République démocratique du Congo


dbf231030

Le Programme alimentaire mondial (PAM) indique que depuis la moitié du mois d’août, la violence à Port-au-Prince a forcé environ 40 000 personnes à partir.  Ces derniers mouvements portent à 200 000 le nombre total de déplacés.  Dans la capitale, les déplacés sont hébergés dans 90 endroits différents, dont des écoles, des églises et des immeubles à l’abandon.

SC/15474

Le 19 octobre 2023, en application du paragraphe 5 de la résolution 2664 (2022), un représentant du Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA) a présenté, au nom du Coordonnateur des secours d’urgence, un exposé au Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1533 (2004) concernant la République démocratique du Congo sur la fourniture de l’aide humanitaire et d’autres activités visant à répondre aux besoins essentiels en République démocratique du Congo.

dbf231018

Afghanistan: l’OCHA indique que les agents humanitaires sont dans une course contre la montre pour répondre aux besoins des communautés affectées avant que l’hiver ne s’installe dans un pays secoué par trois tremblements de terre. Les températures nocturnes ont déjà commencé à baisser et les gens dont les maisons ont été détruites, dont de nombreux Afghans, y compris dans la ville d’Hérat, dorment dehors de peur que leurs habitations ne s’effondrent à la première réplique.

CS/15443

Le Conseil de sécurité a, ce matin, encouragé le Gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) et l’ONU à élaborer « d’ici à novembre » un plan de désengagement complet et des propositions sur la chronologie du retrait progressif et ordonné des contingents de la MONUSCO, la mission des Nations Unies déployée dans ce pays.

dbf231012

Afghanistan: l’OCHA continue à évaluer l’impact du tremblement de terre qui a secoué le pays hier. L’on co mptait hier 1 mort et quelque 140 blessés après ce deuxième séisme alors que le premier avait déjà touché directement 17 000 personnes. Les agents humanitaires notent que les maisons endommagées et la peur de rentrer chez soi, compte tenu des répliques, ont poussé les gens à s’installer dans plusieurs sites de fortune en dehors de la ville d’Hérat.