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PMA/111

LE COMITE PREPARATOIRE DE LA TROISIEME CONFERENCE SUR LES PMA TIENDRA JUSQU'AU 6 AVRIL SES DERNIERES NEGOCIATIONS SUR LE PROGRAMME D'ACTION QUI SERA PRESENTE A BRUXELLES

02/04/2001
Communiqué de presse
PMA/111


Comité préparatoire intergouvernemental de

La Troisième Conférence des Nations Unies

Sur les pays les moins avancés

1e séance - matin


LE COMITE PREPARATOIRE DE LA TROISIEME CONFERENCE SUR LES PMA TIENDRA JUSQU'AU 6 AVRIL SES DERNIERES NEGOCIATIONS SUR LE PROGRAMME D'ACTION QUI SERA PRESENTE A BRUXELLES


Le Comité préparatoire intergouvernemental de la Troisième Conférence des Nations Unies sur les pays les moins avancés (PMA) a entamé, ce matin, les travaux de sa troisième session qui devrait s'achever le 6 avril.  Le Comité préparatoire a décidé de consacrer l'ensemble de cette dernière session aux négociations sur le projet de programme d'action en faveur des PMA devant être soumis à la troisième Conférence (PMA III) qui doit se tenir à Bruxelles du 14 au 20 mai 2001.  Dans son état actuel, le projet de programme d'action* compte trois chapitres consacrés aux objectifs, au cadre de coopération et à la mise en œuvre et au suivi.  Le cadre de coopération, chapitre de fond, est subdivisé en sept engagements concernant le renforcement d'un cadre de politiques centré sur l'être humain, la promotion de la bonne gouvernance, le renforcement des capacités humaines et institutionnelles, le renforcement d'une capacité productive conforme aux exigences de la mondialisation, le renforcement du rôle du commerce dans le développement, la réduction de la vulnérabilité et la protection de l'environnement, et la mobilisation des ressources financières.


Ce matin, les présidents des deux groupes de négociations, les représentants de la Norvège, Mme Iga Magistad et de la République démocratique populaire lao,  M. Olounkéo Kittikhoun ont fait état des progrès réalisés durant les travaux intersessions qui se sont tenus du 26 au 30 mars.  Avant cela, le Comité préparatoire a entendu les comptes rendus des différentes tables rondes qui ont été organisées en prévision de la troisième Conférence.  Ainsi ont été présentés les rapports des tables rondes sur le rôle du secteur privé dans le développement des infrastructures; le commerce et la pauvreté; parité homme-femme dans le développement; les PMA sans littoral; les innovations, les connaissances et la propriété intellectuelle; et l'énergie.  Le Comité préparatoire a également entendu une déclaration du Bangladesh, et de l'ONG "Pacific Concern Research Center".


C'est en 1971 que la communauté internationale a reconnu, pour la première fois, l'existence d'une catégorie de "pays les moins avancés" qui à l'époque était au nombre de 25 contre 49 aujourd'hui.  Les critères de classification dans cette catégorie sont un bas revenu national, un faible niveau de développement du capital humain et la vulnérabilité économique.  Les pays concernés doivent également avoir un plafond de population de 75 millions d'habitants. Malgré les deux précédents Programmes d'action décennaux adoptés aux Conférences de Paris de 1981 et de 1990, la CNUCED indique que si le taux de croissance moyen du Produit


intérieur brut (PIB) par habitant enregistré par les PMA pendant la période 1990-1998 ne change pas, un seul des PMA dont le PIB est inférieur à 900 dollars -contre 24 522 dollars dans les pays développés en 1997- atteindra le seuil des 900 dollars avant la fin de 2015 et 8 seulement se hisseront à ce niveau au cours des 50 prochaines années.


Face à cette situation, l'Assemblée générale a décidé, par sa résolution 187 (1997) de confier pour mandat à la Troisième Conférence sur les PMA d'évaluer les résultats du Programme d'action pour les années 90; d'examiner la mise en œuvre de mesures internationales d'appui notamment dans les domaines de l'aide publique au développement (APD), de la dette, des investissements et des échanges; et d'examiner la possibilité d'adopter, aux niveaux national et international, des programmes appropriés en vue du développement durable des PMA et leur intégration progressive à l'économie mondiale.  Cet exercice conduisant à l'élaboration du programme d'action, c'est la tâche à laquelle s'est attelé le Comité préparatoire aux cours de ses deux premières sessions qui se sont tenues du 24 au 28 juillet 2000 et du 5 au 9 février 2001. 


La prochaine réunion du Comité sera annoncée dans le Journal.


Présentations liminaires


M. HANNS HEINRICH SCHUMACHER (Allemagne) a déclaré en présentant son rapport sur la réunion intitulée, Promouvoir la participation du secteur privé au développement des infrastructures au développement des infrastructures dans les PMA", qui s'est tenu les 12 et 13 mars 2001 à Bonn (Allemagne) que ce dialogue international  a été organisé autour de thèmes choisis par le processus préparatoire de la Troisième Conférence des Nations Unies sur les PMA.  Ce dialogue est arrivé à la conclusion qu'il faut prévoir des échanges entre PMA, secteur privé, institutions internationales et secteur universitaire au cours de la Conférence.  Ces échanges devraient aboutir à une série de recommandations concernant les infrastructures, l'éducation et les secteurs productifs des PMA.  La réunion de Bonn a conclu que des infrastructures physiques opérationnelles sont indispensables à l'essor des PMA, mais il est nécessaire de les maintenir et  les améliorer, ce qui ne peut se faire qu'à travers  le développement et le renforcement des ressources humaines.  Sans la réalisation de ces objectifs, dans la quelle le secteur privé à un rôle crucial à jouer, l'amélioration durable de la qualité de vie dans les PMA ne sera pas possible.  Nous espérons que le rapport de la réunion de Bonn sera une contribution importante à Conférence de Bruxelles.


M. JEFF CHINNOCK (Royaume-Uni), a présenté le rapport de la table ronde ministérielle sur le commerce et la pauvreté dans les PMA.  Cette table ronde s'est tenue à Londres du 19 au 20 mars 2001, accueilli des ministres de la coopération au développement des pays membres de l'Union européenne, des représentants de haut niveau de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), de la Commission européenne, le Directeur de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), de la Banque mondiale et du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).  Les participants à la table ronde, a expliqué le représentant, ont convenu de la nécessité de se concentrer sur les questions commerciales comme moyen essentiel de réduire la pauvreté.  L'importance de l'OMC a été soulignée, dans ce cadre, en particulier son rôle de gestionnaire du commerce international qui doit tenir compte d'éléments essentiels comme la démocratie, la bonne gouvernance et les réformes institutionnelles.  A ce propos, a ajouté le représentant, le Directeur général de l'OMC a indiqué que c'est la marginalisation et pas la mondialisation qui est la principale menace.  Pour écarter ces risques de marginalisation, les participants ont convenu de la nécessité d'éliminer les barrières commerciales, en particulier dans les domaines de l'agriculture et des services, d'ouvrir plus largement les marchés du Nord aux produits du Sud et d'assurer une adhésion plus rapide des PMA à l'OMC. 


Si la croissance est un élément essentiel, les participants ont néanmoins souligné qu'il convient d'abord et avant tout d'adopter une approche globale pour veiller à ce que les pays en développement profitent réellement de cette croissance.  Dans ce cadre, l'intégration régionale a été vue comme importante tout comme son corollaire le développement des infrastructures.  Les participants ont également convenu de la nécessité qu'il y a à ne pas pénaliser les pays en développement par des normes environnementales.  A cet égard, ils ont convenu que ces normes devraient être élaborées par des organes comme le Bureau international du travail plutôt que par l'OMC.  Reconnaissant que les problèmes principaux des PMA sont la faible productivité, la mauvaise intégration des structures


économiques et le faible développement des marchés, les participants ont souhaité que la troisième Conférence recherche les mesures qui pourraient véritablement aider les PMA et créée des modules pour de nouvelles négociations sur les problèmes spécifiques des PMA.


M. DUMISANI KUMALO (Afrique du Sud) a pris la parole pour faire un rapport sur la réunion préparatoire qui a eu lieu du 21 au 23 mars au Cap en Afrique du sud sur le renforcement de la parité entre les sexes.  Nous avons coorganisé la réunion avec la CNUCED, le Danemark et la Suède, a déclaré le représentant. Mme Angela King, Secrétaire générale adjointe et Conseiller spécial à la parité, et de nombreux ministres étaient présents.  Le lien a été clairement établi au cours de la réunion entre pauvreté et statut des femmes dans les PMA. Les femmes sont la moitié des habitants de ces pays, et la question de la parité, qui fait partie des soucis de la communauté internationale doit être pleinement intégrée à la lutte contre la pauvreté.  Nous croyons que le rôle traditionnel joué par les femmes dans les pays en développement peut devenir crucial dans la mise au point de politiques de lutte contre la pauvreté. La parité ne doit cependant pas être limitée à quelques secteurs productifs, mais doit devenir partie de toute politique.  Si le statut des femmes s'est légèrement amélioré dans certains PMA, il est flagrant cependant de noter que les différences hommes-femmes sont encore criantes dans la plupart des pays.  Des mesures juridiques ont été recommandées par la réunion pour pallier à cette question.  En réfléchissant aux effets de la mondialisation du commerce, la réunion a conclu que les femmes étaient beaucoup plus affectées par ses effets négatifs.  Elles sont en effet majoritairement employées dans le secteur agricole, ce qui les rend particulièrement vulnérables aux politiques qui prévalent dans ce domaine.  La question de femmes a toujours figuré à l'ordre du jour des grandes conférences, mais peu de mesures concrètes ont été prises en leur faveur. La déclaration adoptée au Cap par les Ministres a recommandé une série de mesures qui devraient être débattues à Bruxelles et publiées par le Secrétaire général au plus tard 6 mois après la Conférence. Nous invitons donc le Comité préparatoire à tenir compte des recommandations du Cap.


M. AYNUL HASSAN, Commission économique pour l'Asie et le Pacifique (CESAP), a présenté le rapport de la cinquième session de l'Organe spécial de la CESAP sur les PMA sans littoral.  Rappelant que l'Organe a tenu sa session les 20 et 21 février 2001, il a annoncé qu'un grand nombre de recommandations appuyées par l'Organe figurent déjà dans le projet de Programme d'action actuellement en négociation.  L'Organe a également souligné le rôle important des commissions régionales dans la mise en œuvre de ces recommandations.


M. KIFLE SHENKORU, Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), a présenté le rapport de la table ronde de haut niveau sur l'innovation, les connaissances et la propriété intellectuelle qui s'est tenue à Lisbonne les 1er et 2 février 2001.  Il a indiqué que les ministres, les chefs d'Etat et les hauts fonctionnaires présents ont énuméré les contraintes très graves qui pèsent sur les PMA en la matière.  Ainsi, dans la Déclaration de Lisbonne, les participants ont souligné qu'une nouvelle vision est nécessaire et qu’il faut englober les modalités de transfert de connaissances vers les PMA qui doivent participer aux innovations.  Ils ont également reconnu que la propriété intellectuelle doit devenir un élément favorable au développement.  Les PMA ont besoin d'un programme spécial.  L'OMPI a donc jugé utile de bâtir un capital de connaissances dans les PMA, de former ces pays grâce à des centres d'excellence gérés par l'OMPI de créer des sociétés de gestion des droits intellectuels de prévoir une assistance appropriée concernant le commerce, les ressources génétiques, et le folklore, ainsi que d’assurer le transfert des technologies.


M. PERCY METSING MANGOAELA (Lesotho) a déclaré qu'un séminaire sur le Fonds commun pour les produits de base avait été organisé à Genève au mois de mars dernier dans le cadre de la préparation de la Conférence de Bruxelles.  Les participants au séminaire se sont notamment penchés sur le développement des marchés des produits de base, le financement structuré et le financement du développement de ces produits à travers l'Investissement étranger direct (IED). Un rapport formel sera présenté au Comité sur les discussions tenues.


M.Mangoaela a parlé de la réunion consacrée au tourisme dans les PMA qui a eu lieu aux Canaries.  L'Organisation mondiale du commerce (OMC), a dit le représentant, a joué un rôle crucial au cours de cette rencontre à laquelle prenaient part une trentaine de PMA au niveau ministériel et cinq autres pays non PMA.  Nous sommes arrivés à la conclusion que le tourisme est l'un des rares secteurs dans lequel les PMA ont connu une augmentation mesurable de leur part de marché au niveau mondial. Les 4 PMA dont le niveau de vie a augmenté de manière substantielle ces dernières années l'ont fait grâce au tourisme, a-t-il été constaté.  La réunion a discuté, en dehors des autres indispensables facteurs financiers et infrastructurels, de la nécessité de la paix et de la sécurité pour la croissance du tourisme.  Le développement du secteur touristique permet aussi de réduire la vulnérabilité des PMA, étant donné que la croissance dans ce domaine est beaucoup plus stable que dans d'autres secteurs.  La réunion a demandé à la communauté internationale d'inscrire le développement du tourisme de manière plus substantielle dans les politiques internationales de développement.  La réunion a également recommandé que la question du tourisme soit mise en exergue dans l'ordre du jour de Bruxelles.


M. MARIAN WRBA (Autriche) a présenté les travaux de la table ronde qui s'est tenue dans son pays sur l'énergie et qui a porté sur les questions de l'accès à l'énergie, de son utilisation rationnelle et de son financement.  Au titre de l'accès à l'énergie, il a été demandé à l'Organisation des Nations Unies pour le développement industriel (ONUDI) de rechercher des partenaires et des donateurs.  L'ONUDI et le PNUD devraient élargir le modèle de plate-forme pour le développement rural.  La question de l'utilisation rationnelle de l'énergie a conduit les participants à confier à l'ONUDI la tâche d'identifier des centres d'énergie pour constituer un réseau régional.  S'agissant du financement, des demandes d’études de faisabilité de grands projets ont été présentées.  Le représentant a aussi expliqué que les PMA, en collaboration avec l'ONUDI, l'OPEP et l'Autriche, devraient tenir une réunion d'experts sur la question des fluctuations des prix des combustibles.  La promotion de partenariats étant importante en matière d'énergie, il a également été question que le PNUD mette en place des partenariats.  Pour sa part, a dit le représentant, l'Autriche entend rédiger un guide des bonnes pratiques en la matière.  Insistant sur la question du financement, le représentant a indiqué que si la réunion a insisté sur le rôle de l'aide publique au développement (APD), elle a néanmoins reconnu la même importance à l'investissement étranger direct (IED), aux ressources locales et aux fonds privés.


M. ANWARUL KARIM CHOWDHURY(Bangladesh) a déclaré, au nom du Groupe des pays les moins avancés (PMA), que ce dernier se félicitait de l'esprit de concertation qui avait régné au cours des négociations intersessionnelles.  Les PMA tiennent en particulier à remercier le Groupe des 77 et de la Chine et les pays de l'Union européenne.  La présence de représentants venus des capitales à la présente session du Comité préparatoire permettra aux PMA de mieux s'approprier le processus menant à Bruxelles.  Nous aimerions connaître les programmes qui seront proposés par les institutions et programmes de l'ONU ainsi que par les autres agences internationales dans le cadre du futur plan d'action de Bruxelles.  Les PMA seraient déçus si les propositions de Bruxelles n'étaient qu'une répétition des politiques que l'on a connues dans le passé.  Nos pays, a dit M. Chowdhury, aimeraient que le Secrétariat leur apporte un soutien mobilisant les capacités de toutes les institutions du système.  Nous sommes pour le renforcement des programmes nationaux d'action de développement dans les PMA.  Nous pensons que les fora nationaux que l'on se propose d'organiser doivent réellement être pris en compte dans le processus de Bruxelles, et demandons un renforcement des bureaux des coordonnateurs résidents au niveau des pays.  Le suivi intergouvernemental devrait permettre une meilleure coordination à l'intérieur du système de l'ONU. Le processus à venir devrait améliorer la situation actuelle en vue de permettre de meilleures synergies entre les actions nationales, régionales et mondiales.  Les PMA souhaitent que les travaux de cette session préparatoire se déroulent sur le modèle qui s'est imposé durant la période intersessions et qui a permis des consultations harmonieuses.


La représentante de Pacific Concern Research Center, a plaidé pour une participation active de la société civile au processus préparatoire de la troisième Conférence sur les PMA et à la Conférence elle-même.  Elle s'est donc engagée à travailler en partenariat avec l'ensemble de la communauté internationale pour que des résultats concrets puissent être obtenus.  La troisième Conférence, a-t-elle dit, doit donner une réponse adéquate à la détermination des PMA à progresser dans le développement et à s'intégrer dans la mondialisation.  La représentante a donc défendu, au nombre des mesures à prendre, l'annulation pure et simple de la dette des pays les plus pauvres.  Elle a aussi évoqué les questions de l'accès aux marchés, de la protection de l'environnement en lançant un appel aux Etats-Unis pour qu'ils reviennent sur leur position concernant les changements climatiques ainsi que celles de la bonne gouvernance, de l'aide publique au développement, du VIH/sida, et de l'élimination des conflits.


Mme IGA MAGISTAD (Norvège, Vice-Présidente chargée de conduire les négociations sur les engagements 4, 5, 6 et 7) a dit que le premier Groupe de travail avait avancé dans son dialogue et ses négociations sur le projet de programme d'action. Très peu de crochets figurent encore dans certains des textes de propositions, a-t-elle dit, en ajoutant que le Groupe espérait arriver à des consensus avant la fin de la semaine.


Intervenant à sa suite, M. AlOUENKEO KITTIKHOUN (République démocratique populaire lao, Vice-Président chargé de conduire les négociations sur les engagements 1, 2 et 3) a fait une brève présentation des travaux du deuxième Groupe de travail.  Il a déclaré que ce Groupe avait terminé sa première lecture du Programme d'action sur les engagements 1, 2, et 3.  Le Comité préparatoire, a estimé M. Kittikhoun, a pour mandat de poursuivre les négociations sur le même ton que celui qui a prévalu pendant les consultations intersessions. Certains sujets et décisions seront cependant du ressort des Ministres à Bruxelles, a estimé le représentant, qui s'est félicité de l'atmosphère qui avait régné durant les travaux du deuxième Groupe de travail.


Informations de base


La Conférence PAM III sera accueillie par l’Union européenne.  La Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) est le principal organe chargé de sa préparation.


Le Bureau du Comité est composé de M. Jacques Scavée (Belgique), à la Présidence et aux Vice-Présidences, de MM. Aho Glélé Edouard (Bénin), Borj Skomo (Norvège), Pierre Lelong (Haïti), Sandor Mozes (Hongrie), Sorin Dumitru Ducaru (Roumanie), Yuji Kumamura (Japon), Alounkéo Kittihoum (République démocratique populaire lao), Subhas Chandra Mungra (Suriname) et Richard T.Dogani (Tanzanie).  Ce dernier occupe aussi le poste de Rapporteur. 


Les 49 pays PMA sont les suivants : Afghanistan, Angola, Bangladesh, Bénin, Bhoutan, Burkina Faso, Burundi, Cambodge, Cap-Vert, Comores, Djibouti, Erythrée, Ethiopie, Gambie, Guinée, Guinée-Bissau, Guinée équatoriale, Haïti, Iles Salomon, Kiribati, Lesotho, Libéria, Madagascar, Malawi, Maldives, Mali, Mauritanie, Mozambique, Myanmar, Népal, Niger, Ouganda, République centrafricaine, République démocratique du Congo, République démocratique populaire lao, République uni de Tanzanie, Rwanda, Samoa, Sao-Tomé-et-Principe, Sierra Leone, Sénégal, Somalie, Soudan, Tchad, Togo, Tuvalu, Vanuatu, Yémen et Zambie.


Le programme de travail figure au document A/CONF.191/IPC/CRP.6/Rev.1 daté du 31 mars 2001


Pour les informations de base plus complètes, voir également notre communiqué de presse PMA/100


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