Si des mesures fortes et coordonnées ne sont pas rapidement prises, la situation au Sahel risque de se détériorer davantage; le fléau du terrorisme se répandra « encore plus vite et encore plus loin », forçant le Conseil de sécurité à débattre dans quelques mois d’une réaction face à une crise sécuritaire et humanitaire autrement plus dramatique.