En cours au Siège de l'ONU

CT/47

LA CONFERENCE DES NATIONS UNIES DE 1996 POUR LES ANNONCES DE CONTRIBUTIONS

4 novembre 1996


Communiqué de Presse
CT/47


LA CONFERENCE DES NATIONS UNIES DE 1996 POUR LES ANNONCES DE CONTRIBUTIONS

19961104 AUX ACTIVITES DE DEVELOPPEMENT S'EST OUVERTE CE MATIN La Conférence des Nations Unies de 1996 pour les annonces de contributions aux activités de développement s'est tenue ce matin et se poursuivra demain. La réunion de ce matin à laquelle le Secrétaire général et le Président de la Conférence ont fait une déclaration, a été consacrée aux activités de développement proprement dites. Celle-ci se poursuivra demain avec les annonces de contributions restantes. Elle a élu ce matin par accalmation son Président, M. Jean-Louis Woilzfeld (Luxembourg) et son Vice-Président, M. Julio Armando Herrera (Guatemala).

Dans son discours d'ouverture, M. Boutros Boutros-Ghali a fait observer que le fait de réunir la Conférence des Nations Unies pour les annonces de contributions aux activités de développement et la Conférence pour les annonces de contributions au Programme alimentaire mondial fournit aux Etats membres une excellente occasion de réaffirmer leur soutien non seulement aux différents Programmes et Fonds de l'Organisation mais également au processus de coopération multilatérale en faveur du développement en général. Le fossé entre les ressources disponibles et les demandes de capitaux ne cesse de se creuser, a-t-il noté. En 1995, les contributions volontaires aux Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), au Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF), au Fonds des Nations Unies pour les activités en matière de population (FNUAP) et au Programme alimentaire mondial (PAM) se sont élevées à 4,5 milliards de dollars soit 108 millions de moins qu'en 1994 et 268 millions de moins qu'en 1992.

Le Président de la Conférence, M. Jean-Louis Wolzfeld, a déclaré que l'aide au développement durable, loin de constituer un simple acte de générosité ou même de solidarité, est en plus le meilleur investissement possible que l'on puisse faire en faveur de la préservation à moyen et à long terme de la paix et de la sécurité internationales.

Plusieurs pays ont regretté que les contributions volontaires en faveur du développement continuent de baisser, alors que d'autres ont jugé qu'une Conférence pour les annonces de contribution ne devrait pas avoir lieu. Des donateurs tels que le Danemark, la Finlande, l'Indonésie, l'Italie et la Norvège ont indiqué qu'ils ne sont pas en mesure d'annoncer leurs contributions tandis que d'autres pays ont indiqué que leurs contributions annoncées ce matin devront être approuvées par leur Parlement ou devront dépendre de considérations budgétaires.

(à suivre - 1a)

- 1a - CT/47 4 novembre 1996

Des pays en développement ont indiqué qu'en dépit de leurs modestes contributions ils appuient les activités en faveur du développement. D'autres Etats ont appelé à une augmentation des contributions consacrées au développment afin que les institutions des Nations Unies puissent être à la hauteur des objectifs qui leur sont assignés. Certains pays donateurs ont soutenu le processus actuel de réforme et recommandé de faire davantage d'efforts afin de jeter les bases d'un système financier plus stable, où les fonds seraient versés d'une manière plus prévisible, continue et sur une base qui permettrait d'améliorer les activités de planification des programmes ainsi que l'utilisation même des ressources.

La Conférence poursuivra ses travaux cet après-midi à 15 heures dans le cadre des annonces de contributions au Programme alimentaire mondiale (PAM).

- 2 - CT/47 4 novembre 1996

Déclaration du Secrétaire général des Nations Unies

Le Secrétaire général des Nations Unies, M. BOUTROS BOUTROS-GHALI, a fait observer que le fait de réunir la Conférence des Nations Unies pour les annonces de contributions aux activités de développement et la Conférence pour les annonces de contributions au Programme alimentaire mondial fournit aux Etats membres une excellente occasion de réaffirmer leur soutien non seulement aux différents Programmes et Fonds de l'Organisation mais aussi au processus de coopération multilatérale en faveur du développement en général.

Le Secrétaire général a insisté sur le fait que la demande d'activités opérationnelles en matière de développement national reste très élevée. Un nouveau dynamisme leur a été insufflé par les engagements et le consensus enregistrés lors des récentes conférences mondiales, a-t-il fait observer. Ces activités sont engagées dans un processus extensif de réforme qui fait suite aux initiatives prises au sein du système dans le contexte du suivi de l'examen triennal de la politique de l'Assemblée générale et des réformes adaptées par l'Assemblée générale dans sa résolution 50/227.

M. Boutros-Ghali a attiré l'attention sur les tendances préoccupantes qui se font jour au niveau mondial et sur les signaux contradictoires dont la communauté internationale doit se préoccuper. Les niveaux globaux de ressources diminuent juste au moment où des engagements et un consensus renouvelés se manifestent au plus haut niveau lors des Conférences et des Sommets des Nations Unies et à l'Assemblée générale. Le fossé entre les ressources disponibles et les demandes de capitaux ne cesse de se creuser, a-t-il noté. Les ressources disponibles pour le développement diminuent alors que les Nations Unies cherchent à mener à bien un nombre croissant de tâches et de mandats. En 1995, les contributions volontaires aux Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), au Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF), au Fonds des Nations Unies pour les activités en matière de population (FNUAP) et au Programme alimentaire mondial (PAM) s'élevaient à 4,5 milliards de dollars soit 108 millions de moins qu'en 1994 et 268 millions de moins qu'en 1992.

Le Secrétaire général a également exprimé sa préoccupation face au déclin des ressources centrales au moment où s'instaure un consensus renouvelé en faveur d'une plus grande coordination et d'une réponse multidisciplinaire aux problèmes mondiaux.

En ce qui concerne les besoins spécifiques des fonds et programmes des Nations Unies, M. Boutros-Ghali a indiqué que le PNUD qui continue à être le plus important pourvoyeur de ressources dans le domaine du développement et le principal mécanisme de coordination de l'aide au développement, a engagé des réformes significatives au cours des dernières années. Il a tout d'abord placé l'élimination de la pauvreté au centre de ses travaux. Il a également modifié la façon dont les fonds sont attribués. Le Secrétaire général a fait valoir qu'avec l'aide des Etats membres le PNUD peut devenir une force encore plus puissante en faveur du développement.

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A propos de l'UNICEF, M. Boutros-Ghali a indiqué que le Fonds a concentré l'essentiel de ses efforts sur sa lutte contre les situations d'urgence silencieuses auxquelles les enfants sont confrontés dans le monde entier. Le défi que nous devons relever maintenant consiste à améliorer la capacité de l'UNICEF de soutenir les pays à améliorer leurs résultats dans le cadre des Programmes d'action nationaux, a-t-il déclaré.

En ce qui concerne le FNUAP, le Secrétaire général a indiqué que le Fonds a travaillé énergiquement avec de nombreux pays en développement pour incorporer le Programme d'action du Caire dans leurs plans individuels de développement. Au niveau national, un effort important a été fait pour permettre à ces pays de développer leurs services de santé génésique. Les données disponibles montrent que le financement national est en augmentation, a-t-il souligné. La communauté internationale doit prendre sa part. L'année dernière avait bien démarré avec une augmentation de son revenu de 17,8% par rapport à 1994. Cette progression ne s'est malheureusement pas maintenue en 1996.

En ce qui concerne le Programme alimentaire mondial, le Secrétaire général a indiqué que le Programme s'est fixé un objectif, en recul par rapport aux périodes précédentes, de 1,3 milliard de dollars pour la période 1997-98. 54% de cet objectif seulement a été atteint, ce qui a empêché le PAM de répondre aux nombreuses demandes d'aide alimentaire effectuées dans le cadre d'activités de développement, de réhabilitation et de prévention des catastrophes. M. Boutros-Ghali a exprimé sa préoccupation face au déclin des ressources des activités de développement du PAM alors qu'il continue à y avoir un fort soutien au activités du Programme destinées aux réfugiés, aux personnes déplacées et aux victimes des catastrophes naturelles ou provoquées par l'homme.

Les pays en développement sont tout à fait conscientes qu'elles portent la principale responsabilité de leur développement, a déclaré le Secrétaire général. Leurs efforts individuels et collectifs méritent un soutien extérieur et ne peuvent réussir sans celui-ci. La communauté internationale a toujours reconnu sa responsabilité à cet égard.

M. Boutros Boutros-Ghali a lancé un appel pour que les tendances actuelles à la stagnation et au déclin des contributions soient inversées. Il a déclaré qu'il continuerait à faire tout son possible pour soutenir la dynamique mondiale en faveur des activités de développement des Nations Unies. Il a demandé aux Etats membres pour qu'eux aussi fassent leur maximum dans leurs domaines de préoccupation, d'intérêt et de compétence. Vos contributions volontaires auront un effet immédiat et significatif sur la vie de millions de personnes dans le besoin dans le monde entier, a-t-il déclaré.

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Déclaration du Président de la Conférence

M. JEAN-LOUIS WOLZFELD (Luxembourg) a indiqué que, depuis le début de cette décennie, les demandes adressées aux Nations Unies en faveur des opérations de maintien de la paix se sont accrues de façon considérable. Les efforts importants que l'Organisation consacre à la gestion des crises internationales et aux opérations d'assistance humanitaire ne doivent cependant pas occulter le fait que ces opérations ne sauraient se substituer à l'action menée en faveur du développement durable, a-t-il souligné. Citant le Secrétaire général, il a affirmé que le développement et la démocratisation constituent les facteurs les plus efficaces de prévention des conflits. L'aide au développement durable, loin de constituer un simple acte de générosité ou même de solidarité, est en plus le meilleur investissement possible que l'on puisse faire en faveur de la préservation à moyen et à long terme de la paix et de la sécurité internationales. Il a ajouté que si l'on reconnaît que chaque pays porte la responsabilité première de son propre développement, il n'en demeure pas moins que la communauté internationale a un rôle crucial à jouer pour appuyer et encadrer ces efforts. Cette action doit s'exercer, à travers un partenariat entre pays en développement et pays développés, agissant en étroite collaboration avec les agences du système des Nations Unies et avec les institutions financières internationales.

M. Wolzfeld a noté la tendance à la baisse des contributions financières mises à la disposition de l'aide internationale au développement au cours des dernières années. Il a expliqué que l'Organisation et les agences spécialisées du système des Nations Unies se sont efforcées de faire accepter par la communauté internationale une base conceptuelle nouvelle, sur laquelle elle pourrait développer un cadre rénové pour la coopération en faveur du développement. La série de grandes Conférences mondiales qui se sont succédées depuis le début de la décennie ont abouti à des engagements spécifiques et ouvert la voie à la formulation d'un programme d'action global et d'un cadre pour la coopération internationale. Il a invité toutes les délégations à contribuer de façon substantielle au financement des activités de développement afin de mettre les organisations concernées en mesure d'apporter une réponse efficace aux besoins des Etats Membres et de l'économie internationale. Le Président a également invité les délégations qui, pour une raison ou une autre, ne seraient pas en mesure d'annoncer leurs contributions, à sensibiliser leurs gouvernements respectifs à la nécessité de faire correspondre, au moment qui conviendra, leurs contributions financières à l'attente qu'ils placent dans les activités du système des Nations Unies en faveur du développement. Il a attiré l'attention des délégations sur les statistiques figurant dans le document E/1996/64 add.2 et Corr.1 et 2, préparé par le Département de la coordination de la politique et du développement ainsi que le document A/CONF.178/2.

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Contributions annoncées

Pays-Bas

Programme des Nations Unies Pour le développement (PNUD) 165 000 000 florins Fonds de développement des Nations Unies pour la femme (UNIFEM) 6 400 000 " Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF/FISE) 50 000 000 " Fonds des Nations Unies pour les activités en matière de population (FNUAP) 77 000 000 " Fonds d'affectation spéciale des Nations Unies pour l'Institut international de recherche et de formation pour la promotion de la femme (INSTRAW) 600 000 " Fonds des Nations Unies pour l'habitat et les établissements humains (HABITAT) 1 000 000 " Fonds bénévole spécial pour les Volontaires des Nations Unies (UNV) 500 000 " Fonds d'équipement des Nations Unies (FENU) 15 000 000 " Programme des Nations Unies contre le SIDA 11 000 000 "

Liechtenstein

PNUD 10 000 francs suisses UNV 8 000 " UNICEF 5 000 " Fonds des contributions volontaires des Nations Unies pour les victimes de la torture 10 000 " Programme des Nations Unies contre le SIDA 10 000 "

Saint-Siège

PNUD 2 500 dollars U.S; Fonds des Nations Unies pour la lutte contre l'abus des drogues (FNULAD) 1 000 " Fonds de contributions des volontaires pour la Décennie des Nations Unies pour les personnes handicapées 2 000 " Organisation mondiale de la santé Etude multicentrique sur la croissance des nourrissons 1 000 "

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Allemagne

PNUD 123 000 000 deutsche mark UNV 3 500 000 " UNIFEM 1 600 000 " UNICEF 12 000 000 " Fonds des Nations Unies pour les activités en matière de population (FNUAP) 46 000 000 " FNULAD 1 800 000 " Fonds d'affectation spéciale des Nations Unies concernant le vieillissement 40 000 " Fonds des contributions volontaires des Nations Unies pour les victimes de la torture 200 000 " Programme conjoint PNUD/Banque mondiale d'assistance pour la gestion des ressources énergétiques 900 000 " Fonds de contributions volontaires pour la participation des pays en développement 300 000 " Programme des Nations Unies pour l'éducation et la promotion en Afrique australe 166 000 " Institut de recherche interrégional des Nations Unies pour le crime et la justice 5 000 "

Thaïlande

PNUD 865 112 dollars U.S. UNV 3 000 " UNIFEM 3 000 " UNICEF 112 500 " FNUAP 96 000 " INSTRAW 3 000 " FNULAD 10 000 " Institut des Nations pour la formation et la recherche (UNITAR) 2 000 " Fonds du Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) 10 000 " FENU 2 500 " Fonds des Nations Unies pour la prévention du crime et la justice pénale 3 000 "

Samoa

PNUD 6 000 dollars U.S. UNIFEM 1 000 " FNUAP 5 000 "

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Luxembourg

PNUD 15 000 000 francs luxembourgeois UNIFEM 10 000 000 " UNICEF 13 000 000 " FNUAP 10 000 000 " INSTRAW 600 000 " HABITAT 2 000 000 " FNULAD 2 000 000 " Fonds des contributions volontaires des Nations Unies pour les victimes de la torture 400 000 " PNUE 1 000 000 "

Belgique

PNUD 660 000 000 francs belges UNV 40 000 000 " UNIFEM 15 000 000 " UNICEF 100 000 000 " FNUAP 100 000 000 " Fondation des Nations Unies pour l'habitat et les établissements humains 10 000 000 " FNULAD 10 000 000 "

Myanmar

PNUD 1 080 000 kyat FNUAP 60 000 " FENU 5 000 dollars U.S.

Maldives

PNUD 5 000 dollars U.S. UNIFEM 1 500 " UNICEF 5 000 " FNUAP 2 000 " INSTRAW 500 " PNUE 1 500 " FENU 1 800 "

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Inde

PNUD 4 450 000 dollars U.S. Fonds pour les mesures spéciales en faveur des pays les moins avancés (PMA) 1 920 000 " UNV 15 000 " UNIFEM 509 000roupies indiennes UNICEF 31 000 000 " FNUAP 9 000 000 " HABITAT 100 000 dollars U.S. FNULAD 60 000 " PNUE 100 000 " Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA) 225 000 roupies indiennes Programme des Nations Unies pour la prévention du crime et de la justice pénale 3 000 dollars U.S. Programme des Nations Unies pour le développement et la formation en Afrique 2 000 "

République de Corée

PNUD 3 037 227 dollars U.S. FENU 30 000 " UNV 225 000 " UNIFEM 25 000 " Fonds des Nations Unies pour la science et la technique au service du développement 7 000 " UNICEF 1 800 000 " FNUAP 525 000 " INSTRAW 20 000 " HABITAT 30 000 " FNULAD 153 846 " Fonds des contributions volontaires des Nations Unies pour les victimes de la torture 20 000 " PNUE 150 000 " Fonds des Nations Unies pour la prévention du crime et la justice pénale 15 000 "

Autriche

PNUD 141 000 000 schillings FENU 600 000 " UNV 780 000 " UNIFEM 70 000dollars U.S. UNICEF 21 000 000 schillings

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FNUAP 6 800 000 schillings INSTRAW 10 000 dollars U.S. Fondation des Nations Unies pour l'habitat et les établissements humains 980 000 schillings FNULAD 5 000 000 " UNITAR 440 000 " Fonds des contributions volontaires des Nations Unies pour les victimes de la torture 20 000 dollars U.S. PNUE 6 000 000 schillings FENU 600 000 "

Mongolie

PNUD 17 000 dollars U.S. UNICEF 10 000 " FNUAP 4 000 "

Viet Nam

PNUD 28 884 dollars U.S. UNICEF 12 794 " FNUAP 3 436 "

Chypre

UNV 1 000 livres chypriotes UNIFEM 500 " UNICEF 500 " FNUAP 500 " INSTRAW 1 000 dollars U.S. UNITAR 750livres chypriotes Fonds d'affectation spéciale des Nations Unies concernant le vieillissement 500 " Fonds des contributions volontaires des Nations Unies pour les victimes de la torture 500 "

Algérie

PNUD 100 000 dollars U.S. FNUAP 300 000 dinars algériens Fonds des contributions volontaires des Nations Unies pour les victimes de la torture 5 000 dollars U.S. Fonds central autorenouvelable de secours d'urgence au titre de l'aide humanitaire 10 000 "

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Mexique

UNIFEM 10 000dollars U.S. INSTRAW 10 000 "

Chine

PNUD 2 930 000 dollars U.S. et 2 500 000yuan renmembi FENU 30 000 dollars U.S. Fonds autorenouvelable des Nations Unies pour l'exploration des ressources naturelles 20 000 " UNV 30 000 " UNICEF 1 100 000 " UNITAR 10 000 " Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) 10 000 " Organisation des Nations Unies pour le développement industriel (ONUDI) 200 000 dollars U.S. et 350 000yuan renmembi

Pérou

PNUD 350 000 dollars U.S. UNICEF 30 000 " FNUAP 10 000 " FNULAD 10 000 "

Bulgarie

PNUD 1 214 000 leva Bureau du PNUD à Sofia 50 000 dollars U.S. Activités locales du PNUD 50 000 leva Autres contributions au PNUD 90 000 leva UNICEF 130 000 " FNUAP 75 000 " FNULAD 9 000dollars U.S.

Singapour

PNUD 255 000 dollars U.S. UNIFEM 20 000 " UNICEF 200 000 " FNULAD 5 000 " PNUE 15 000 "

- 11 - CT/47 4 novembre 1996

République centrafricaine

PNUD 5 000 dollars U.S.

Bénin

PNUD 4 500 dollars U.S. PMA 1 000 " UNICEF 3 500 " FNUAP 2 500 " Compte spécial pour financer le Plan d'action pour lutter contre la désertification 1 000 " PNUE 1 000 " UNRWA 1 500 "

Turquie

PNUD 770 000 dollars U.S. UNV 50 000 " UNIFEM 10 000 " UNICEF 120 000 " FNUAP 90 000 " INSTRAW 20 000 " PNUE 15 795 " Programme d'études du PNUD 30 000 " Fonds des Nations Unies pour la prévention du crime et la justice pénale 25 000 " FENU 150 000 "

Arabie saoudite

PNUD 3 500 000 dollars U.S. UNICEF 1 000 000 " FNUAP 30 000 " Programme des Nations Unies pour le contrôle international des drogues 50 000 "

Portugal

PNUD 1 400 000 dollars U.S. UNIFEM 20 000 " Fonds d'affectation spéciale des Nations Unies pour les activités dans la région soudano-sahélienne (BNUSS) 25 000 " UNICEF 100 000 "

- 12 - CT/47 4 novembre 1996

FNUAP 40 000 " FNUAP au titre de 1995/1996 50 000 " Fondation des Nations Unies pour l'habitat et les établissements humains 20 000 " FNULAD 11 000 " PNUE 40 000 "

Suisse

PNUD 56 000 000 francs suisses FENU 2 500 000 " UNV 500 000 " UNIFEM 500 000 " UNICEF 17 000 000 " FNUAP 9 000 000 " FNULAD 900 000 "

Tunisie

PNUD 150 000 dinars tunisiens UNIFEM 5 000 " Fondation des Nations Unies pour l'habitat et les établissements humains 976 " FNULAD 1 000 " Fonds d'affectation spéciale des Nations Unies pour la défense sociale 1 500 " UNITAR 1 960 " Fonds des contributions volontaires des Nations Unies pour les victimes de la torture 1 500 " Frais de fonctionnement du bureau des Nations Unies 150 000 " Frais d'équipement du bureau de Tunis 2 732 " Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) 5 000 " UNRWA 12 000 " Fonds des Nations Unies pour les populations autochtones 1 000 "

Gambie

PNUD 500 000 dollars U.S.

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Mauritanie

PNUD 14 000 dollars U.S. UNICEF 500 000ouguiya FNUAP 500 000 "

Maroc

PNUD 1 700 000 dirhams Fonds d'affectation spéciale des Nations Unies pour la Décennie des transports et des communications en Afrique 5 000 dollars U.S. UNIFEM 5 000 " UNICEF 75 000 " FNUAP 8 000 " INSTRAW 2 000 " HABITAT 5 000 " FNULAD 3 000 " PNUE 10 000 " PAM 2 000 " UNRWA 228 000 dirhams Fonds des Nations Unies pour la prévention du crime et la justice pénale 2 000 dollars U.S.

Chili

PNUD 650 000 dollars U.S. Bureau du PNUD du Représentant-résident 250 000 " UNICEF 70 000 " Bureau à Santiago 6 000 " FNUAP 5 000 " Fondation des Nations Unies pour l'habitat et les établissements humains 5 000 " UNITAR 5 000 " Fonds des contributions volontaires des Nations Unies pour les victimes de la torture 10 000 "

Ethiopie

PNUD 140 927 dollars U.S. et 60 000birr UNICEF 45 000dollars U.S. FNUAP 30 000 "

- 14 - CT/47 4 novembre 1996

Koweït

PNUD 570 000 dollars U.S. UNICEF 200 000 " PNUCID 5 000 "

Monaco

PNUD 25 000 dollars U.S. Fonds autorenouvelable des Nations Unies pour l'exploration des ressources naturelles 100 000 " UNICEF 90 000francs français Fonds d'affectation spéciale des Nations Unies pour le développement de l'Afrique 25 000 " Fonds de contributions volontaires pour la Décennie des Nations Unies pour les personnes handicapées 60 000 " Programme des Nations Unies pour la lutte contre le SIDA 30 000 "

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