une division de la communication
stratégique, une division de l’information et des médias et une division des services et produits destinés aux médias est-elle opérationnelle depuis le 1er novembre 2002. Après avoir expliqué les tâches de ces divisions, le Secrétaire général passe ensuite aux actions prioritaires que sont les centres d’information des Nations Unies, le Site Web de l’ONU; et le suivi des résultats.
Concernant les centres d’information, le Secrétaire général indique que le Département s’apprête à donner suite à sa proposition de rationalisation du réseau des centres en créant un pôle régional qui desservira les Etats membres de l’Union européenne. Il explique que les trois raisons justifiant le recours à ces pôles sont la mise à profit d’un paysage médiatique mondial profondément modifié; l’établissement d’un réseau composé d’un plus petit nombre de centres situés sur des sites stratégiques; et le transfert des ressources des centres situés dans les pays développés vers des activités prioritaires d’information.
S’agissant du Site des Nations Unies, le Secrétaire général se félicite d’abord qu’au 5 février 2003, un record a été battu avec l’enregistrement de plus de 10 millions de connexions en 24 heures contre 11,5 millions pour toute l’année 1996. Pour l’année 2002, le nombre total des connexions s’est élevé à 1,7 milliard. Il indique ensuite que le Département de l’information a continué de rechercher la parité des langues officielles en recourant à des méthodes novatrices. Après avoir explicité ces méthodes, le Secrétaire général annonce le lancement, dans les mois à venir, d’une analyse complète du Site Web qui, conduite dans les différents départements du Secrétariat, devrait aboutir à la formulation de propositions tendant à modifier la conception, l’organisation et l’orientation principale du site; à définir les besoins en matériel et en matière de connectivité; à établir le calendrier de mise en œuvre et le montant des investissements supplémentaires.
Enfin, pour ce qui est du suivi des résultats, le Secrétaire général indique que le Département s’emploie à élaborer des méthodes d’évaluation systématique de l’impact et du rapport coût-efficacité de toutes ses activités. Le Département, ajoute-t-il, a par ailleurs établi un système d’évaluation annuelle de l’impact des programmes et a accepté d’être l’un des départements pilotes du Bureau des services de contrôle interne (BSCI) puisqu’il s’emploie à mettre à jour et à favoriser le suivi et l’auto-évaluation dans le cadre d’une gestion axée sur les résultats. Le Département, dit aussi le Secrétaire général, recherche des ressources pour promouvoir l’évaluation comme outil de gestion.
Rapport du Secrétaire général sur les aspects du budget-programme du Département de l’information pour l’exercice biennal 2004-2005 relatifs au programme (A/AC.198/2003/3)
Le présent rapport traite des aspects du projet de budget-programme du Département de l’information pour 2004-2005 qui touchent au programme. Il offre une vue d’ensemble, décrit la direction exécutive et la gestion, puis présente les quatre sous-programmes: services de communication stratégique, services d’information, services de bibliothèque et services de diffusion.
Rapport du Secrétaire général relatif au projet pilote sur l’exploitation de la capacité de radiodiffusion internationale des Nations Unies (A/AC.198/2003/4)
Dans ce rapport qui porte sur l’enquête effectuée sur le nombre estimatif d’auditeurs des programmes de la Radio des Nations Unies, le Secrétaire général présente les résultats de l’enquête; sa méthodologie; une ventilation des résultats par langue et région; une estimation de l’audimat réel; et les moyens d’augmenter cet audimat. Cette enquête, à laquelle ont participé 180 stations de radio partenaires, évalue à 133 millions le nombre des personnes qui écoutent la Radio des Nations Unies au moins une fois par semaine. Le Secrétaire général explique pourquoi si l’étude avait porté sur la totalité des stations partenaires, des diffuseurs sur ondes courtes, du réseau à satellites et des stations affiliées, l’audience aurait augmenté de plusieurs millions de personnes. Le Secrétaire général en conclu qu’au vu de sa portée universelle et de son coût-efficacité, la radio demeure, pour les Nations Unies, le moyen de communication le mieux adapté, particulièrement aux pays en développement.
Rapport du Secrétaire général sur la modernisation et la gestion intégrée des bibliothèques de l’Organisation des Nations Unies (A/AC.198/2003/5)
Le Comité directeur pour la modernisation et la gestion intégrée des bibliothèques de l’Organisation des Nations Unies a été créé en janvier 2003 afin d’améliorer les services de bibliothèque. Dirigé par le Département de l’information et doté d’une structure de gestion et de prise de décisions fondée sur la concertation, le Comité s’emploiera à favoriser l’interdépendance des bibliothèques et les initiatives visant à mettre en place à l’ONU un réseau de bibliothèques dynamiques pleinement fonctionnel et capable de créer des synergies.
Le Comité directeur s’efforcera également de tirer parti des ressources humaines, financières et techniques et des ressources en matière d’information des bibliothèques de l’ONU, et de combiner les fonctions de bibliothèques classiques avec les technologies de pointe. La gestion coordonnée devrait permettre de réaliser des économies et des gains d’efficacité, ainsi que d’optimiser les services, permettant à l’Organisation de toucher un plus large public.
L’une des priorités du Comité sera de promouvoir des projets, dont il assurera l’exécution rapide, qui permettent aux utilisateurs du monde entier d’avoir accès, par voie électronique, à un fonds mondial de ressources intellectuelles géré de façon parfaitement intégrée et coordonnée.
Rapport du Secrétaire général sur les activités du Groupe des Nations Unies pour les communications en 2002 (A/AC.198/2003/6)
Le Groupe des Nations Unies pour les communications, qui remplace le Comité commun de l’information, a été créé en janvier 2002 à l’initiative du Secrétaire général adjoint à la communication et à l’information, responsable du Département de l’information, dans le but de disposer d’un mécanisme souple et pragmatique dans les domaines de l’information et de la communication. Le Groupe, qui a tenu sa première session annuelle à Rome les 27 et 28 juin, a constitué plusieurs groupes thématiques chargés de coordonner la mise en œuvre des stratégies de communication du système des Nations Unies et d’organiser des réunions hebdomadaires au Siège de l’ONU. Le Groupe pour les communications, qui s’est transformé en une plate-forme commune d’information et de communication pour le système des Nations Unies, a recentré son attention sur la substance de ces activités, tout en renforçant l’harmonisation des programmes et des politiques.
Le rapport indique également qu’en évoluant vers une plate-forme d’information et de communication souple et pragmatique, le Groupe des Nations Unies pour les communications est parvenu à mettre l’accent sur la substance et à gagner en efficacité sur le plan de l’harmonisation des politiques et de la coopération entre les programmes dans les domaines intéressant l’ensemble du système. Cette formule a permis aux spécialistes de la communication du système de coordonner leurs messages, échanger des idées, mettre en commun leurs expériences et évaluer leurs performances. Elle a également contribué à atteindre un objectif très important, à savoir que le système des Nations Unies s’exprime «d’une seule voix».
Rapport du Bureau des services de contrôle interne (BSCI) sur l’examen de la structure et du fonctionnement des centres d’information des Nations Unies (A/57/747)
Aux termes d’une enquête qui concernait en 2002, 65 centres d’information dont 62 opérationnels, cinq services d’information et huit bureaux des Nations Unies, le BSCI fait 15 recommandations au Département de l’information.
Le BSCI recommande, entre autres, la réalisation d’une analyse approfondie du mandat des centres d’information et la révision de leurs objectifs et de leurs stratégies en vue de les mettre à jour, selon les besoins d’information de la région et l’évolution de la situation dans les différentes régions et dans le monde. Il recommande aussi au Département d’examiner les possibilités de réduire les activités respectives des centres d’information et d’autres organismes des Nations Unies qui feraient double emploi dans un pays ou une région. Selon lui, le Département doit, en outre, définir une politique et publier des directives à l’intention des chefs des centres concernant la facturation des services rendus à d’autres entités des Nations Unies et le partage des dépenses avec ces entités.
Le Département doit encore exiger de tous les centres d’information qu’ils établissent et présentent aux fins d’examen et d’approbation un plan annuel énonçant les activités qu’ils projettent réaliser au cours de l’année suivante, conformément à leurs mandats, buts et objectifs. Le BSCI recommande aussi la définition de critères de résultats afin d’évaluer les activités de chaque centre en tenant compte de leurs mandats, buts et objectifs, et d’élaborer un programme de visites de fonctionnaires de l’information dans les centres d’information.
Pour le BSCI, le Département doit faire une proposition à l’Assemblée générale afin que le maintien des centres d’information soit subordonné à la fourniture, par les Etats Membres concernés, de locaux gratuits ou à une participation de ceux-ci aux frais de location et d’entretien. Il doit aussi déterminer s’il est nécessaire que les chefs de centre occupent un poste de classe D-1. Le BSCI recommande que le Département détermine les besoins optimums de chaque centre en matière de personnel, en tenant compte de la situation politique, économique et sociale du pays hôte, du plan d’action du centre en question et de la coordination de ses activités avec celles d’autres entités des Nations Unies installées dans le pays ou dans la région. A ce propos, le BSCI recommande que le Département demande au Bureau de la gestion des ressources humaines la création d’une une classe supplémentaire pour le poste de fonctionnaire national de l’information.
Le rapport d’audit final ayant été présenté au Département le 14 octobre 2002, le BSCI rend compte, après chaque recommandation, des efforts entrepris par le Département pour leur mise en œuvre.
Composition et Bureau du Comité
Les 98 membres du Comité sont les Etats suivants: Afrique du Sud, Algérie, Allemagne, Angola, Arabie saoudite, Argentine, Arménie, Azerbaïdjan, Bangladesh, Bélarus, Belgique, Belize, Bénin, Brésil, Bulgarie, Burkina Faso, Burundi, Chili, Chypre, Colombie, Congo, Costa Rica, Côte d'Ivoire, Croatie, Cuba, Danemark, Equateur, Egypte, El Salvador, Espagne, Etats-Unis, Ethiopie, Fédération de Russie, Finlande, France, Gabon, Géorgie, Ghana, Grèce, Guatemala, Guinée, Guyana, Hongrie, Iles Salomon, Inde, Indonésie, Iran, Irlande, Israël, Italie, Jamahiriya arabe libyenne, Jamaïque, Japon, Jordanie, Kazakhstan, Kenya, Liban, Libéria, Malte, Maroc, Mexique, Monaco, Mongolie et Mozambique.
Sont également membres les pays suivants: Népal, Niger, Nigéria, Pakistan, Pays-Bas, Pérou, Philippines, Pologne, Portugal, République arabe syrienne, République de Corée, République démocratique du Congo, République de Moldova, République populaire démocratique de Corée, République tchèque, République-Unie de Tanzanie, Roumanie, Royaume-Uni, Sénégal, Singapour, Slovaquie, Somalie, Soudan, Sri Lanka, Togo, Trinité-et-Tobago, Tunisie, Turquie, Ukraine, Uruguay, Venezuela, Viet Nam, Yémen et Zimbabwe.
Ont demandé à devenir membres du Comité la Suisse, le Suriname et Saint-Vincent-et-les-Grenadines. Le Bureau du Comité –Président, trois Vice-Présidents et Rapporteur- sera élu à la première réunion de la session.
Le programme de travail du Comité est paru sous la cote A/AC.198/2003/1
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