Activités du Secrétaire général en Finlande, du 15 au 18 juillet

ACTIVITÉS DU SECRÉTAIRE GÉNÉRAL EN FINLANDE, DU 15 AU 18 JUILLET 2011

Le Secrétaire général est arrivé en Finlande, vendredi 15 juillet, pour participer à une table ronde sur le développement durable aux côtés de la Présidente de la Finlande, Mme Tarja Halonen.

À son arrivée à Puri, le Secrétaire général s’est rendu sur le site de la table ronde où il s’est brièvement entretenu avec la presse.

Il a dit aux médias qu’il était profondément préoccupé par la sécheresse dans la corne de l’Afrique qui touche quelque 11 millions de personnes.  Il a appelé à un appui à tous les pays concernés et rappelé que les Nations Unies ont lancé un appel visant à collecter la somme de 1,6 milliard de dollars mais qu’elles n’ont reçu que la moitié des fonds. 

Immédiatement après, le Secrétaire général et la Présidente de la Finlande ont participé à la table ronde sur le développement durable.  Le Secrétaire général a prévenu que les écosystèmes sont sous pression et que le changement climatique menace de plus en plus les peuples et les économies dans le monde.  « Notre vieux modèle de croissance n’est pas seulement obsolète mais il est également dangereux », a averti le Secrétaire général qui a appelé les gouvernements et les peuples à une action renforcée en faveur du développement durable.

M. Ban Ki-moon et son épouse, Mme Ban Soon-taek, ont ensuite passé le week-end à Kultaranta avec la Présidente de la Finlande et son époux.

Lundi, avant son départ pour Genève, le Secrétaire général a aussi rencontré l’ancien Président de la Finlande, M. Martti Ahtisaari, qui lui parlé de ses occupations actuelles.

Parlant à un journaliste, le Secrétaire général s’est félicité d’une visite réussie.  Il a ajouté que pendant ses entretiens avec la Présidente, il avait discuté du développement durable et des questions politiques telles que la Libye, le Yémen, la Syrie et le processus de paix israélo-palestinien.  Sur la Libye, le Secrétaire général a une nouvelle fois souligné la nécessité d’un cessez-le-feu immédiat et vérifiable.  

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