CONFÉRENCE DE PRESSE DE MME ANGELA KANE, SECRÉTAIRE GÉNÉRALE ADJOINTE À LA GESTION, SUR LA RÉFORME DE LA GESTION DE L’ONU

CONFÉRENCE DE PRESSE DE MME ANGELA KANE, SECRÉTAIRE GÉNÉRALE ADJOINTE À LA GESTION,

SUR LA RÉFORME DE LA GESTION DE L’ONU

Mme Angela Kane, Secrétaire générale adjointe à la gestion, a exprimé aujourd’hui l’espoir que l’Assemblée générale des Nations Unies approuverait, à sa présente session, la réforme de la gestion des ressources humaines de l’Organisation, prévoyant notamment une uniformisation des contrats du personnel.

« Nous espérons que l’impulsion finale viendra cette année pour qu’elle soit acceptée », a déclaré Mme Kane lors d’une conférence de presse au Siège des Nations Unies, rappelant que cette réforme était à l’étude à l’Assemblée générale pour la troisième année consécutive.  Mme Sandra Haji-Ahmed, Directrice par intérim de la Division de la planification stratégique, du recrutement et des affectations du Bureau de la gestion des ressources humaines, et M. Jun Yamazaki, Contrôleur, participaient également à cette conférence de presse. 

La Secrétaire générale adjointe à la gestion a expliqué que le but de cette réforme était d’harmoniser les contrats.  Il existe aujourd’hui 15 types de contrats pour le personnel des Nations Unies, « et nous voulons avoir seulement trois types de contrats, au lieu de 15 », a-t-elle déclaré.  « Ce n’est pas seulement une question d’équité pour le personnel, mais également de simplification de l’administration de ces contrats », a-t-elle souligné.

De même pour les règlements internes, actuellement au nombre de trois, et que la réforme propose de réduire à un, et pour les conditions de service qui varient en fonction du poste d’affectation du personnel.  « Nous proposons également que toutes les conditions de service soient harmonisées », a dit Mme Kane.  « Nous voulons que ce soit pour tout le monde pareil.  Si nous sommes une ONU, nous devrions tous être traités de la même façon », a-t-elle ajouté.

Par ailleurs, Mme Kane a réaffirmé que « des mesures seraient prises » si les responsables des Nations Unies ne dévoilaient pas leur patrimoine, comme ils ont été invités à le faire par le Secrétaire général.

« Actuellement, 3 100 personnes participent au programme, contre 2 500 l’année dernière », s’est-elle félicitée, ajoutant que le nombre de personnes qui n’ont pas satisfait aux déclarations financières « a en fait baissé par rapport à l’année dernière, et ce, malgré l’augmentation du nombre des participants au programme.  Elle a indiqué que le nombre de personnes qui n’avaient pas satisfait à ces déclarations « était encore en cours d’examen » et qu’il serait communiqué « d’ici à la fin de l’année ».

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